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mike57 6 avril 2009 23:11
En toute chose, trop c’est trop, pas assez, ce n’est pas assez. Bref, en toute chose, tout est une histoire de proportion. L’harmonie est la bonne proportion. La dysharmonie la mauvaise. Il y a des sociétés harmonieuses. Il y a des sociétés dysharmonieuses.

Dans certains groupes humains il y a beaucoup de gens brillants, brillantissimes, intelligents, doués, inventifs, créatifs, constructifs, productifs, entreprenants, travailleurs, honnêtes, courageux, généreux… dans d’autres il y en a peu. Dans certains groupes humains il y a beaucoup de gens ordinaires, très ordinaires, indolents, non-ingénieux, non-inventifs, non-créatifs, non-constructifs, non-productifs, non-entreprenants, profiteurs, veules, voleurs, assassins, aigris, jaloux, égoïstes… dans d’autres il y en a peu.

Ce sont les hommes qui font les pays et les civilisations. Pas l’inverse. Certains groupes produisent des civilisations brillantes, d’autres produisent des civilisations ternes. Il ne faut pas se voiler la face, il ne faut pas se leurrer, il faut faire sauter ce tabou : il y a des races supérieures comme il y a des races inférieures. Cela n’est un secret pour personne. Tout le monde le voit, tout le monde le sait, mais… Chuttt ! Tout le monde le nie.

Pourquoi nier l’évidence ? De toute façon, ça ne change rien à la réalité. C’est ridicule.

Les égyptiens étaient une race supérieure, ça ne fait aucun doute. Les grecs étaient une race supérieure, ça ne fait aucun doute. Les romains étaient une race supérieure, ça ne fait aucun doute.

Je me suis longtemps posé la question : Est-ce que ces civilisations se sont écroulées parce que la race s’est mélangée… est-ce qu’ils se sont mélangés parce qu’ils étaient en train de s’écrouler ?… les deux sans doute me disais-je chaque fois pour respecter un tant soit peu le fameux tabou négateur, obligatoire et très en vogue. Mais cette réponse ne me satisfaisait pas. Ce tabou était vraiment étouffant et abrutissant. Un jour je l’ai jeté aux orties. Dur-dur ! Je me suis mis alors à trembler, comme si j’avais froid. J’avais l’impression que le ciel allait me tomber sur la tête.

Puis la réponse fusa, d’un coup, lumineuse, éclatante, évidentissime, hurlante de simplicité : Ils se sont écroulés parce qu’ils se sont mélangés.

« Horreur va-t-on hurler ! HORREUR ! ». Et ce sont des regards hagards, des bras tendus partout… partout des mains fébriles qui cherchent, qui cherchent et qui cherchent… partout des petites voix tremblantes, affolées… : « mais où est-il, où est-il, où est-il… où l’ai-je donc mis ce tabou, où se cache-t-il… il me le faut, il me le faut, il me le faut absolument !... »

Eh bien non il n’est plus là, il ne se cache pas… il n’existe plus c’est tout : « Ils se sont écroulés parce qu’ils se sont mélangés. »
					


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