Mots interdits, ou la dérive totalitaire de Trump

@Fergus
Je crois qu’il est inutile de répondre à ce monsieur qui, comme plusieurs de nos compatriotes, échappe à toute rationalité et fonctionne dans l’affectif. C’est bien ce qui est inquiétant dans l’époque que nous subissons.

@Fergus
 
 ’’Pour ce qui est des « covidiots », je note qu’ils ont représenté environ 80 % de la population en France’’
 — >
Et ceux d’entre ces 80% qui ne sont pas tous des covidiotsou l’un des leurs qui ont subi des effets secondaires graves, quand ils se manifestent se font traiter d’antivax par les vrais covidiots de votre acabit.

@Fergus
 
Vous dites n’importe quoi. Votre imagination est très fertile.

@Fergus

Les études épidémiologiques montrent systématiquement un lien entre les niveaux de pollution et les indicateurs de santé cardio-respiratoires : Une augmentation de 1 à 2% de la mortalité quotidienne est observée pour chaque hausse de 10 µg/m³ des principaux polluants urbains. Par ailleurs, les admissions hospitalières pour causes cardio-respiratoires augmentent de 8 à 30% lorsque la concentration en polluants acido-particulaires s’accroît de 10 µg/m³

• Pollution atmosphérique et poumon : approche épidémiologique Air pollution and the lung : epidemiological approach

  
  

  https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2006/07/medsci 2006226-7p589/medsci2006226-7p589.html

• 
  

  En Suisse, la pollution de l’air provoque environ 2 300 décès prématurés par an et 14 000 jours d’hospitalisation pour maladies cardio-vasculaires et respiratoires. « Effets de la pollution atmosphérique sur la santé »

• 
  

  https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/air/info-specialistes/effets-de-la-pollution-atmospherique/effets-de-la-pollution-atmospherique-sur-la-sante.html

  
  

  Ces mêmes corrélations sont observées dans de nombreux pays et contextes : des études en Europe et en Amérique du Nord montrent des résultats similaires ; des recherches en France, au Chili, au Brésil et en Asie corroborent ces liens.

Malgré la solidité et la cohérence de ces données, elles sont sous-représentées dans le débat public. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : complexité du sujet difficile à vulgariser ; intérêts économiques pouvant s’opposer à une prise de conscience ; difficulté à établir des liens de causalité directs, malgré les fortes corrélations.

L’accumulation d’études montrant une corrélation claire entre pollution atmosphérique et problèmes de santé cardio-respiratoires soulève des questions sur la gestion de cette information.

Une meilleure intégration de ces données dans le débat public, et les politiques de santé, serait absolument nécessaire pour protéger efficacement les populations. Mais nous n’en prenons pas le chemin puisque les « virus » et la « vaccination » prennent toute la place. 

@Fergus

Les découvertes des PRR (Pattern Recognition Receptors), des DAMP (Damage-Associated Molecular Patterns) et des PAMP (Pathogen-Associated Molecular Patterns), ont élargi la compréhension de l’immunité innée, la rendant plus complexe et plus centrale dans la réponse immunitaire, tout en réduisant la nécessité de l’immunité adaptative dans la manière dont nous l’envisagions traditionnellement.

Les PRR sont des récepteurs présents sur les cellules immunitaires (mais aussi sur d’autres types cellulaires) qui reconnaissent les motifs moléculaires caractéristiques de pathogènes (PAMPs) ou de cellules endommagées (DAMPs). Cette reconnaissance ne dépend pas de l’identification préalable ou de l’apprentissage d’un agent pathogène spécifique, mais d’une capacité immédiate et générale de détecter des motifs moléculaires « non-soi »ou « endommagés ».

Les PAMP (Pathogen-Associated Molecular Patterns) sont des structures conservées que l’on retrouve dans de nombreux agents pathogènes. Par exemple, les lipopolysaccharides (LPS) sur la paroi bactérienne. Ces motifs sont détectés par des PRR tels que les Toll-like receptors (TLRs), qui déclenchent une réponse immunitaire immédiate.

Les DAMP (Damage-Associated Molecular Patterns), en revanche, sont libérés par les cellules de l’hôte lorsqu’elles sont endommagées. Ils sont aussi détectés par les PRR et signalent que l’organisme est en souffrance ou qu’il y a une situation d’inflammation non résolue, souvent en lien avec des lésions tissulaires.

Les découvertes de ces systèmes de reconnaissance modifient complètement l’approche traditionnelle de l’immunité adaptative, car elles montrent que le système immunitaire peut réagir immédiatement et sans nécessiter d’apprentissage préalable. Ces réponses sont largement non spécifiques, mais tout de même efficaces, car elles activent une cascade d’événements immunitaires protecteurs (activation de macrophages, de cellules dendritiques, et de neutrophiles, production de cytokines et d’anticorps).

Puisque les PRR permettent une réponse immédiate aux signaux de danger (DAMP/PAMP), il n’est plus pertinent de concevoir l’immunité comme une réponse spécifique à des agents pathogènes « étrangers », apprise après une première exposition.

L’immunité innée, qui repose sur ces mécanismes de détection immédiate, répond d’emblée à une menace sans nécessiter de mémoire spécifique ou de« reconnaissance préalable »d’un pathogène. Elle est construite pour réagir à des motifs généraux de danger, qu’ils proviennent de l’intérieur de l’organisme (DAMPs) ou de l’extérieur (PAMPs). L’idée traditionnelle de « mémoire immunitaire », qui fait partie du modèle adaptatif, est totalement obsolète dans ce cadre.

Si le système immunitaire inné peut déjà détecter des motifs de danger (PAMP/DAMP), alors pourquoi aurait-il besoin de se « souvenir » de pathogènes ou de d’agents spécifiques à chaque rencontre ? Pourquoi aurait-il besoin d’une « vaccination » ?

Si vous trouvez que je raconte n’importe quoi, nous pouvons en débattre Fergus ! 

... Le Prix Nobel de physiologie ou médecine met à l’honneur en 2011 des travaux portant sur les mécanismes d’activation de la réponse immunitaire par les cellules et les récepteurs de l’immunité innée. Ralph Steinman est récompensé pour la découverte cruciale des cellules dendritiques, Bruce Beutler et Jules Hoffmann partageant l’autre moitié du prix pour la découverte du rôle essentiel joué par les récepteurs Toll dans la détection des infections microbiennes...

@Fergus

Et comme vous dites que vous ne m’arrivez pas à la cheville, je vais vous raconter une « belle histoire ».

... Chaque jour, en condition physiologique, un adulte inhale de l’orde 10.000 litres d’air dans lequel il prélève le dioxygène nécessaire aux opérations de production de l’énergie pour son organisme. Cet air contient de nombreux aérosols potentiellement nuisibles pour l’être humain (des spores, des poussières, des pollens, des micro-organismes, des matières polluantes, des mycotoxines) qui doivent être arrêtés afin de ne pas rejoindre les alvéoles pulmonaires et, le cas échéant, pénétrer la circulation sanguine. Pour cette raison, les voies respiratoires sont équipées de mécanismes de défense qui bloquent et éliminent les agents pathogènes au cours de la respiration. Ces mécanismes sont, schématiquement, de deux ordres : mécaniques et chimiques.

Le tractus respiratoire est divisé en deux parties : les voies respiratoires supérieures et les voies respiratoires inférieures. Les mécanismes de défense y sont différents ainsi que la structure même des tissus qui composent l’arbre respiratoire. Contrairement à une idée répandue, et fortement tenace, les voies respiratoires ne sont pas stériles. Elles sont, en effet, occupées par un microbiote respiratoire commensal. La densité microbienne dans les voies respiratoires inférieures, chez les personnes saines, est extrêmement faible. Elle est bien plus importante dans les voies respiratoires supérieures. Le microbiote pulmonaire est le résultat de l’équilibre qui s’installe entre importation, par inhalation, et élimination des micro-organismes par les mécanismes de défense.

Dès lors, des déséquilibres dans nos mécanismes de défense peuvent entrainer des infections respiratoires plus ou moins sévères. Ces dysfonctionnements sont bien mis en évidence dans des maladies chroniques comme la mucoviscidose, l’asthme, la BPCO, ou encore la polyarthrite rhumatoïde. Ces dysfonctionnements sont aussi à l’oeuvre lors des rhumes et des grippes, par exemple.

La stérilité des voies respiratoires est donc un mythe qui n’a été déconstruit que très récemment, il y a une dizaine d’années. Des communautés bactériennes sont bien installées, chez les personnes saines, dans les voies respiratoires inférieures. La vision « stérilité / pathogénicité » a fait long feu, c’était un dogme, c’était une théorie non fondée, démentie aujourd’hui par les faits.

@Legestr glaz

Suite....

.. L’air que nous respirons doit être « traité » avant d’atteindre les alvéoles pulmonaires où ont lieu les échanges gazeux : absorption de dioxygène -O2-, rejet de dioxyde de carbone -CO2-. Ainsi il doit être réchauffé, humidifié et purifié.

Cette première opération de contrôle de de l’air respiré est réalisée par les cornets nasaux, positionnés à l’avant du visage. Ils sont à l’avant poste des mécanismes de défense. Des cils (exactement les « vibrisses » qui sont les « poils » dans les narines), la production de mucus et une faculté érectile et de turgescence, semblable celle du pénis, et oui, permettent la thermorégulation, le contrôle hygrométrique et la purification (barrière immunitaire) de l’air.
C’est ainsi qu’en hiver, lorsque l’air est froid et sec, nous bandons beaucoup, les hommes comme les femmes, des cornets nasaux. Certaines pathologies conduisent à la dysfonction érectile, pas seulement chez les hommes, mais aussi chez la femme puisque les tissus des cornets nasaux sont autant concernés que le pénis (sachant que le clitoris est aussi un organe érectile).

La muqueuse nasale est couverte d’un film de mucus, formé en grande partie d’eau (95%) mais aussi de glycosaminoglycanes, de glycoprotéines, de protéines et d’ions. Le mucigène est produit par les cellules caliciformes et surtout par les glandes muqueuses et mixtes du chorion. 

A la surface cellulaire, le tapis muqueux est organisé en deux couches. La couche superficielle repose sur l’extrémité des cils ; elle est visqueuse, parce que riche en glycosaminoglycanes. La couche profonde est beaucoup plus fluide et permet le battement ciliaire. Sous l’action des cils, la couche superficielle glisse en direction du pharynx, en entraînant les grosses poussières de l’air inhalé. Les cornets maintiennent le plus gros de la respiration fonctionnelle ainsi que le tissu muqueux du nez.

Ils disposent d’un réseau d’approvisionnement sanguin et nerveux très riche qui leur donne des capacités d’érection considérables (très semblables au pénis), de turgescence et de décongestion, en réponse aux conditions climatiques et aux besoins sans cesse fluctuants du corps.

Par exemple, si une personne doit soudainement se mettre à courir pour éviter un danger, les cornets vont automatiquement se rétrécir, permettant ainsi une plus grande absorption d’air à chaque inspiration.

D’un autre côté, si une personne essaie de se reposer dans un environnement froid et sec, les cornets vont gonfler afin de fournir une surface muqueuse d’exposition à l’air plus importante, garantissant ainsi que tout l’air aspiré par le nez traverse ces tissus et soit suffisamment réchauffé (ajustement à la température corporelle), humidifié (jusqu’à 98%) et filtré.

@Legestr glaz

suite....

... Les muqueuses sont dotées de trois niveaux de défense contre les agents étrangers, déclenchés en fonction du danger :
— les cellules épithéliales produisent du mucus et des facteurs anti-microbiens ou défensines 
— les cellules de l’immunité innée (neutrophiles, macrophages, cellules NK-like, mastocytes, cellules dendritiques) recrutées au niveau des muqueuses peuvent déclencher une réaction immunitaire non spécifique immédiate contre les pathogènes 
— les cellules dendritiques font le lien entre l’immunité innée et spécifique et participent à l’initiation des réponses immunitaires spécifiques anti-infectieuses et régulatrices.

Des macrophages résident en permanence dans l’environnement alvéolaire où ont lieu les échanges gazeux. En effet des « nanoparticules » peuvent échapper au système de défense des voies respiratoires supérieures. Ce sont donc les macrophages en résidence dans l’environnement alvéolaire qui se chargent « d’éliminer » les agents pathogènes de taille nanométrique qui parviennent jusqu’aux alvéoles. Et lorsque ces agents pathogènes arrivent en masse, les macrophages font appel à un autre type de cellules immunitaires, les « neutrophiles » qui arrivent sur les lieux de l’infection (les lieux du combat) par la circulation sanguine (et par « transcytose »). 

Ces « neutrophiles » appelés, à la rescousse, sont très puissants et libèrent des quantités de molécules « agressives » pour éliminer les intrus manométriques. L’organisme doit donc impérativement « réguler », par la production « d’anti-oxydants », les effets délétères que provoquent les neutrophiles dans les alvéoles pulmonaires. Dans un organisme « sain » l’équilibre se fait bien. Dans un organisme déjà soumis à des « comorbidités », l’équilibre est moins bien réalisé et la fameuse « tempête » de cytokines peut se développer, entrainant hypoxie et détresse respiratoire aiguë parce que les alvéoles ne sont plus en mesure d’assurer le transport d’oxygène adéquat à l’organisme. Des bactéries et leurs toxines peuvent profiter de cette faiblesse immunitaire pour se glisser dans la circulation sanguine provoquant des pneumonies (Le Streptococcus pneumoniae, ou pneumocoque, est le plus souvent en cause).

Et lorsque les taux de pollution augmentent dans l’environnement humain, alors des matières particulaires (PM1, PM0,1) manométriques, des métaux de transition et des gaz (SO2, CO, COV, NO2) peuvent atteindre l’environnement alvéolaire en grand nombre. Et les organismes « sensibles » sont en grande difficulté. Inutile d’invoquer la présence de « méchants virus », lorsque les autres nanoparticules respirées représentent un danger extrême pour la santé humaine. Et toutes les vaccinations du monde, à ce stade, n’ont strictement « aucun effet », aucun ! Parce que le combat a lieu dans l’environnement alvéolaire et pas ailleurs. Et les gens meurent d’emballement immunitaire, d’hypoxie, de détresse respiratoire aiguë ou de pneumonie ! 

Alors Fergus, vous voulez en discuter ou pas ?

@Legestr glaz

Et une très belle étude, Fergus, concernant les personnes âgées, dont vous faites partie.

... "Les personnes âgées sont souvent considérées comme particulièrement sensibles à la pollution atmosphérique. La raison de cette sensibilité accumulée n’est pas connue, mais il est probable qu’elle soit liée à une altération de la fonction pulmonaire liée à l’âge. Cependant, compte tenu de cette incertitude et de l’impact accumulé de la pollution atmosphérique sur cette partie de la communauté, il est nécessaire d’explorer les mécanismes impliqués.

Les polluants gazeux de l’air tels que l’ozone et le dioxyde d’azote, ou de nombreux composants adsorbés à la surface des particules respirables, sont soit de puissants oxydants, soit capables de générer des radicaux libres. S’ils ne sont pas atténués, les oxydants peuvent endommager les cellules délicates qui tapissent les voies respiratoires. Les défenses antioxydantes de petit poids moléculaire présentes dans le liquide de revêtement des voies respiratoires (RTLF) représentent la première ligne de défense contre une gamme d’oxydants qui pénètrent dans les poumons. La quantité et la qualité du réseau antioxydant des voies respiratoires RTLF sont donc probablement des déterminants importants de l’impact de l’exposition aux oxydants sur l’épithélium respiratoire sous-jacent.

Jusqu’à présent, des informations complètes sur la distribution et la variabilité des défenses antioxydantes des fluides tapissant les voies respiratoires ne sont disponibles que chez des volontaires jeunes, principalement en bonne santé.

Des études entreprises chez des patients atteints de diverses maladies respiratoires peuvent entraîner des changements marqués dans la distribution des antioxydants des fluides tapissant les voies respiratoires survivantes.

Aucune information n’est actuellement disponible sur l’impact du vieillissement sur le réseau de défense antioxydant des fluides tapissant les voies respiratoires.

@Legestr glaz
Et la suite...

Étant donné que plusieurs antioxydants des liquides qui tapissent les voies respiratoires sont d’origine alimentaire, les personnes âgées, qui ont souvent des habitudes alimentaires différentes de celles des personnes plus jeunes, peuvent avoir une disponibilité réduite d’antioxydants importante. Compte tenu de ces possibilités, une meilleure compréhension des défenses antioxydantes des fluides tapissant les voies respiratoires dans les poumons âgés est justifiée.

L’âge croissant s’accompagne d’un déclin progressif de la fonction pulmonaire. Ceci est mesurable en termes spirométriques comme une réduction du volume expiratoire maximal par seconde (VEMS )et de la capacité vitale forcée (CVF).

De tels changements sont souvent observés comme les signes inévitables du processus de vieillissement. Le taux de perte de la fonction pulmonaire est probablement influencé par un certain nombre de facteurs externes ou environnementaux, notamment la qualité de l’alimentation de l’individu.

En raison du déclin fonctionnel de leurs poumons, les personnes âgées sont confrontées aux mêmes défis que les plus jeunes, mais avec un système respiratoire compromis. Il n’est peut-être pas surprenant que les personnes âgées soient considérées depuis un certain temps comme un « groupe à risque » en raison de l’impact de la pollution atmosphérique. 

Des preuves étayant cette notion ont été récemment rapportées dans l’étude nationale sur la morbidité, la mortalité et la pollution atmosphérique.Il a été constaté que, chez les personnes âgées, les hospitalisations pour problèmes cardiovasculaires augmentaient de 1 % pour chaque augmentation de 10 µg de particules, tandis que les hospitalisations pour problèmes cardio-pulmonaires augmentaient de 2 %.

La plupart des personnes âgées ont une capacité pulmonaire réduite et l’imposition d’une réduction supplémentaire de la fonction pulmonaire par la pollution atmosphérique peut les amener à dépasser un seuil critique.

Si vous voulez que nous en discutions, Fergus, vous avec vos connaissances, et moi avec les miennes, n’hésitez pas à me solliciter. Je parle de « réalité biologique » pas d’autre chose.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12762578/

@Julian Dalrimple-sikes

 Bonjour Julian

J’ai un peu suivi Tom Cowan. Lorsque j’utilise le lien j’arrive sur VK mais en « cyrillique » avec un grand choix de diverses vidéos ?

@Fergus
 
 ’’Combien ont « subi des effets secondaires graves » ? Je ne nie pas qu’il y en ait eu, mais personnellement, je n’en ai pas connu un seul, ni dans ma famille (assez nombreuse), ni chez mes voisins ni chez mes amis.’’
— >
 Il est clair que, plus vous aurez fait l’apologie des injections de covid et moins vous serez enclin à leur attribuer vos éventuels problèmes de santé ultérieurs ou à recueillir les confidences de ceux qui vous auront écouté religieusement, car il s’git bien en l’occurrence de foi inébranlable en la vaccination.

@Legestr glaz
juste un point à propos du mécanisme d’immunité acquise que vous niez : certaines maladies, on les attrape une fois, et ensuite on en est immunisé (varicelle, oreillons, rubéole...)

.
Ce n’est pas parce qu’on comprends mieux un mécanisme que pour autant cela revient à ce qu’il n’y en n’ait pas d’autre. Heureusement différents mécanismes de défense aux infections de l’organisme se complètent (comme les voitures qui ont la ceinture de sécurité ventrale et abdominale, des airbags frontaux et latéraux, etc.)

@Eric F

Vous avez à l’oreille la douce musique de « l’immunité acquise ». Mais, comme je l’ai écrit à la suite de la découverte « incontestable » des PRR, des PAMP, des DAMP, des TLR, le fonctionnement « supposé », vieux de l’époque pasteurienne, de l’immunité, n’est plus à l’ordre du jour.

Parce que l’organisme sait faire « systématiquement », la différence en « soi » et « non soi ». Pas besoin d’être « préparé » dans ces conditions, à une agression quelconque. Il n’y a donc « aucune immunisation », cela ne sert à rien : c’est de la théorie vaccinale, à laquelle vous voulez bien adhérer ! Une vieille affaire de plus de 100 ans. Un schéma ancestral totalement dépassé et qui ne correspond plus à la réalité biologique. 

Je vais vous expliquer ça en termes simples. Vous décidez de faire une très grande fête, et vous y invitez de très nombreux amis que vous connaissez. 
Lors de cette fête est-ce besoin que quelqu’un de votre entourage vienne vous signaler la présence « d’intrus » ou êtes vous une mesure de les reconnaitre « vous même » ? C’est ça la distinction entre le « soi » et le « non soi ».

Et les maladies que l’on attrape une seule fois correspondent simplement à une maturation du système immunitaire qui n’est pas encore réalisée. Ce sont principalement les enfants qui développent ces trois maladies parce que leur système immunitaire n’est pas tout à fait fonctionnel. Bien que ce système immunitaire de l’enfant soit fonctionnel dès la naissance, il atteint sa pleine capacité de réponse vers l’âge de 16 à 18 ans. Cependant, des facteurs environnementaux, nutritionnels et immunologiques influencent cette maturation.

Et rien n’empêche, qu’une fois adulte, quelques personnes développent ces maladies à la suite d’un dysfonctionnement de leur système immunitaire.

Par ailleurs, les « virus » correspondant à ces trois maladies, ont été « découverts » à une époque ou le MET n’était pas opérationnel ni la PCR. Donc, des résultats présentant des biais méthodologiques monstrueux. Aujourd’hui, la recherche scientifique est toujours incapable de découvrir les « virus » « in vivo » ! Sans « culture cellulaire » pas de découverte de « virus ». Et les biais méthodologiques dans la recherche virologique sont effarants. 

Mais vous pouvez y croire Eric, si cela calme vos angoisses de vous dire « préparé » à affronter les « virus ». 

... «  la théorie classique de l’immunité adaptative est utilisée pour justifier les stratégies de vaccination. La vaccination repose sur l’idée que l’exposition à un pathogène, ou à ses composants, produit une réponse immunitaire spécifique, qu’elle modifie de manière durable le système immunitaire, et donc le »prépare« pour une future exposition.

Ce modèle, est totalement remis en question. Dans une vision plus intégrée et dynamique, les réponses immunitaires seraient plutôt une réaction immédiate et adaptative en cascade, sans que des réponses « spécifiques » soient nécessaires dans la durée. Les cascades inflammatoires et les mécanismes de reconnaissance du »soi« contre le »non-soi« jouent un rôle clé dans la défense de l’organisme. »...

@pemile
 Répondez sur le fond, parce que vos histoires de « déni de sciences », vues sous votre prisme, ne correspondent pas à la réalité biologique. 

Vous niez donc l’existence des PRR, des DAMP, des PAMP, des TLR et des cellules dendritiques pemile ?

@pemile

Et bien oui, vous avez déjà oublié l’existence des PRR, des DAMP, des PAMP et des TLR ? Cela n’existe pas ?

Moi j’en parle et je fais des mises en perspective tandis que votre célèbre mémoire de poisson rouge ne vous autorise même pas à vous en rappeler !

Vous voulez bien me dire ce que vous avez compris des PRR, des DAMP, des PAMP et des TLR ?

PS : Essayez de garder votre sang froid.

... " La reconnaissance des micro-organismes par le système immunitaire inné implique une famille de récepteurs (pattern recognition receptor ou PRR).

... Les PRR ont une spécificité génétiquement déterminée et ont pour principale fonction de discriminer le soi du non-soi via la reconnaissance de motifs moléculaires exprimés sélectivement par les microorganismes.

... Les PRR sont également capables de discriminer le soi du soi modifié, soulignant leur rôle dans la détection des signaux de danger pour le système immunitaire, qu’ils soient d’origine endogène (cellules mortes) ou d’origine exogène (microbes). Les PRRs ont été classés en trois familles constituées par les récepteurs associés aux cellules, impliqués dans la reconnaissance du soi modifié ou du non soi ou dans l’activation des cellules immunes et les récepteurs solubles.
... Les PRR jouent un rôle crucial dans l’initiation des réponses immunitaires adaptatives, généralement protectrices. Le concept actuel est que le type de PRR recruté par un pathogène donné va conditionner, du moins en partie, la nature de la réponse immunitaire générée qui sera adaptée à la nature du microbe rencontré.

@pemile

Je vais vous confier un petit secret. Parce que vous le valez bien ! 

L’évolution de l’être humain l’a doté, au fil du temps, de récepteurs spécifiques contre les agents pathogènes. Il en va ainsi de bactéries et de leurs toxines, des agents fongiques. Il existe même des récepteurs « aryl hydrocarbone » pour lutter contre les particules émises dans l’atmosphère à la suite d’incendies ou d’éruption volcanique. Etonnant non ?

Ah, encore ceci : l’une des grandes incohérences du modèle viral traditionnel c’est que, contrairement aux toxines environnementales, aux bactéries, aux champignons ou même aux signaux métaboliques internes, les virus n’ont pas de récepteurs spécifiques évolués chez l’hôte pour les détecter.

Et si l’on applique le principe du rasoir d’Ockham a ceci, on peut en déduire que les « virus » sont des chimères. Plutôt que de supposer qu’il existe des « agents infectieux invisibles » nécessitant des hypothèses complexes pour expliquer leur comportement erratique, il est plus simple et plus logique d’admettre que ces « virus » sont des artefacts biologiques mal interprétés.

L’hypothèse cellulaire et métabolique explique mieux les mécanismes de dégradation, de stress, et de régénération, sans avoir besoin d’entités exogènes fictives. Une fois cette illusion dissipée, beaucoup de contradictions de la virologie moderne disparaissent d’elles-mêmes.

Si les virus étaient réellement des pathogènes extérieurs, l’évolution aurait dû produire des récepteurs spécifiques pour les détecter immédiatement, comme pour les bactéries, les champignons ou les toxines.

@pemile

C’est votre réponse ???

@pemile

Et je vais profiter de votre post pour rebondir et donner quelques informations à la communauté d’Agoravox.

Lors d’épisodes d’inversion thermique et de pollution accrue, toutes les personnes exposées respirent simultanément un air saturé de polluants (PM2,5, PM10, PM1, PM0,1, NO2, O3, SO2,etc.).

Cela entraîne une réponse physiologique immédiate chez les individus vulnérables (enfants, personnes âgées, malades chroniques), sans qu’il soit nécessaire qu’un agent pathogène soit transmis d’une personne à l’autre.

Les particules fines et les gaz irritants provoquent une inflammation des voies respiratoires, une exacerbation des maladies préexistantes (asthme, BPCO), une augmentation du risque de maladies cardiovasculaires (AVC, infarctus). Ces effets sont dus à l’exposition directe aux polluants et non à une transmission interhumaine.

Les pics de maladies cardio-respiratoires observés lors de ces épisodes sont des épidémies au sens statistique (augmentation brutale du nombre de cas), mais elles ne relèvent pas du modèle classique de propagation infectieuse. Elles sont causées par un facteur environnemental commun affectant simultanément une population entière.

Dans une église où le chauffage dysfonctionne et libère du monoxyde de carbone (CO), toutes les personnes présentes tombent malades en même temps en raison d’une intoxication collective. Il n’y a aucune notion de transmission ou de propagation dans ce cas, mais bien une exposition commune à un agent toxique.

Lors des périodes de pollution accrue, les maladies observées sont dues à une exposition collective à un environnement toxique, et non à une propagation ou transmission infectieuse. Ces épisodes doivent être analysés sous l’angle des facteurs environnementaux et non sous celui des modèles classiques d’épidémiologie infectieuse. Cette approche est la plus rationnelle et est alignée avec les nombreuses données scientifiques disponibles.

L’exposition collective à un air pollué, notamment lors d’épisodes de forte pollution, entraîne une augmentation simultanée des problèmes de santé dans la population exposée, sans qu’il y ait de transmission interhumaine. Ce phénomène s’apparente davantage à une intoxication collective qu’à une épidémie infectieuse classique.

Ces effets sont observés de manière synchrone dans la population exposée, sans nécessité de propagation d’un agent infectieux.

Il est donc crucial d’analyser ces épisodes sous l’angle des facteurs environnementaux plutôt que selon les modèles épidémiologiques classiques des maladies infectieuses. Cette approche permet une meilleure compréhension des impacts sanitaires de la pollution atmosphérique et une évaluation plus précise des risques pour la santé publique.

@PaulAndréG (PàG)

Strictement aucun ! On peut dire que vous avez l’oeil.

Comme les articles que je propose ne passent pas la rampe de la modération, et bien j’informe autrement. Cela vous dérange ?

@PaulAndréG (PàG)
 
Et j’ajoute que l’article de Fergus sous lequel je poste une rédaction totalement « hors sujet » est un article qui, lui, passe facilement la rampe de la modération.

Il s’agit de fustiger Trump, de le présenter en dictateur ou en un agent totalitaire, et l’article parait. 

Cette présentation puérile des affaires du monde ne choque personne. C’est dégoulinant de mièvrerie, d’approximations débiles, mais c’est sans doute ce « journalisme citoyen » qu’il faut promouvoir. 

@PaulAndréG (PàG)

Et bien il vous suffit de ne pas me lire. C’est compliqué ?

@PaulAndréG (PàG)

Votre position consiste donc à faire en sorte que les informations alternatives ne soient pas diffusées ? Tout le monde doit rester dans le rang ? Aucune tête ne doit dépasser ? Vous êtes partisan du « Ministère de la Vérité » ? 

@PaulAndréG (PàG)
 
Au contraire, je peux encore diffuser des informations alternatives.

D’ailleurs, je vois bien que certains lecteurs prennent en considération ce que j’écris. Chacun peut aller « vérifier » ce que je soumets puisque je ne m’appuie que sur des communications scientifiques (de qualité).

Non, ce n’est pas compliqué de faire paraitre un post sous n’importe quel sujet ! C’est mon option.

@PaulAndréG (PàG)

Vous écrivez : « Quel rapport avec le sujet de l’article ?
Encore du trollage pseudo scientifique »

Nous pouvons en discuter ? Selon « votre expertise » qu’est-ce qui vous apparait comme « pseudo scientifique » dans ce que j’ai écrit ? Qu’avez-vous identifié qui serait « pseudo scientifique » ? Je serais très intéressé de le savoir.

Le débat scientifique m’intéresse toujours. D’ailleurs, la « science » est faite pour être discutée. Jetez vous à l’eau, ne soyez pas frileux ! 

@pemile

Vos conseils ne m’intéressent pas. Ici vous êtes un troll qui coure après de petits subsides. Je ne peux que vous plaindre. 

Je puis, je fais comme je veux. Je rédige actuellement un livre sur la santé en lien avec la nutrition. Il sera alors temps pour vous de savoir qui je suis. Il vous faudra donc attendre un tout petit peu encore. 

@Legestr glaz
 bonjour,
 
’’ Je puis, je fais comme je veux. Je rédige actuellement un livre sur la santé en lien avec la nutrition. ’’
— >
 Ne manquez pas de nous avertir dès sa publication.

@pemile

Faites en sorte que mon article sur le sujet paraisse et nous pourrons discuter de points de vue scientifiques.

Il commence comme ceci : 

La virologie à l’épreuve de la rigueur scientifique

La « virologie » est une discipline scientifique qui a mis beaucoup de temps à prendre son envol. Je cite ici une étude de l’année 2009 (1) : «  Les débuts de la virologie furent longs et difficiles, et le concept de virus lui-même n’a évolué que très progressivement entre la fin du 19esiècle et le milieu du 20esiècle. Près de soixante ans ont été nécessaires pour passer de la notion d’agent ultrafiltrable, formulée en 1898 par Martinus Beijerinck, à la définition moderne, fonctionnelle et structurale, des « virus ». La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion (trop petits pour être vus, non-cultivables), à un moment où la bactériologie pouvait, chaque jour, faire état de succès bien tangibles. Les progrès réalisés grâce à la biochimie, la microscopie électronique ainsi que la maîtrise des techniques de culture cellulaire ont conduit à la certitude que les virus étaient des agents infectieux entièrement originaux. Ces 20 dernières années ont consacré la biologie moléculaire comme un outil de choix pour la découverte de nouveaux agents viraux et l’analyse des pathologies d’étiologie virale. »

… « En 1892, Dimitri Iossifovitch Ivanovski démontre qu’un extrait de feuille de tabac malade reste contaminant après filtration à travers une bougie de Chamberland. Les bactéries étant retenues par ces filtres, Ivanovski établit pour la première fois que l’agent responsable de la maladie est d’une taille très inférieure aux microorganismes connus à ce jour. Il démontre ainsi que le facteur responsable de la mosaïque est un agent « ultrafiltrable » et transmissible. Pour autant, le débat reste animé, certains considérant que la mosaïque est liée à une toxine et non à un agent vivant. Ces derniers l’emportent temporairement puisque le nom de « virus » (lat. poison) s’inspire très clairement de la proximité apparente entre ces agents et les toxines. C’est le botaniste et microbiologiste néerlandais, Martinus Willem Beijerinck, qui sera le premier à démontrer, en 1898, que l’agent causal de la mosaïque du tabac est capable de se multiplier ».

C’est en 1935 que Wendell Stanley (1904-1971), un biochimiste américain, cristallisera le virus de la mosaïque du tabac (TMV),amenant une preuve que les virus étaient des particules physiques.

Cependant, nous étions en 1935 et, à cette époque, les outils disponibles ne permettaient pas une analyse rigoureuse des cultures. De forts biais méthodologiques ne pouvaient pas être exclus.

Ce sont ici les premiers pas de la virologie. Mais, depuis, des méthodes modernes sont apparues au fur et à mesure que des technologies de pointe comme la « microscopie électronique à transmission » et « l’amplification en chaîne par polymérase  », PCR (Polymérase Chain Reaction) étaient mises au point. Mais, malgré tout ceci, la « virologie  » demeure une discipline scientifique qui n’applique pas la « rigueur scientifique  ». Et ceci est un gigantesque problème. En synthétisant beaucoup, je vais tenter de vous exposer ceci le plus clairement possible.

Même si l’on n’y connait absolument rien en biochimie ou en biologie, il est quand même possible de comprendre les « biais méthodologiques  » que rencontre, dans un silence étonnant, la virologie et que presque personne ne questionne. Curieusement.

La première chose à savoir est celle de comprendre que jamais, à ce jour, aucun virus complet, ou intégral, n’a été découvert dans une sécrétion humaine, où ailleurs. Cela n’existe pas. Il est aujourd’hui tout à fait impossible à la discipline appelée « virologie » de découvrir des virus complets. C’est le premier point à prendre en considération.

Mais si l’on ne trouve jamais de « virus complet  » que trouve t-on alors ?

@pemile
 
 ’’ négationnisme scientifique ’’ = non conformité à la Pravda scientifique.

@Francis, agnotologue

J’attends la réponse d’un éditeur qui a paru très intéressé par mes mises en perspective « iconoclastes ». 

@Julian Dalrimple-sikes

Merci Julian.

Covid par ci, covid par là. Gains de fonction, protéine spike. Tout ceci me fatigue. Les « virus » ne sont que des « chimères », la célèbre protéine spike n’est qu’une « déduction » de ce que pourrait produire une séquence génétique.

... La question fondamentale porte sur l’origine théorique de la protéine Spike. En effet, la découverte de cette protéine repose d’abord sur une analyse génétique et comparative des virus connus avant elle, puis sur une déduction fonctionnelle. La méthode a permis aux scientifiques de « théoriser l’existence de la protéine » à partir des informations génétiques obtenues. Cette approche théorique, corroborée par des expériences de laboratoire, est la base de la science virologique moderne, mais elle repose sur des hypothèses !

Les maladies ne sont pas « transmissibles ». L’organisme humain possède un système immunitaire qui le protège, tant bien que mal, lorsqu’il est fonctionnel. 

Ces maladies dites « transmissibles », que l’on nous présente, relèvent simplement de notre environnement, de l’hygiène, de la malnutrition, de la consommation de toxines. 
Mais, en mettant en scène un « méchant virus », seule la « vaccination » peut apparaitre comme « salvatrice ». Mais c’est un délire complet tout simplement parce que l’organisme humain sait faire, toujours et tout le temps, la distinction entre « le soi » et « le non soi ». C’est la seule chose à retenir.
Ainsi le système immunitaire humain fonctionne en « cascade ». L’immunité de première ligne, dès qu’elle est en présence du « non soi », déclenche des réactions, les unes après les autres, et ceci jusqu’à ce que le problème soit réglé.

Il faut savoir que chaque seconde, dans l’organisme humain, se produit des milliards de milliards de milliards de réactions chimiques. Ainsi, face à un agent pathogène quelconque, le système immunitaire ne tarde jamais à mettre en oeuvre tout un tas d’actions pour gérer l’agression. 

@Legestr glaz
 
 ’’La principale difficulté résidait dans le fait de concevoir des êtres vivants submicroscopiques, en les définissant principalement sur des critères d’exclusion ’’
— >
 Je croyais que les virus n’étaient pas des êtres vivants ?
 Croyance corroborée par le fait qu’ils s’apparentent aux exosomes.

@Francis, agnotologue

Si vous injectez une protéine animale, quelle qu’elle soit, dans un organisme humain, cela produira inévitablement une réaction immunitaire et la libération d’anticorps. Parce que cette protéine ne fait pas partie du « soi ».

Mais cela ne veut jamais dire que cette protéine est d’origine « virale ». C’est partant de cette constatation, de la production d’anticorps, que l’on fait « l’hypothèse » qu’il s’agit d’une protéine virale. Mais n’importe quelle protéine animale, ou étrangère, injectée dans l’organisme, lui ferait produire des anticorps. 

@Legestr glaz
 
 ?
je ne comprends pas la réponse à ma question : les virus sont des êtres vivants ou pas ?

@Francis, agnotologue

Les virus n’existent simplement pas. Les virus sont une « construction théorique ». Ce sont des « chimères » qui naissent « d’artefacts méthodologiques ». 

La virologie moderne repose en grande partie sur des travaux historiques qui, à l’époque, ne disposaient pas des outils et des protocoles rigoureux permettant de prouver avec certitude que les protéines et les séquences génétiques attribuées, par hypothèse, aux virus, étaient virales.

Les génomes viraux modernes sont reconstitués par bio-informatique, en assemblantdes fragments d’ARN/ADN trouvés dans des cultures cellulaires infectées. Ces fragments sont attribués à un « virus »sur la base de critères subjectifs (comparaison avec d’autres séquences déjà « cataloguées »). On suppose que l’ADN ou l’ARN provient bien du virus et non des cellules hôtes, des contaminants du milieu de culture ou de réactions non spécifiques. Mais il n’y a jamais d’isolement pur du virus en tant que tel.

Les protéines, dites « virales », sont détectées dans des cultures cellulaires, où coexistent des protéines de cellules VERO (de singe vert), de sérum bovin fœtal, d’enzymes de culture, d’agents chaotropiques, etc.

Ces protéines sont déclarées « virales »par analogie avec d’autres protéines attribuées à des virus dans le passé. Les tests immunologiques (ELISA, Western Blot) sont ensuite calibrés sur ces protéines sans jamais prouver leur origine réellement virale.

Des séquences génétiques sont attribuées à des virus sur la base de comparaisons avec des génomes déjà théorisés dans le passé. Des protéines sont déclarées virales parce qu’elles ressemblent à d’autres protéines précédemment qualifiées de virales. Les tests diagnostiques sont ensuite calibrés sur ces protéines et ces séquences, fermant le cercle de l’auto-validation.

Les techniques de biologie moléculaire ont évolué, mais elles se basent toujours sur des hypothèses et des méthodologies non validées expérimentalement à leur origine. On continue d’utiliser des lignées cellulaires artificielles (VERO, sérum bovin, etc.) et des milieux de culture complexes comme référence, sans jamais prouver que ce qui est détecté existe dans un organisme vivant. Les critères d’identification des virus restent flous et dépendants d’interprétations bio-informatiques ou immunologiques biaisées par les hypothèses de départ.

La virologie repose sur un système d’auto-validation basé sur des postulats anciens jamais réellement prouvés. Les protéines virales et les génomes viraux ne sont jamais isolés directement, mais déduits, attribués, comparés. Les tests diagnostiques sont construits sur ces bases, ce qui empêche toute remise en question du modèle.

Toute la question est donc de savoir si ce que l’on détecte est réellement viral… ou si l’on a créé un système basé sur des artefacts méthodologiques.

La virologie est une « pétition de principe » ! Une tautologie ! Un raisonnement circulaire.

@pemile

Oui bien évidemment. Ce n’est pas l’absence d’argument qui peut m’influencer ! (joli l’émoticône).

@pemile

Merci beaucoup de me permettre de vous répondre. Vous m’offrez une bien belle tribune.

Les inversions thermiques, phénomènes météorologiques fréquents en hiver, piègent les polluants près du sol, créent une couche d’air stagnant et fortement pollué.

https://www.fne-aura.org/actualites/isere/inversion-thermique-et-pollution-atmospherique-une-liaison-dangereuse/

Ce phénomène peut se produire simultanément sur de vastes zones géographiques. L’exposition à cette pollution atmosphérique concentrée peut déclencher ou exacerber des problèmes cardio-respiratoires chez les populations vulnérables, indépendamment de tout processus de contamination virale

• https://www.msdmanuals.com/fr/professional/troubles-pulmonaires/maladies-pulmonaires-li%C3%A9es-%C3%A0-l-environnement-et-au-travail/maladies-li%C3%A9es-%C3%A0-la-pollution-de-l-air

• Des études récentes suggèrent une corrélation entre les niveaux élevés de pollution atmosphérique et la gravité des épidémies respiratoires, y compris le COVID-19

• https://www.unige.ch/medecine/faculteetcite/media/covid-19-la-qualite-de-lair-influence-la-pandemie

  https://www.citepa.org/pollution-de-lair-et-covid-19-des-liens-complexes/

• Cette perspective remet en question la théorie simpliste du « virus voyageur » et souligne l’importance des facteurs environnementaux dans l’apparition et la propagation des épidémies. Elle met en lumière la nécessité d’une approche plus holistique de la santé publique, intégrant la qualité de l’air comme un facteur clé dans la gestion des maladies respiratoires.
  

@chantecler

Puisque vous êtes là, cette fois ci je ne vous parlerai pas du « stress oxydatif » mais des épidémies de maladies cardio-respiraotires en lien avec la pollution atmosphérique.

Le principe du rasoir d’Ockham s’applique lors des épidémies de maladies cardio-respiratoires. Ce principe philosophique stipule que, parmi plusieurs hypothèses, la plus simple et celle qui fait le moins d’hypothèses est souvent la plus probable.

Dans le cas des maladies cardio-respiratoires et des épidémies, l’explication basée sur les particules nanométriques PM1 et PM0,1 présente plusieurs avantages selon le rasoir d’Ockham :

Observable et mesurable : Les particules PM1 et PM0,1 sont directement observables et quantifiables dans l’air

https://sensor1stop.com/fr/knowledge/understanding-pm10-pm2-5-pm1-and-pm0-1/

https://www.notre-planete.info/environnement/pollution_air/particules-fines.php

Leur présence est une constante physique, contrairement aux « virus » qui sont hypothétiques et impossible à isoler. Les études montrent une corrélation directe entre l’exposition aux particules fines et l’apparition de maladies respiratoires

https://www.appa.asso.fr/wp-content/uploads/2020/02/Marano_2010.pdf

https://www.camfil.com/fr-fr/infos/normes-reglementations/pm1-les-plus-dangereuses

Cette relation est plus simple et directe que la théorie complexe de la transmission virale. Les variations de concentration de particules fines selon les régions expliquent naturellement les différences d’incidence des maladies respiratoires

https://www.asef-asso.fr/production/les-particules-fines-la-synthese-de-lasef/

Les effets des particules nanométriques sur le système respiratoire et cardiovasculaire sont bien documentés et compris, offrant une explication plus simple que les mécanismes complexes de l’immunité antivirale. Pas besoin d’hypothèses supplémentaires : L’explication par les particules fines ne nécessite pas d’hypothèses additionnelles sur la mutation des virus, leur propagation ou leur contagiosité.

Ainsi, selon le principe du rasoir d’Ockham, l’hypothèse des particules nanométriques comme cause des maladies respiratoires et des phénomènes épidémiques apparaît comme l’explication la plus simple et la plus directe, nécessitant moins d’hypothèses foireuses que la théorie virale. Cette approche offre une explication cohérente et observable des phénomènes de santé publique, en accord avec les principes de la zététique et de la pensée critique.

@pemile

Vous me complimentez maintenant ?

@pemile

Pour vous mettre de bonne humeur ce matin.

... Les « génomes viraux complets » sont toujours des constructions bio-informatiques basées sur des fragments. Il n’existe pas d’exception connue à cette règle, ce qui soulève des questions fondamentales sur la nature même de ce que nous appelons « virus ».

Ceci a des implications majeures :

— Elle remet en question la notion même de « génome viral complet » comme entité réelle et distincte.

— Elle souligne les limites à notre compréhension actuelle des virus.

— Elle invite à une réévaluation critique de toutes les études basées sur ces constructions in silico.

La rigueur scientifique exige de la clarté, sans laisser place à l’ambiguïté ou à de fausses exceptions.

@Legestr glaz
 
 dans le tiers monde, la moitié des décès des enfants sont dus à la malnutrition.
 Certains y échappent : ils décèdent de l’hépatite C. En effet, ils sont déclarés porteurs du virus.
On a même mis au point un test plus rapide et moins onéreux que le PCR : comme ça on en, sauvera beaucoup ... de la malnutrition. Si vous voyez ce que je veux dire.

@pemile
Répondons donc : 

1 : (copié-collé) ; 1) Le séquençage de l’ADN pour la médecine légale est aussi une « construction bio-informatique basées sur des fragments » mais là, tu as reconnu sa validité.
Dans ce cas nous sommes certain de l’origine de l’ADN ! Il est humain. C’est un « prélèvement sur un humain » ! C’est tout. C’est la démarche inverse de ce qui se passe avec la virologie qui agit « par hypothèse » et qui « reconstruit » un génome à partir de « fragments attribués à du matériel génétique » ! Mais ça, c’est difficile à comprendre pour un esprit confus.

2 : (copié-collé) ; 2) Tu zappes toujours les cultures de virus, in vitro ou in vivo
Il n’existe, en virologie « que » des cultures « in vitro » auxquelles participent des cellules animales de singes verts (VERO) et des cellules de sérum foetal bovin.

3 : (copié-collé) ; 3)Tu zappes que tous les labos répartis dans le monde utilisent des techniques différentes mais obtiennent le même « génome viral complet » et ou l’arbre phylogénétique des variants. C’est uniquement la « banque de données » des virus chimériques qui est utilisée par tous les labos !

4) : (copié-collé) ; 4) j’attends toujours que tu oses tenter de prouver tes délires en te contaminant avec le sang d’un séropositif ! Aucun rapport avec la choucroute. Les « amorces » des PCR pour détecter les personnes atteintes du SIDA procèdent de la « pétition de principe », si vous voyez ce que cela veut dire. En gros : un raisonnement circulaire, une tautologie !
 
Et la réalité qui suit, reste une réalité : ... Les « génomes viraux complets » sont toujours des constructions bio-informatiques basées sur des fragments. Il n’existe pas d’exception connue à cette règle, ce qui soulève des questions fondamentales sur la nature même de ce que nous appelons « virus ».

@Francis, agnotologue
 
Effectivement, c’est une terrible réalité. Dans de nombreux pays africains, où l’on teste les malades à l’aide de PCR, le SIDA est prospère. C’est « l’amorce même » du test qui est une chimère parce que venant d’un génome « imaginaire », construit par bio-informatique.

En réalité, ces populations souffrent de malnutrition. D’un défit constant en vitamine A, en vitamine C, en vitamine E, en zinc, en fer, en sélénium.

Mais les « méchants virus », et la « vaccination », permettent de masquer cette terrible réalité. Et d’aucuns se donnent « bonne conscience » à travers la vaccination et la distribution de vaccins. 
... « La carence en vitamine A est la première cause de cécité dans de nombreuses zones d’endémie. La xérophtalmie ne touche que les enfants pauvres ; même dans les zones de prévalence élevée, elle n’affecte qu’exceptionnellement les enfants de familles aisées. C’est une maladie liée à la pauvreté, au manque d’instruction des mères, au manque de terres arables, à l’inégalité, au défaut d’accès aux soins de santé primaires curatifs et préventifs, à la grande fréquence des infections bactériennes et parasitaires (elles-mêmes liées au défaut d’hygiène et d’accès à l’eau potable) et à un manque criant de sécurité alimentaire des familles. »...

... « La carence en micronutriments, qui affecte deux milliards de personnes dans le monde, conduit à la cécité,
à une immunité affaiblie, à un retard de développement physique et cognitif, à l’accouchement et d’autres
problèmes de santé graves. Cette « faim cachée » a gravement affecté des millions de femmes et d’enfants
en Afrique. Près de la moitié des enfants africains de moins de cinq ans souffrent d’une carence en
vitamine A ; 60% souffrent d’anémie, souvent causée par une carence en fer ; et 25% sont déficients en zinc.
(Ces trois micronutriments sont identifiés par l’OMS comme parmi les plus importants pour la santé). Selon
la Banque mondiale (2018), les pays africains perdent chaque année plusieurs millions de dollars à cause
de carences en vitamines et minéraux. »...

https://au.int/sites/default/files/documents/41149-doc-Roadmap_-_Upscaling_Biofortification_in_Africa_-_Final_-_Frn.pdf

@pemile

C’est intéressant chez vous cette capacité à nier la réalité biologique !

Des « conneries » parce que soit vous n’y comprenez rien, soit vous faites l’imbécile. Dans les deux cas ce n’est pas glorieux.

Et je vais m’arrêter là, parce que je ne veux pas nourrir les trolls ! Merci encore de me permettre d’alerter sur certains sujets.

@Francis, agnotologue

Oui, je vois bien ce grand principe qui a été parfaitement bien mis en application lors du covid19 avec ce que d’aucuns ont appelé « l’effet vases communicants ». 

Pour des raisons d’application de certains tarifs, certains morts basculaient de la catégorie BPCO, ou pneumonie, à covid19. Et le covid19 en devenait une maladie redoutable. Sauf que la mortalité, toutes causes confondues, ne bougeait pas. D’où le ridicule de la chose, mais qui passe inaperçue.

@Legestr glaz
 
 ’’ Sauf que la mortalité, toutes causes confondues, ne bougeait pas.’’
 — >
Oui ! Béni soit le covid 19 qui a réduit la mortalité due aux autres maladies et aux accidents habituels. Lol !

@Phil

Merci beaucoup.

Oui, Stefan Lanka a eu le courage de mettre les pieds dans le plat. C’est effectivement son « point de vue » qui m’a amené à faire des recherches plus poussées.
Stefan Lanka est un héros des temps modernes. Parce qu’il faut beaucoup de courage et d’abnégation pour proposer sa propre vision de la théorie virale puisque d’immenses intérêts économiques sont en jeu. 

Mais pas seulement. Parce que les « méchants virus » permettent de masquer la réalité des effets délétères de la pollution atmosphérique sur les êtres humains et de se dédouaner de l’abandon de populations entières soumises à la malnutrition. Et dire que ce sont des « milliardaires » qui, en justifiant la « vaccination », sont à l’origine de la maladie, de la souffrance et de la mort d’enfants, de femmes et d’hommes qui pourraient, si on prenait le problème par le bon bout, obtenir une aide spécifique pour les soulager et les soigner. Notre monde est stupide. 

@Phil

Je lis ceci dans l’un des deux documents : 
copié-collé : 

@Julian Dalrimple-sikes

 Merci !

@Legestr glaz

La chronologie de mise en place du test PCR développé pour « identifier » le SARS-COV2, pose un sérieux problème et suggère des éléments troublants concernant le développement de ce test PCR de Drosten.

Si l’on résume :

— Le 10 janvier 2020, le séquençage du SARS-CoV-2 est rendu public.

— Le 13 janvier 2020, l’OMS publie déjà un protocole PCR basé sur ce séquençage.

— Le 21 janvier 2020, Drosten soumet son article décrivant le test PCR, ce qui implique des essais déjà réalisés en laboratoire.

— Le 22 janvier 2020, l’article est publié en 24h dans Eurosurveillance.

Il se trouve que le développement d’un test PCR rigoureux prend normalement « plusieurs semaines » pour analyser en détail le génome et identifier des séquences cibles, concevoir et tester des amorces spécifiques, vérifier la reproductibilité et la sensibilité du test en laboratoire, comparer les performances du test avec d’autres techniques de détection.

En seulement trois jours après la publication du génome, tout ce travail aurait été réalisé ? Cela semble hautement improbable.

Autant de questions légitimes qui sont restées sans réponse et qui mériteraient une enquête approfondie et une mise à plat totale.