Ou comment faire passer une bonne dose de haine raciale sous couvert de bons sentiments.
Le paragraphe sur "on n’est plus chez nous, regardez donc tous ces nègres qui prennent le train" est digne des meilleurs bistrots de la France profonde ; on sent d’ici l’odeur du mauvais pastis, des caouètes rances et des volutes de gitanes maïs.