Excusez moi si je vous ai laissé comprendre que je prenais les choses à la légère. Ce n’est pas le cas, mais le fait qu’on mette de la dérision dans une tentative de compréhension des choses ne change rien au fait. J’ai voulu aussi montrer qu’il se passait des choses à la fois chez vous et chez nous, pas du même ordre certes mais qui revêtent aussi une certaine gravité pour la vie quotidienne des citoyens.
J’avais déja lu l’article que vous reproduisez, qui a été publié aussi dans « Courrier International »
Je crois aussi pour en avoir discuté avec des wallons que la situation est difficilement réparable, parce que même si la crise prend fin il restera des séquelles profondes et que le fossé entre les communautés s’en trouvera irrémédiablement élargi.