@ jcm
J’apprécie l’honnêteté de votre réponse, et à quelques détails près, je suis d’accord avec vous :
* disons que si l’intensité énergétique humaine reste à son stade actuel, que l’on utilse n’importe quelle source thermique, cela ne devrait pas provoquer de bouleversement global, car notre apport calorique est négligeable sur le court terme. Qu’en est-il sur un millier d’années, la question vaut d’ailleurs d’être posée...
* l’énergie nucléaire en France arrive à s’en sortir, à quelques petits problèmes près. Si nous envisageons une stagnation énergétique, voire à long terme une décroissance, ce problème de source froide devrait disparaître, nucléaire ou nous
D’ailleurs pour pouser la réflexion :
* si l’on couvre 10% du Sahara avec des miroirs pour faire du solaire à concentration, couplé un vecteur électrique, pneumatique, ou hydrogène, peut importe. Quel sera l’impact sur le "fragile" équilibre climatique, si l’on refroidit les déserts et réchauffe les zones plus froide ?
Cette objection uniquement à titre intélectuel, puisqu’on en est bien loin dans les fait...