Article très bien argumenté !
Effectivement, mon mari avait peur d’être « suicidé » lorsqu’il était à l’hôpital...
Il n’y a pas forcément d’acharnement thérapeutique. Mon frère vient de renoncer à la poursuite des soins pour son cancer. Il n’est pas pour autant suicidaire, il aimerait mieux continuer de vivre, mais il n’y a plus d’espoir de guérison. Son seul désir est d’avoir un traitement anti-douleur efficace.
Les médecins ont accepté facilement son choix.