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En réponse à :

I.A. 4 décembre 2021 19:21

Article plein de bon sens et finement ciselé.

« Ce port du masque est typique de cette « gestion à l’aspirine » : on sait pertinemment que ça ne sert absolument à rien, on le savait avant la crise, on en a eu une confirmation éclatante depuis l’observation de différents États qui l’ont imposé en comparaison avec leurs voisins qui ne l’ont pas fait, avec toujours la même conclusion, à savoir que se mettre un bout de tissus sur le pif en extérieur n’a aucun effet. »

Détrompez-vous :


1. le masque sur le pif génère une zone d’humidité tiède tout autour de votre rhino-pharynx (d’autant plus gênante pour les binoclards en hiver)


2. Or votre rhino-pharynx abrite des centaines de germes (bactéries, virus...) dits endogènes ou saprophytes


3. Lesquels germes n’apprécient rien mieux que les bonnes opportunités pour s’adonner à des comportements dits « opportunistes »


4. Parmi ces bonnes opportunités, s’il n’est plus nécessaire de rappeler la fatigue ou l’immunosuppression, il convient de dénoncer cette fameuse zone d’humidité tiède (qui rassure les petits et les idiots, il est vrai)


Si bien qu’on peut dire sans se tromper, que le masque sert bien à quelque chose : nous rendre effectivement malades (rhumes, grippes, bronchites, bronchiolites…). Tout comme le reste de ces mesures débilitantes, d’ailleurs.

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