Y’a pas grand chose d’autre à comprendre que l’autosatisfaction de l’auteur pour son style.
Tout part de là, le sujet n’est présent que pour donner libre cours à une prose dont rien ne découle.
Comment s’étonner, dès lors, en fin de lecture (pour ceux qui en ont eu le courage !), de n’être arrivé nulle part ?
C’est une jolie branlette, mais ça reste une branlette...