Inutile de s’en prendre aux personnes et de les affubler de noms d’oiseaux.
Non seulement ça ne sert à rien, mais ça affaiblit le propos.
Ce qui est en cause, ce ne sont pas les peurs des chiens de garde, c’est leur soumission aux dominants, et ce n’est pas une question de personne, mais de système.
La question est de savoir si, un jour, le troupeau sera capable de neutraliser les chiens journalistes, les bergers élus et technocrates et leurs maitres et propriétaires, discrets et peu nombreux.
En attendant la situation ne fait que révéler la réalité des liens entre les uns et les autres.