L’amitié par les grands textes
"Que serions-nous sans l'amitié essentielle tant à la vie privée qu'à la vie publique ?".
C'est par cet axiome que Le Point présente l'entrée en matière dans l'histoire de l'amitié au travers des grands textes.
La conception varie en fonction des usages qu'on en fait et de ce qu'on laisse en équilibre entre l'autre et soi-même.
L'amitié apporte-t-elle les différences qui comblent nos propres carences et que l'on ne peut assumer par soi-même ?
Est-ce une acceptation de l'autre dans toute sa liberté de penser avec le partage ?
Est-ce un double meilleur que soi pour multiplier ses forces dans une source de créer un monde de l'information à voir en commun ?
Un autre soi-même en copie conforme qui n'apporte rien de nouveau ?
L'amitié est comme toutes les sciences humaines loin des sciences exactes, logiques et mathématiques.
Depuis l'Antiquité, l'amitié a été la pierre d'achoppement des esprits contraires. Je ne reprends que les idées des philosophes qui sont repris dans ce magazine, sans reprendre les textes qui les accompagnent mais je les extrapole quelque peu en remontant aux sources d'un manque ou d'une perte d'amitié potentielle
L'amitié par la philosophie historique
Dans l'Iliade entre Patrocle et Achille, l'amitié c'est à la vie à la mort dans une version virile.
Dans "l'Ethique à Nicomaque", elle est le fondement de la vie de la cité à chercher entre hommes vertueux.
Pour Platon, "C'est que votre nature vous apparente en quelque sorte à l'autre" (Lysis).
Pour Plutarque, c'est un jeu à deux dans lequel seuls ceux qui se ressemblent se rassemblent pour se complaire.
Pour Montaigne "Parce que c'était lui, parce que c'était moi".
Pour Saint Augustin, l'amitié se construit dans l'union de la foi en Dieu.
Pour Thomas d'Aquin, elle s'insère dans la charité par la bienveillance mutuelle de la communication.
Au Moyen Age, elle s'associe à la promiscuité et à la spiritualité pour cultiver la vertu.
Pour La Fontaine, l'amitié est un lien d'exception. "Un ami véritable cherche vos besoins au fond du cœur" (écrit-il dans "Les deux amis").
Alexandre Dumas déclare dans ses "Trois Mousquetaire", "tous pour un et un pour tous dans la complicité en trouvant une direction à cette force unique quatre fois multipliée".
Pour Flaubert, l'amitié est une évidence absolue entre hommes mais sans femmes. "Comme on serait bien à la campagne" (dans "Bouvard et Perruchet").
Pour Kracauer, elle est une communion totale suite à une inclination originelle pour se sanctifier.
Pour Proust, elle apporte un risque de se nier avec "L'amitié est une abdication de soi".
Pour Blanchot, elle se trouve à une distance infinie quand "Cette discrétion devient la fissure de la mort" ("L'amitié).
Pour Sarraute, elle est une émotion qui tient à un fil reposant sur une illusion.
Pour Weil, l'amitié est le miracle par lequel un être humain accepte de regarder à distance" (Attente de Dieu).
Pour Epicure, la tranquillité de l'âme est atteinte par l'amitié et la méditation. "Soyons en sympathie avec nos amis, non en gémissant mais en méditant".
Pour Cicéron, l'amitié est le ciment de la République mais "Ne demander à nos amis et ne faire pour eux que ce qui est honnête".
Pour Sénèque, l'amitié est un don de soi.
Pour La Rochefoucauld c'est toujours trop "beau pour être vrai puisque "Nous ne pouvons rien aimer que par rapport à nous-même".
Pour Helvétius, l'amitié apporte l'intérêt et la satisfaction.
Pour de Laclos, elle apporte les jeux de l'amour.
Pour Kant, elle est un équilibre entre l'amour et le respect..
Pour Nietzsche, "L'amitié est à considérer comme un devoir" à l'école de la vérité sur soi puisqu'un ami est le meilleur ennemi.
Pour Carl Schmitt, l'ami et l'ennemi se retrouve dans un antagonisme politique.
Pour de Saint Exupéry, l'amitié est d'avoir les yeux du cœur par la volonté d'être apprivoisé.
Pour Arendt, elle est indispensable à la démocratie.
Pour Jankelevitch, elle est un art de la subtilité.
Sont reprises comme amitiés sincères : celles de Engels et Marx, Freud et Fliess, Laurel et Hardy.
Parler de l'amitié est très dépend des personnalités fusionnelles ou fissionnelles.
Pour Charles Aznavour, l'amitié peut mener aux emmerdes.
Réflexions du Miroir
En cherchant les billets sur le forum agoravox avec le mot "amitié", j'ai trouvé en 2022 "Le verre de l'amitié", en 2017 "Fraternité et Amitié", en 2011 "L'amitié entre hommes, une denrée rare !" et mon billet en 2022 "Amitiés sans œillères", qui fait déjà le rappelle de "Amitié, échange de bons procédés ? " en 2008.
Il n'est pas dans mes intention d'en remettre une nouvelle couche.
Tout en étant distinct, la psychologie et la psychiatrie sont deux domaines étroitement liés dans les relations humaines.
La psychologie est l’étude scientifique du comportement et des processus mentaux, comprenant la cognition, l’émotion, la perception, la motivation, l’apprentissage et le développement et comment celles-ci interagissent avec leur environnement, le ressentent, le pensent et se comportent par leurs comportements personnels.
La psychiatrie est plus médicale en se concentrant sur la prévention par un diagnostic et un traitement des troubles mentaux, émotionnels et comportementaux en combinaison avec une thérapie, des médicaments et d’autres interventions.
L'homme a-t-il un naturel social ou sociable facilement ?
A mon humble avis, non.
S'il essaye de communiquer avec "un autre", c'est qu'il recherche à vendre sa propre "camelote" idéologique ou politique.
La femme, par contre, cherche plutôt "son autre" dans la normalité qu'elle apprécie sans chercher la dispute.
Cette sociabilité le pousse à s'intégrer dans un groupe pour ressembler à cet autre par la mode pour faire comme tout le monde, pas pour avoir des partis pris sur les choses en dépendant des idées qui se rapprochent des siennes pour les partager comme le fait l'homme. La personnalisation, elle le retrouve parfois dans des tatouages et des piercing. Mon journal de télé avait le titre "Piercés à jour, en étant discret ou spectaculaire, le piercing creuse son trou. Anneaux, diamants, barrettes pour ressembler aux stars et des tops modèles.
J'ai particulièrement relu, le billet dans lequel il est dit que l'amitié est rare entre hommes... disons plutôt entre mâles au caractère dit "forts".
Mon pseudo initial "L'enfoiré" n'a pas été usurpé. J'ai avoir un peu de provoc et d'humour sardonique dans ce que j'écris. Mais pour cela il faut avoir de l'originalité sinon cela baigne dans la répétition. La complémentarité des humeurs fait partie de mon originalité. Chercher la complémentarité avec l'amabilité envers tout le monde, risque de manquer de respect envers les couleurs et les religions.
Aujourd'hui, mon pseudo "Allusion" garde l'humour et la parodie comme agent liant mais en prenant plus de recul.
Ce billet va tenter de sortir des carcans idéologiques et politiques en se foutant du qu'en dira-t-on.
Mon épouse m'associe souvent avec l'adjectif d'être "spécial".
"L'humour ne se résigne pas, il défie", Sigmund Freud.
Nous sommes tous différents avec des sentiments et des idées parfois en accord, ou parfois en contradictions. L'homme cherche à convaincre son "autre" parce qu'il se sent normal et constant, tout en étant anormal pour d'autres.
Qu'est-ce qu'être normal ?
Benoît Poelvoorde était interrogé pour son rôle dans le film "Normale" avec un "e" final. Il en parle avec son exubérance coutumière parfaitement explicité dans cet interview
.
J'aime son excentricité alors que d'autres ne l'aimeraient pas pour cette même raison.
Reprenons le fil de la pelote de laine de l'amitié par le début.
Qui est l'ami parfait ? Un autre soi-même, un jumeau, un clone, un alter-égo ou alors quelqu'un d'opposé complet dans lequel on trouve des ressemblances mais en cherchant bien, on n'y trouve plus que des dissidences.
Je suis un généraliste et je suis là pour converser sans avoir de convictions. De fausse réalités peuvent s'introduire dans tous les modèles de l'amitié. Il faut seulement avoir une grande ouverture d'esprit à tout ce qui pourrait faire partie d'autres bords. J'ai écrit ma manière d'affronter les contacts litigieux dans "Le Syndrome de Eriofne"
Curieux de tout, j'ai toujours voulu rester candide dans ce que je ne me sentais pas spécialiste de la question avec la seule envie d'apprendre un peu plus tous les jours et ainsi, d'avoir au menu une bribe de vérité et une bribe de fake news à décortiquer. Dans mon propre domaine d'investigation, il ne faut pas trop essayer à me contrer.
Je suis clair en disant que je ne peux caler mon esprit sur un seul point précis pendant très longtemps. Il me faut changer de crèmerie en permanence.
Ma conscience professionnelle est encore présente. Mon caractère, plutôt fort, ose tout sans peur de la controverse des polémiques. Quand il y a insulte agressive à peine voilées, je reste stoïque en cherchant les réponses adhoc à la même hauteur qui ne sera ni plus ni moins agressive en détournant l'attaque avec imagination.
Je déteste la séduction gratuite. La gentillesse n'est pas la sagesse dans les rapports humains mais est une partie psychologique dont il faut se méfier si on ne connaît ni les tenants ni les aboutissants dans un rapport humain. Un compromis, cela marche, une compromission, non.
Plus on a de followers (pour ne pas dire "amis") sur Facebook, mieux c'est pour beaucoup. Fakebook me sert souvent comme outil d'évaluation de la connerie humaine.
Tout devient confrontations entre idéologies différentes de manière caractérielle qui parfois, deviennent radicales voire sectaires dans laquelle la haine n'est pas à chercher très loin.
Le partage des idées ne fonctionne plus vraiment dans un tel contexte quand on n'entre pas facilement par la fenêtre et que la porte reste close.
Une relation au niveau numérique existe relativement One by One traduite par la psychologie, One to Many par la sociologie.
Une relation Many to Many ne fonctionne plus sans un intermédiaire ou un interface que l'on pourrait appeler par un ombudsman. Quand le contact est à distance sans avoir son interlocuteur en face de soi, cela devient aléatoire.
Confondre l'amitié avec l'amour est une erreur de conception.
La foi en Dieu comme intermédiaire ou comme fondement de la société quand un des interlocuteurs est mécréant, cela devient très vite obsolète.
L'amitié est d'office sélective si elle ne veut pas être hypocrite. L'autocensure pour se faire apprécier par un interlocuteur, n'est pas une bonne solution.
Cela ne veut pas dire qu'il faut préférer la confrontation idéologique à la bêtise d'une communion qui va se corrompre dans une phase de renfermement successives sur soi pour qu'une relation. Dans une communication, il faut en avoir un intérêt personnel.
Il y a tant de sujets à discuter. C'est évident mais il faut le faire dans la simplicité.
Une relation dont les interlocuteurs sont d'accord sur tout, cela manque très vite d'intérêt.
Il n'y a pas de logique dans l'amitié. Cela passe ou ça casse.
Les consensus viennent par la pratique à la recherche d'intérêts en commun pour qu'une relation s'installe dans la longueur. La relation fusionnelle totale est un leurre même s'il y a des points en communs. Mal fixée, elle peut devenir une catastrophe. On ne la découvre qu'après plusieurs tentatives et tests avant d'ouvrir les vannes avec des atomes crochus tout en tenant le respect de l'autre dans une optique commune.
La fragilité de l'amitié peut tourner à la trahison quand elle n'est pas gérée avec toutes les cartes sur table d'entrée de jeu.
En électricité, les anodes plus et moins s'attirent mais pas chez les humains. Ce serait trop simple.
On apprend plus par des oppositions de caractères que par des conciliations à l'amiable.
Une confrontation d'idées ne se fait pas correctement à distance avec les moyens de communication que la modernité nous offre. Dans un forum de discussions comme agoravox.fr, cela devient parfois une entrée dans la cage aux lions sans voir les mimiques de ceux-ci.
J'ai été un testeur de programmes informatiques pendant ma vie active. A la retraite, j'ai continué à tester mes contacts humains parfois beaucoup plus difficiles à percer et à comprendre qu'une formule mathématique.
Dans un forum de discussion, je ne suis pas là pour plaire. Trop bon, c'est toujours trop con. Pendant 18 ans, sur un forum français, ce fut plutôt une analyse psychologique et sociologique pour les comparer avec notre belgitude.
J'ai compris. Les Français parlent aux Français. Point. A la ligne.
Tester, cela veut dire pousser les bouchons de cette résistance étatique.
Aux partis pris et aux convictions trop figées, j'apporte souvent des réactions diamétralement opposées en boucles rétrécissantes. De guère lasse, un interlocuteur écrivait "Tu sais tout. Tu as toujours raison. Tu es un manipulateur. A quoi bon discuter ?".
Tout savoir, je ne le pourrais et ne le voudrais pas. Il est vrai que j'apprends à connaître un peu de tout comme pour les fromages belges par l'intermédiaire de toutes les opinions.
La solidarité n'existe que quand toutes les parties doivent résoudre un problème sociétal en commun avec les pieds dans la même merde.
Bien sûr, il faut intéresser un interlocuteur par ses passions et il ne peut pas suivre n'importe quoi.
Doit-on être des amis pour se parler et pour discuter ?
C'est la question que j'ai posée à une interlocutrice qui n'acceptait pas une discussion polarisée.
L'amitié et l'amour sont quelque part des synonymes avec la nuance des désirs sexuels pour l'amour en plus.
Après mes cinquante ans de mariage en couple, j'ai écrit Noces d'or de la complémentarité.
Cela veut dire que les accords sur tout n'étaient pas signés sur facture ou sur le beau parchemin d'un couple. Il a fallu accepter cette complémentarité de caractères parfois désynchronisées. N'avez-vous pas encore remarqué, un homme a plus tendance à réfléchir en séquentiel, projet par projet alors qu'une femme multiplient mentalement les projets et les problèmes ?
Mardi, France2 présentait la pièce de théâtre de Salomé Lelouch "Fallait pas le dire" dans un huis clos entre Arditi et Bouic. qui posait des questions telles que : Qui peut dire quoi ? Quand ? A qui ? Et dans quelles circonstances ? Il y a encore des choses qu'on ne peut pas ou ne veut plus se dire avec franchise de peur d'avoir des retours de flammes liées aux questions existentielles et au risque de se dire des choses à un moment et de devoir se contre-dire ensuite. Plus personne n'ose dire ce qu'il pense. Il faut être woke aujourd'hui.
Quand ce n'est pas de l'amour, il y a une foule d'éléments et de sujets qui peuvent altérer l'amitié alors qu'ils devraient au contraire la générer ensemble.
Je l'ai décrit dans "Prise de bec" en créant un dérapage volontairement décontrôlé ou incontrôlé à cause d'un manque d'informations initialement apprises au sujet de quelqu'un qui était obtus par nature. La mauvaise interprétation s'est terminée outrée.
Dans ce billet, je parlais beaucoup de ce qui est con et des cons eux-mêmes.
Une question philo commençait par Maître Gims avant de parler de la connerie en spécifiant deux différences essentielles entre le con passif et le con actif
.
Dans la majorité des cas, il s'agit de diviser les tâches en séquence, en fonction des prérogatives et les renouveler par tacite reconduction à tous les anniversaires mais en gardant des points de chute de ces conneries. Il faut chercher les sources de ces extensions ou même de ces disparitions relationnelles par un sujet relié à l'âge.
La psychiatrie au fil de l'eau
Comme dans une "Péniche de Fous", Nicolas Philibert filme les fous au fil de l'eau.
Figure incontournable du documentaire français, le réalisateur Nicolas Philibert présente son nouveau projet “Sur l’Adamant”, récompensé par l’Ours d’Or à la Berlinale 2023. Une immersion dans un centre psychiatrique de jour érigé sur une péniche en plein cœur de Paris. En 2018, touché par une rencontre avec les patients et les équipes à bord, il se promet d’y revenir. En 2023, c’est chose faite. Ce dernier souhaitait filmer au plus près les patients atteints de troubles psychiques et les personnes qui les accompagnent dans ce cadre de soins inédit. Tout au long du tournage, Nicolas Philibert a été conseillé par la psychologue Linda de Zitter, membre de l’équipage de l’Adamant. Interview de cette semaine :
La démence a été le sujet d'un dossier de la semaine qui apparaît avec l'avancée en âge
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La solidarité chez les vieux n'est plus souvent que de très vieux souvenirs de jeunesse. On devient grincheux et conservateur avec l'âge. Les nouvelles générations connaissent des relations entre elles dont les jeunes devraient prendre exemple avec une ouverture d'esprit généraliste.
Il faut avoir un sujet général peut commencer en commun et se poursuivre par des sujets plus spécifiques, que ce soit en religion, au foot, en politique, le type de sortie et de rentrée à la maison et tant d'autres sujets de réflexion.
La guerre est la manière de rompre toutes relations en passant un cap d'une extrême difficulté.
Elle n'existe pas uniquement chez les hommes.
Dimanche dernier, le Jardin extraordinaire présentait les fourmis. Deux sortes de fourmis, l'une noire, pacifistes et l'autre jaune, qui attaquait les premiers pour en faire des esclaves.
Voulez-vous un sujet qui ne génère aucun problème, aucune contestation : parler du temps qu'il fait.
Le temps au moins, on ne peut le changer en espérant qu'il soit meilleur le lendemain.
En 2008, il y a exactement 15 ans, jour pour jour, j'écrivais "Amitié, échange de bons procédés ?"..
Je remettais le couvert en 2022 avec "Amitiés sans œillères"..
Le problème, c'est que les œillères ne tombent pas facilement.
Ce billet était un remake des précédents, mais les revoir au travers des textes de l'histoire des philosophes me semblait intéressant.
J'ai commencé par une chanson interprétée par Maurane, je termine par une autre chanson chantée par elle "Les uns contre les autres". Maurane est décédée il y a presque cinq ans... Hommage...
Le cas "Stromae"
Fait relativement nouveau qui n'est pas vraiment un problème d'amitié mais d'idolâtrie du public et de tyrannie des réseaux sociaux qui altère la santé mentale d'une idole qui ne trouve plus d'échappatoire et qui voudrait faire autre chose dans la vie que capter l'attention du public
.
Le 15 novembre 2013, lors d'une émission télé avait pris 4 heures de tournage pendant lesquelles le public ne pouvait pas bouger suivi de 3 jours de montage. Stromae par trucage et par morphing se présentait alternativement en homme et en femme travestie comme un double de lui-même.
La méthode était la même que celle que Michael Jackson avait choisie dans son sketch "Black and White".
Vous les hommes vous êtes tous les mêmes
Macho mais cheap,bande de mauviettes infidèles
Si prévisibles, non je ne suis pas certaine,que tu l'mérites
Z'avez d'la chance qu'on vous aime Dis-moi "merci"Rendez-vous, rendez-vous,
rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-voussûrement aux prochaines règles
Cette fois, c'était la dernière,
tu peux croire que c'est qu'une crise
Mate une dernière fois mon derrière,il est à côté de mes valises
Tu diras au revoir à ta mère,elle qui t'idéalise
Tu n'vois même pas toutc'que tu perds
avec une autre ce serait pire
Quoi toi aussi tu veux finir maintenant ?C'est l'monde à l'envers
Moi, je l'disaispour te faire réagir seulement,
toi t'y pensais
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous
au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-voussûrement aux prochaines règles
Facile à dire, je suis gnangnan
Et que j'aime trop les bla-bla-bla,mais non, non, non, c'est important
Ce que t'appelles les ragnagnas,tu sais la vie, c'est des enfants
Mais comme toujours,c'est pas l'bon moment
Ah oui pour les fairelà, tu es présent,
mais pour les élever
y aura que des absents
Lorsque je ne serais plus belle
ou du moins au naturel
Arrête je sais que tu mens,il n'y a que Kate Moss
qui est éternelle
Moche ou bête Bête ou belle Belle ou moi Moi ou elleRendez-vous, rendez-vous,
rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous,rendez-vous sûrement aux prochaines règles
Tous les mêmes, tous les mêmes,
tous les mêmes et y'en a marre
Modern icons
Ce samedi matin, je suis allé voir l' Expositions Photos : Modern Icons qui correspond parfaitement avec ce billet.
De la sculpture au cinéma, beaucoup d’oeuvres sont devenues incontournables et ont disséminé leur beauté et leur symbolique au travers de notre société. Avec Modern Icons, Harry Fayt revisite les grands classiques de l’art, au sens le plus large du terme. Ces images, Harry aime se les approprier, les transformer et les accorder à notre époque. Tantôt décalées, tantôt engagées, les oeuvres de Modern Icons poussent à la réflexion et à la relecture pour au final se les approprier et en faire sa propre interprétation.
Un clic sur l'image ci-dessous pour aller la voir :
Allusion
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