C’est incontestable, Gouasmi et Dieudonné se ressemblent : aussi laids, gras, barbus et ventripotents l’un que l’autre. Ajoutons à cela un travail d’orateur fabriquant une voix mielleuse d’hôtesse de l’air poilue et il ne manque rien d’autre pour les distinguer que « la race » qu’ils évoquent au sujet des « sionistes » invisibles parce qu’issus de toutes ethnies...
Cependant, rien ne permet de penser que le clown sinistre se soit converti au chiisme. Ni Gouasmi ni ses commanditaires ne lui en demandent tant.