Moi, je prends ça comme la reconnaissance de notre travail.
Nous étions isolés, chacun dans son coin, en nous traitant de zozos, Morice nous a donné vie en tant que résistants à sa prose nauséabonde, prétendue-journalistique, redondante, enfonceuse de portes ouvertes, simili-informative...
Je dis oui au journalisme participatif, au média citoyen, je dis NON au parasitage par la pensée unique (ta mère).