Bien d’accord avec l’auteur de l’article sur la nécessité de mettre enfin en accord les structures et les idées. Mais comme certains commentateurs je ne suis pas optimiste : l’aile gauche du PS n’osera pas tenter l’aventure de la scission. Et plutôt que la configuration souhaitée, avec un nouveau parti bien ancré à gauche, et un PS social-démocrate absorbant le centre, le statuo quo délétère aboutira plutôt à ce que le PS se fasse manger d’un côté par Besancenot et de l’autre côté par Bayrou.