Olivier Perriet

@gaijin

D’après les extra terrestres, ils étaient 4 millions.

Mais oui, on a bien compris que le noyau dur gilets jaune c’est les pseudos insoumis, qui demandent la démission de tous, hormis de leur chef adoré.

Il faut relir cette interview donnée à Marianne en mai 2016, où Jean-Luc concluait déjà :

« si François Hollande ne se représente pas, c’est qu’il a raté son quinquennat. Alors mieux vaudrait qu’il parte tout de suite ».

Il y avait aussi le couplet sur les insupportables violences policières pendant les manifs.

On croirait lire les insoumis en gilets jaunes, version janvier 2019.

Vous noterez par ailleurs que M Jean-Luc demande la démission de tout le monde, tout en reconnaissant que lui-même n’est pas plus légitime que les autres.

Mais effectivement, et que le Grand Cric me croque, il n’a pas tort :
à part lui et Macron, il ne reste plus rien, la droite ou assimilé n’est plus en position d’être une alternative à quoi que ce soit, même si pour des raisons diverses le gouvernement ou d’autres journalistes soufflent dans les voiles du FN/RN.

@Ex.Libris

Comme le prouve le taux d’équipements des Français en voiture, électroménager, appareils électroniques et informatiques divers, consoles de jeu, abonnements

Achats de plus en plus contraints et obligatoires, qui n’existaient pas il y a 20 ans.

Un peu comme le fait d’avoir une bagnole qui est de plus en plus obligatoire pour travailler

@Bernard Mitjavile

Vous pensez sérieusement que la stupidité de la gauche efface celle de la droite, au motif qu’elle a été la plus longue ?

En fait vous n’avez d’un côté pas tort ; sauf que la stupidité de la gauche a entraîné sa perte, et que la droite la plus bête du monde est en train de la suivre dans la tombe.

@Le421

Non je n’ai rien zappé, mais Fabius aussi a fait campagne pour le Non en 2005.
D’ailleurs Jean-Luc faisait à ce moment campagne plutôt pour « le Non de gauche », et pas « le Non de droite », ce qui changeait tout.

Après il n’était pas encore insoumis. Il était avec Ségolène pour 2007, puis avec Benoit (Hamon). Pour finir par quitter le PS après une ultime tempête dans un verre de flotte, le score décevant de la motion Hamon, au cours du congrès qui a vu la victoire homérique de Martine sur Ségolène.

Maintenant que vous me le dites, c’était plutôt fin 2008, mais ça ne change pas grand chose. À ce moment là, il a lancé le « parti de gauche » (un nom pressenti par...Manuel Valls pour remplacer le parti « socialiste ») et il s’est allié avec le PCF en vue des européennes.

Au fait : la VIe République, ça vient surtout de Montebourg à la base  Mais le recyclage des idées, c’est aussi l’écologie.