Visiblement, il n’y a aucun moyen de vous faire réagir sur ce qui, pour moi, est la grande facilité de votre position, c’est-à-dire l’interrogation sur la critique extérieure d’une masse de population dont vous faites partie de facto, mais dont vous vous excluez arbitrairement.
Ce faisant, chacun peut de même s’en exclure arbitrairement, et la thèse même de s’interroger sur la population française se vide de sa substance, puisque cette entité n’existe alors plus.