kéké
beau résumé de ce qui a été écrit, que je cosigne.
lorsqu’il y a la fièvre, il ne faut pas accuser le thermomètre,
et lorsque les comptes se vident, il ne faut pas accuser la crise.
il faut réaliser que le mal est plus profond, et que le citoyen vient de dire stop.
à sa manière.
par contre, j’ai abandonné depuis longtemps la marseillaise,
le coup du « sang impur » ne m’a jamais passionné.
ou alors, la version de gainsbarre, et encore...
on doit pouvoir faire mieux.