Je salue la perspicacité de cet article, véritable cri de ras-le-bol contre un relâchement et une lacheté assumés. Si à chaque fois que ces prédateurs (le mot n’est pas trop fort) nourris d’une sous-culture dégénérée qui érige le dealer et le proxénète en rôles-modèle, rencontraient des gens ordinaires qui n’hésitent pas à intervenir et à faire le coup de poing, alors ce phénomène serait en régression. Si la police aussi recevait l’ordre d’intervenir dès qu’un incident se déclare, car la vision de pillages et d’agressions impunis est bien plus dommageable pour le tissu social que les risques de bavure.