Si l’on sait que l’occupation de la Cisjordanie a notamment pour objectif le contrôle de ses ressources en eau, on imagine aisément les excès que le manque d’eau fera naître dans le futur.
Contrairement à une étude rassurante de la Banque Mondiale parue il y a peu qui rappelait que l’accès à l’eau était régie par des dizaines de conventions internationales et nationales et qu’il ne fallait pas craindre de débordements majeurs, je reste persuadé que le XXIè siècle sera marqué par des conflits de grande ampleur dont l’enjeu principal sera l’eau. Que valent en effet toutes ces conventions lorsqu’il sera question pour des centaines de millions de gens de survie ?