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Les commentaires de Pierre Kéliam



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 12 avril 2014 16:28

    Effectivement, ça réduit le champs de votre réflexion.



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 12 avril 2014 15:10

    Intéressant comme vos commentaires révèlent ce que je dis dans cet article sur la division des croyances. Intéressant de voir aussi que l’athéisme est ici en sous-représentation et comment pas mal des commentateurs sont plus mystiques que croyants !

    Je ne répondrai pas à chacun, juste je vous invite à réfléchir sur la répartition des religions sur le globe, les différences, les ressemblances et en cherchant le point commun essayez de ne pas omettre que l’apparition de l’Homme a précédé la croyance et que les dinosaures et les 64 millions d’années qui ont suivies se sont passées de Dieu.

    Mais je n’ai aucune croisade contre une ou toute les religions, la chose qui m’intéresse est plutôt le « vivre ensemble » et donc cela :

     

    Manifester contre le droit des autres que ce soit à propos du mariage ou de l’euthanasie n’est pas digne de la part de démocrates.

    Je réitère ce que j’ai déjà dit : il ne s’agit pas de manifester contre le droit des autres, mais contre un droit qui sera donné à chacun. Le mariage n’était pas interdit aux homosexuels avant la loi sur le mariage pour tous, il était simplement défini comme l’union d’un homme et d’une femme. Un homme ne pouvait pas se marier avec un homme tout simplement parce que la définition même mariage l’en empêchait. La question du mariage gay a été la redéfinition du mariage, et non l’extension d’un droit dont une catégorie de la population était privée, contrairement à ce qu’on a essayé de nous faire croire.
    Mais au-delà de cette question, car je ne voudrais pas relancer ici le débat sur le mariage gay, je ferai remarquer que les lois ne se réduisent pas aux commodités pratiques qu’elles permettent. Elles sont également le reflet de la manière dont la société considère l’être humain, en particulier les lois qui touchent à la mort, à la vie et à la procréation. Il ne faut donc pas s’étonner que ces sujets soient épineux et que des gens soient contre le mariage gay même s’ils n’ont rien contre le fait que des homosexuels vivent ensemble.

     

    En ce qui concerne le mariage, le seul qui vous concerne seul en tant que croyant (que je vous suppose être) c’est le religieux. Le civil concerne toute la société et il est décidé par vote. Cela a été fait. Qu’une minorité s’attaque aux avantages d’une autre en contestant le vote est choquant. Ouvrir un droit en changeant un « avec » ou un « et » en « ou » ne modifie pas le votre, celui que vous aviez avant. Soutenir le contraire est spécieux.

     

    Pour invalider ce paradoxe de la croyance, il faudrait aussi intégrer les animistes, les scientologues, les taoïstes.... et les cultes éteints qui tous croyaient être détenteurs de la vérité.

    Les animistes et les taoïstes ne se présentaient pas comme des détenteurs de vérité. Cependant, j’intègre volontiers le taoïsme et l’hindouisme dans les religions valables, en tant qu’elles sont conformes à un certain filon traditionnel. En revanche je connais mal l’animisme et je ne porterai pas de jugement dessus.
    Quant à la scientologie, il me paraît clair qu’il s’agit d’un charlatanisme.

     

    Regroupez les croyances, étudiez leurs point communs et vous y découvrirez l’Homme pas Dieu.

    La psychanalyse a largement pioché dans le panthéon grec pour comprendre les pulsions et les déviances des hommes ! Nous construisons nos religions à nos images.

    Et pourquoi rejeter la croyance dans les idoles par rapport à la votre, sur quelle base ?

    Sur la base de la raison. On peut lire Aristote pour savoir que nous faisons toute chose en vue d’un bien, et que dans ces choses c’est le Bien qu’on recherche à travers elles. C’est donc que nous admettons implicitement qu’il existe un Bien dont participent les choses créées. L’idolâtrie consiste à ne rechercher plus que la chose pour elle-même, et à oublier le bien qui motive nos actions : c’est irrationnel.

     

    Non, nous faisons souvent le mal, parfois par plaisir de la souffrance de l’autre, Sadisme, parfois par maladresse. Idolâtrie, qu’il faut aller voir au musée Branly, est une culture très intéressante. Votre analyse sur elle est dogmatique (marchand du temple) pas rationnelle

     

    je vous rappelle que les religions s’entre-tuent encore tous les jours.

    Non. Il n’y a pas d’exemple de guerres de religion chimiquement pures, où les motivations politiques, économiques, territoriales, ethniques n’interviennent pas également. En réalité, la religion est dans ces cas-là utilisée comme un prétexte pour exciter les foules et donner à la population le sentiment que de l’issue du conflit auquel on les prépare dépend l’avenir de la chose qui leur est le plus cher.

     

    Dans ce cas il n’y a aucune raison pure au guerre, mais elles ont lieux quand même ! Les talibans ne sont pas forcément intéressés par le commerce ou l’apat de qqchose

     

    Et surtout, n’ont pas les mêmes morales, pas la même vision du bien et du mal, ne sont pas d’accord sur le Christ, sur le Diable, sur la vie après la mort... ça fait beaucoup !

    Ça fait effectivement beaucoup de choses, et je ne nie pas cela. Mais les grandes religions traditionnelles conservent néanmoins entre elles des similitudes fortes en ce sens qu’elles s’opposent radicalement, et de la même manière, à l’athéisme. Je ne résiste pas à citer ce passage de La Crise du monde moderne de René Guénon :
     »Un des caractères particuliers du monde moderne, c’est la scission qu’on y remarque entre l’Orient et l’Occident. Il peut y avoir une sorte d’équivalence entre des civilisations de formes très différentes, dès lors qu’elles reposent toutes sur les mêmes principes fondamentaux, dont elles représentent seulement des applications conditionnées par des circonstances variées. Tel est le cas de toutes les civilisations que nous pouvons appeler normales, ou encore traditionnelles ; il n’y a entre elles aucune opposition essentielle, et les divergences, s’il en existe, ne sont qu’extérieures et superficielles. Par contre, une civilisation qui ne reconnaît aucun principe supérieur, qui n’est même fondée en réalité que sur une négation des principes, est par là même dépourvue de tout moyen d’entente avec les autres, car cette entente, pour être vraiment profonde et efficace, ne peut s’établir que par en haut, c’est-à-dire précisément par ce qui manque à cette civilisation anormale et déviée. Dans l’état présent du monde, nous avons donc, d’un côté, toutes les civilisations qui sont demeurées fidèles à l’esprit traditionnel, et qui sont les civilisations orientales, et, de l’autre, une civilisation proprement antitraditionnelle, qui est la civilisation occidentale moderne.">

     

    Je pense cette analyse moins impactante que celle qui nous place en pays à très haut revenu qui maintiennent les pays producteurs de matière première dans un certains chaos pour maitriser nos cours et circuit d’approvisionnement et notre espace Géopolitique.



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 16:56

    Parce que votre traduction date un peu Google dit aujourd’hui de votre phrase en grec


    « ETI Mais par la fantaisie stellaire e seulement évident que périphérique, mais aussi la taille CDR Oussama grand. »

     smiley 

    OK Aristote la pensait sphérique, sinon en physique des particules, relativité générale, système solaire, théorie de l’évolution, droit des femmes, tectonique des plaques, attraction gravitationnelle et mécanique de vol, il disait quoi


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 16:21

    Pour enlever un peu de votre bruit ne confondez pas ronde et sphérique, s’il vous plait



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 16:18

    Je n’ai pas apprécié votre argumentation ni en qualité ni en franchise. C’est ce qui m’a agacé. Par ailleurs, je suis en conflit avec les LMPT qui nient avoir une influence sur le mal-être des gays et qui, quand je leur rappelle le taux de suicide de ces gamins, viennent me dire que j’instrumentalise leurs morts. A toute fins utiles, je vous précise que je ne suis pas gay, moi-même.

    Je vous prie cependant d’excuser mon humeur dans ma réponse.

    La question ici n’est pas mon opinion sur le mariage gay, mais sur le fait de dire que, sous prétexte que des gens ne seraient pas concernés par une loi, ils n’ont qu’à circuler et se taire. Si on estime qu’une personne n’a pas à donner son avis sur une loi, c’est qu’on ne la considère pas comme un citoyen.


    L"avis des catholiques sur le mariage gay et sur l’Euthanasie a été entendu et bien entendu. Manifester contre le droit des autres que ce soit à propos du mariage ou de l’euthanasie n’est pas digne de la part de démocrates. Personne ne vous impose quoi que ce soit en revanche vous voulez imposer aux autres


    Les guerres entre les catholiques et les protestants étaient, en même temps qu’une querelle théologique, un combat politique. Il s’agissait d’une époque où religion et politique n’étaient pas séparés.

    Il y a toujours plusieurs causes mais cela reste des guerres de religion, ne biaisez pas Religions qui sont aussi moteur pour e Rwanda, les factions du Liban, Les massacres de coptes, de musulmans en serbie....


    Je ne fais qu’une remarque d’ordre général sur les religions, qui invalide votre paradoxe. Je ne vois pas ce qu’il y a de délirant à rappeler que les chrétiens et les musulmans souhaitent la paix aux hommes de bonne volonté, et que les Juifs honorent les « Justes parmi les Nations ». Ce qu’elles ne tolèrent pas, en revanche, c’est l’idolâtrie, c’est-à-dire le fait de placer son espérance du Bonheur dans les choses créées plutôt que dans le Bien suprême. Même si l’on s’en tient au texte biblique, nous voyons bien que certains personnages sont considérés comme bons alors que la religion n’avait pas été instituée, je pense à Noé par exemple. Je ne vois pas non plus en quoi je viens « dire ce que les laïques doivent refuser pour moi ».

    Pour invalider ce paradoxe de la croyance, il faudrait aussi intégrer les animistes, les scientologues, les taoïstes.... et les cultes éteints qui tous croyaient être détenteurs de la vérité. Et pourquoi rejeter la croyance dans les idoles par rapport à la votre, sur quelle base ?

    Mon paradoxe est plus celui de la confiance en la croyance d’abord et ensuite celui des religions qui ne peuvent avoir raisons toutes ensemble

    ------- 


    Les religions imposent une liturgie et des règles aux autres qui sont opposées (mariage Musulmans des gamines par exemple) et elles ont toutes raisons, ce qui vous permets aussi alors d’avoir raison, puisque pour vous seul, le croyant, a raison.


    Effectivement, la liturgie, la forme des cérémonies, les règles ne sont pas les mêmes selon les religions, mais cela ne concerne que l’aspect formel, qui est secondaire par rapport au fond.


    Argument sur le fond non vérifié et invalide : je vous rappelle que les religions s’entre-tuent encore tous les jours. Et surtout, n’ont pas les mêmes morales, pas la même vision du bien et du mal, ne sont pas d’accord sur le Christ, sur le Diable, sur la vie après la mort... ça fait beaucoup !



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 14:59

    J’espère que vous avez demandé à cette personne la permission avant de poster une conversation qui semble privée où son nom apparaît en toutes lettres.


    De quoi me mêle-je ?

    Droit que personne ne leur demande de promouvoir ni de s’appliquer et qui ne les concerne donc pas.

    Voilà une remarque fort fallacieuse. La loi étant ce qui règle les rapports sociaux entre les individus, elle concerne par définition tout le monde. On ne peut donc pas faire valoir le fait qu’une loi ne concerne pas une catégorie de personnes pour leur faire sentir qu’ils devraient abandonner la polémique.

    En quoi la loi autorisant le mariage gay influe sur votre vie ? 

    Réponse : EN RIEN sauf si vous devenez gay et souhaitez vous marier.

    Si une seule religion à raison, la majorité des croyants se trompent. Il est possible aussi que tous se trompent.

    La simple logique conduit donc à douter du fondement de la croyance

    Sauf qu’une religion n’a pas « raison » ou « tort ». Une religion est là pour relier l’homme à Dieu. Par conséquent, il peut y avoir des religions qui réussissent plus ou moins bien dans cette mission de liaison, voire qui la sabordent en toute connaissance de cause. Il est vrai que les religions monothéistes se réclament de la plus grande authenticité, mais il n’empêche qu’elles n’excluent pas foncièrement que des hommes extérieurs à elles adorent Dieu de façon correcte. C’est ce qu’elles désignent sous le terme « d’hommes de bonne volonté ». De plus, il y a des points essentiels sur lesquels les grandes religions se rejoignent, ce qui aurait plutôt tendance à renforcer la croyance que l’on peut avoir en elles plutôt que l’affaiblir.

    Sans avoir raison ou tort nous avons eu les guerres de religions. Mais surtout votre argumentation est fanatique et délirante. Vous venez nous dire ce que nous laïques devons refuser pour vous et on n’a pas le droit de vous dire que vous avez raison ou tort ?
    Les religions imposent une liturgie et des règles aux autres qui sont opposées (mariage Musulmans des gamines par exemple) et elles ont toutes raisons, ce qui vous permets aussi alors d’avoir raison, puisque pour vous seul, le croyant, a raison.

    Vous êtes juste un fanatique, sans intéret, votre argumentation est fallacieuse et ne vous sert qu’à brimer votre prochain.




  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 14:14

    Cela n’a pas de sens pour un croyant, mais cela donne un sens au monde qui nous entoure, et nous aide à comprendre le bien et le mal.

    Par ailleurs je ne sorts pas ici du rationnel et du vérifiable.
    Mais vous pouvez tout balayer d’un revers de manche et croire ce que vous souhaitez, je ne suis pas un extrèmiste.
    Je cherche et j’explique ce que je trouve pour être contredit si j’ai tort 


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 14:08

    Bien avant l’apparition de l’Islam et de la Bible, il y a eu des fins du monde quasi-totale, et il y en aura d’autres, peut-être même définitive.

    On sait maintenant que ces événements sont probabilistes.


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 14:05

    Je suis absolument d’accord avec la relativité du bien, mais je ne pense pas que la gazelle le soit avec votre vision du bien l’absolu !



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 14:01

    C’est effectivement le propre de la croyance.

    Mais l’apparition du sens binaire avec la vie puis son évolution/complexification avec l’évolution est une explication à la fois rationnelle et crédible


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 13:56

    Tout Darwin repose dans cette question / réponse : Est-ce un hasard ? Si les choses avaient été différentes, nous ne serions tous simplement pas là pour nous poser cette question.



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 11 avril 2014 13:53

    Cet argument prouve essentiellement que les morales religieuses inspirées de la parole divine, ne sont pas opposables à l’éthique qu’une société se vote.

    Les religions ne sont pas d’accord entres elles sur ce qui est bien ou mal.
    Sur la volonté du Divin.


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 10 avril 2014 16:56

    Non, c’est pour cela que j’ai retenu finalisme plutôt que finalité.

    Pour moi la différence se fait sur le « en vu de » 
    Le vivant stocke des mémoires sous différentes formes (ADN, hormones, circuit neuronaux...), que cette mémoire soit ensuite utile de manière mécanique, comme l’explosion de la pastèque qui propulse les graines, ou consciente, comme la protection du juvénile des mammifères relève de la même logique finaliste.
    C’est juste deux stratégies différentes. mais les deux relèves de la mémoire puis de l’action « en vue de ».


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 10 avril 2014 11:23

    Merci énormément de votre insistance.

    J’ai été voir la définition de ce terme barbare et je dois dire que je suis flatté d’avoir redécouvert par un cheminement personnel simple, une théorie ainsi nommée et développée par des gens aux voix desquels je me laisse bercer avec une adoration béate.

    Vous me permettrez cependant de garder mon Finalisme, pour deux raisons :

    -La première est que Finalité est le synonyme courant utilisé pour Téléonomie, Finalisme est donc un synonyme qui ne trahit pas votre mot savant.

    -La deuxième est plus personnelle, si je suis conscient de la nécessité de la science de définir un langage pour gagner en précision, un des travers de cette construction linguistique est d’isoler chaque branche naissante de science des autres. 
    C’est une Babelisation
    Cette Babelisation a pour autre conséquence, celle d’isoler la branche naissante de la population et par la même de former une communauté autonome de pensée qui parle en rond.

    On a vu cela pour la psychanalyse, qui s’est mise à manier des concepts tellement fumeux, qu’elle s’est divisée en secte qui n’avaient plus rien de scientifiques

    Merci néanmoins de votre précieuse remarque,
    PK


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 10 avril 2014 10:59

    Effectivement, l’Homme s’invente lui même en toute liberté de choix, jusqu’à ce qu’un événement probabiliste ou volontaire mette fin à son seul vouloir.

    L’humour et le rire lui permettent à la fois d’accepter le nécessaire fatalisme, mais aussi de se rassurer d’être l’intelligence consciente émergée de l’inerte qui permet à l’univers de se régaler de sa beauté.

    Être et penser sont une chance inestimable.


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 10 avril 2014 09:17

    Le message ci dessus ne concernait pas Z...

    C’était une réponse à un message contradicteur que j’ai malheureusement envoyé en message à l’article. Il s’est donc retrouvé sous le votre.

    @Z... Mon travail, ma reflexion fait suite à l’état qui est le votre que j’ai connu pendant 40 ans sans savoir par quelle bout prendre la profusion de connaissance dont j’étais abreuvé.
    Le mondes etait quantique mais palpable, le temps avait un sens et une durée quantifiable,mais plus dans les fusées, ce savoir n’est plus de taille humaine ! Il rend fou !

    Il y a 5 ans, j’ai voulu pour mes gamins, essayer de remettre un peu d’ordre dans cette pensée pour savoir de quoi leur parler.
    Le Darwinisme est une logique extrèmement puissante pour comprendre le vivant, à la fois par l’évolution et par la génétique.

    Il explique aussi une bonne partie de la géologie (calcaire, calcite, marbre...) et même les changements climatique.

    POur le remettre en ordre, plutôt que de partir de l’existant, j’ai imaginé la chute d’une météorite géante, il y a 4 Mds d’année, et je me suis mis à sa place, à son points de vue.

    C’est un travail littéraire et non scientifique, mais j’ai voulu le rendre sciento-compatible, et j’ai ecrit une genèse darwinienne.
    Il se trouve que ce travail donne un sens à la continuité du monde et de la vie, sur une planète en permanente régénérescence.
    Il positionne à la fois le libre arbitre et le fatalisme que nous devons savoir garder.

    Je ne m’oppose pas à vous, simplement remettre du chaos avant d’avoir appréhendé le sens du texte ne sert pas ma reflexion, je vous le signal juste.
    Cordialement
    PK


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 10 avril 2014 09:00

    J’ai la faiblesse de croire connaitre pas trop mal le fonctionnement humain. 

    Se servir de l’approche statistique pour nier les probabilités d’émergence de la vie, est un biais indémontrable, qui contredit justement ce qui nous entoure et permet de réintroduire Dieu, l’Esprit dans le grand jeux et cela alors même que que la science repousse sans cesse la localisation du paradis, de l’enfer, la nature du divin, les miracles...
    et que 99 % de notre savoir a été acquis après les écritures des livres !!!

    Et cela alors même que la sciences commence à comprendre et à converger vers le rôle du tellurisme pour démultiplier les expériences de chimie biologique et aboutir à la proto cellule.

    Je ne franchis pas l’affirmation de inexistence de Dieux, mais je constate que les zones que lui offrait les croyances ont reculé au fur et à mesure que le savoir progresse.


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 9 avril 2014 10:47

    Ma réflexion se situe effectivement dans le concret le visible et le palpable uniquement. Et de préférence dans le démontrable, même si je fais plutôt de la philo que de la science à proprement parler (les deux n’étaient pas déliés avant)


    Mais ne te trompe pas sur les mots employés, mon finalisme n’est ici que l’identification d’une logique d’itération d’une des composantes des systèmes intriqués dans le processus évolution.
    Elle se différencie des lois causales types attraction universelle (devenue relativité Gale) ou un état initial entrainera la rencontre des deux objets en fonction de la masse et de l’inverse du carré de la distance. (pas de mémoire, pas de traitement, pas de volonté final) mais une action (et quelle action !)


  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 9 avril 2014 10:35

    C’est un mot trop compliqué pour moi, ce qui ne se comprends pas simplement ne se comprends pas tout court.



  • Pierre Kéliam Pierre Kéliam 9 avril 2014 10:33

    Merci Philouie d’unir votre réflexion à la mienne.

    En reconstruisant une genèse Darwiniènne, on s’apperçoit d’abort que la tache est impossible parce que 4,5 milliards d’année d’itérations de systèmes s’intriquant à des rytmes et des cadences différentes ne sont pas préhensible par une intelligence humaine.
    En revanche, on peut simplifier par le vocabulaire, le mot « mémoire » que vous notez est un simplification d’une série de phénomènes ayant le même objet de « stokage d’informations » qui servent« un mode opératoire » en vue « d’un objectif ».
    C’est la base de la logique finaliste.
    Le problème logique ainsi posé permet ensuite de comprendre à chaque fois où il intervient ;
    Par exemple :
    L’adn est une mémoire de construction
    Les émotions sont des mémoires dirigeant la fuite, l’amour, la douleur....
    La proto-intelligence méméorise des actions utile
    l’intelligence decuple cela
    Le langage mémorise des abstractions qui coordonent l’action de groupe
    Internet décuple l’intélligence et les actions coordonnées
    Ect

    La logique mémoire/traitement/ décision-action est la base de la logique Finaliste
    Sa complexification à la fois hasardeuse et finaliste se traduit par l’evolution