Le problème n’est pas là.
Le film n’est pas présenté comme une œuvre de fiction pure, mais un genre de récit historique.
Curieusement, comme si toute la presse n’était pas déjà assez déchaînée contre l’Iran, on nous y sert un condensé de stéréotypes contemporains style « axe du mal ».
C’est cette proximité dans les clichés, entre le film et la propagande de nos amis néo conservateurs qui laisse cet arrière goût de vomi.