Ma remarque ne se plaçait pas sur un plan moral mais visait à rectifier les faits (par exemple, vous parlez d’affections longue durée. Or, ce n’est pas le cas au regard de la Sécu) et à souligner l’importance de la prévention. Par ailleurs, les aides sociales n’enlèvent rien à la responsabilité individuelle.
Pour finir, j’ai conscience qu’il y a encore bien des choses à aire pour la prévention de ces situations, pour un meilleur fonctionnement du dispositif et pour inciter les professions médicales à respecter le serment d’Hippocrate.