il faut lire l’article du Monde jusqu’au bout
Autre obstacle : les gouvernements des pays concernés ne voient pas toujours d’un bon oeil l’arrivée de musulmans pieux, susceptibles de verser dans le radicalisme ou l’islamisme. « Dans la banlieue du Caire, des Français musulmans sont montrés du doigt par les Egyptiens qui les trouvent trop radicaux dans leurs pratiques », explique le chercheur Franck Frégosi. Une suspicion que l’on observe aussi de la part des gouvernements dans les « pays d’origine ». « Je n’aurais pas voulu m’installer en Tunisie, où l’on surveille de près ceux qui fréquentent assidûment la mosquée », témoigne Samy.