Il n’en reste pas moins que Chavez et Poutine n’en sont pas réduits à pratiquer la politique du carnet de chèques, afin d’être accueillis en terre « démocratique ».
Et plus ironique encore : le fait que certains dirigeants soient élus le plus démocratiquement du monde ne les empêche pas de régner comme des dictateurs.
Poutine et Sarkozy contrôlent leurs médias respectifs avec leurs moyens respectifs. C’est bien pour ça qu’ils se congratulent et le feront encore, et encore, et encore...
En définitive, c’est encore Chavez qui s’en sort le mieux.