Parfaitement d’accord avec le dernier commentaire. Je m’étonne toujours qu’on ne réponde pas aux partisans de la décroissance sur leur argument principal, à savoir la limite de notre biosphère.
Savoir si l’on est prêt à ceci ou à cela, à ne pas se chauffer ou à ne pas prendre l’avion, savoir si consommer rend heureux et si la frugalité est une forme de masochisme sont des problèmes secondaires. Répondons d’abord à la question de savoir si l’on peut durablement amplifier ce rythme de destruction de notre univers.
Si la réponse est non, il faut en tirer les conséquences au lieu de foncer dans le mur.