non non contresens sur « qu’un sang impur abreuve nos sillons » :
le sang impur est le nôtre, celui des manants, des paysans. Nous versons notre sang sur nos champs de blé.
C’est une forme de dérision employée par l’auteur face aux immmigrés nobles qui se disaient purs.
Il s’agit plus d’un appel au sacrifice qu’au meurtre.
Pour autant, je ne suis pas loin de partager l’avis de l’auteur : faut-il fonder notre identité nationale sur la guerre ?