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Accueil du site > Tribune Libre > Les Mureaux s’enflamment contre Peillon !

Les Mureaux s’enflamment contre Peillon !

Déjà lors du Conseil Municipal tenu en mars 2013, les parents et enseignants s'étaient invités au Conseil municipal ( voir photo jointe)....aujourd'hui c'est la colère

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LE REFUS DES RYTHMES PEILLON S'ETEND

Le gouvernement et le ministre Peillon sont forts, très forts.

Ils ont réussi à se mettre à dos une large majorité d'enseignants,de nombreux parents et de très nombreux maires, notamment ruraux.

Ceux qui comme le maire de Paris ont voulu passer en force dès septembre 2013 vont en payer le prix....Ils affrontent une opposition forte y compris des animateurs qui s'aperçoivent que n'importe qui, sans qualification va pouvoir faire n'importe quoi sur le temps péri scolaire.

Aux Mureaux, le 16 octobre, ce sont plus de 100 personnes qui ont envahi le hall de la mairie :

« Déclaration des enseignants des Mureaux au rassemblement du 16/10/2013.

Les enseignants des Mureaux ont tout fait depuis la rentrée scolaire pour la défense de leurs élèves et de leur métier afin d’éviter une dégradation catastrophique des conditions d’apprentissage des élèves et des conditions de travail des enseignants. Mais maintenant, nous sommes convaincus que ces efforts n’ont pas apporté d’amélioration réelle ou de solution acceptable. Cette réforme dénature l’école publique en la soumettant au périscolaire. Pour cette raison, nous considérons qu’on ne peut pas l’aménager ni même participer à un comité de suivi de mise en oeuvre d’une réforme que nous jugeons incompatible avec le fonctionnement de l’école publique.

Nous constatons les faits suivants :

Les écoles sont désorganisées  : les élèves, les parents, les enseignants, les personnels communaux sont dans un état de stress préjudiciable à un climat d’apprentissage.

Des manquements graves à la sécurité sont régulièrement observés :

La sécurité des élèves est mise en cause, en particulier lors de la circulation et le transport des élèves à l’extérieur et également à l’intérieur de l’école où ils peuvent être livrés à eux-mêmes.

Fiches de sécurité toujours en cours d’élaboration le 15 octobre…

Multiplication des listes mais manque de liaison entre les partenaires : chacun sa liste !

Les projets TAP ne correspondent pas à la réalité des contenus affichés.

Pas de prise en charge des enfants en situation de handicap, méconnaissance des PAI.

Intrusion de personnes extérieures dans les écoles, impossibilité d’exercer un contrôle des personnes pénétrant dans l’école.

Sorties mal encadrées surtout lors des transferts de lieux, (le taux d’encadrement même aggravé par la réforme n’est pas respecté.)

Aucune signature d’autorisation de sortie par les parents.

Activités mal appropriées à l’âge des enfants

Pas de matériel pour les animateurs ou matériel prêté par les écoles, abîmé, volé, perdu.

 

C’est la confusion générale entre le scolaire et le périscolaire :

Confusion des personnels : multiplication des intervenants pas toujours identifiés, confusion des rôles avec les ATSEM. 

Confusion des lieux : c’est la perte des repères spatiaux avec l’utilisation des mêmes lieux pour des activités différentes, des règles différentes. Désacralisation des salles de classes comme lieux d’apprentissage.

Confusion des contenus : enfants peu intéressés par des activités menées par des animateurs peu ou pas formés, sans matériel. Les activités proposées sont souvent sans contenu.

Confusion du temps : c’est la perte des repères temporels pour les enfants, par un saucissonnage de la journée et une irrégularité des horaires hebdomadaires.

Plus grave encore, les difficultés des enfants sur le temps du TAP se répercutent sur le climat de l’école. Les actes d’insolence, de violence, de non respect des règles de la part de certains élèves s’aggravent considérablement.

Notre école souffre et on l’entend : on assiste à une augmentation du niveau sonore dans les couloirs et les cours de récréation et à une fatigabilité accrue des élèves, en particulier le jeudi matin, par la remise en cause de la coupure du mercredi et par une présence accrue de l’enfant en collectivité.

L’absentéisme des élèves de maternelle devient important : 1/5 à ¼ d’élèves absents constatés dans certaines écoles maternelles.

Nous ne pouvons accepter cette situation plus longtemps, c’est pourquoi nous vous demandons de suspendre sans délai la nouvelle organisation des rythmes scolaires. »

 

De très nombreuses municipalités ne mettront pas en place, même en septembre 2014 l'aménagement des rythmes scolaires.

Ce ne sont des réactionnaires endurcis.

Ils savent que sans moyens, sans un cadre national avec des financements suffisants et une exigence de formation des intervenants, ce sera du n'importe quoi avec comme premiers perdants : LES ENFANTS !

 

Jean-François Chalot


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24 réactions à cet article    


  • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 11:22

    Tout ce bazar à cause des ambitions du sieur Peillon qui a imposé une réforme alors qu’il fallait proposer en tenant compte des réalités locales. Beaucoup d’écoles fonctionnent sur quatre jours depuis plus de vingt ans ! A contrario la ville de Toulouse qui est restée sur quatre jours et demi (comme quoi on peut contourner un décret !) n’obtient pas de meilleurs résultats pour ses élèves : aux évaluations CE1 les performances en lecture et en maths des enfants de cette commune sont inférieures à la moyenne nationale !

    Chacun sait que les difficultés de l’école sont ailleurs que dans les emplois du temps...

    • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 15:52

      Flûte je me suis moinssé !!! Merci d’expliquer en quoi mon com serait contestable ?


    • Kern Kern 21 octobre 2013 16:33

      @ Fabien

      Délit de sale gueule ; c’est très courant ici

      Qu’importe ce que tu as écrit ; t’es pas de la bonne pensée

      Tu fais pas partie du troupeau des lobotomisés bobos

      Fais comme moi : que ce soit ta fierté


    • La mouche du coche La mouche du coche 21 octobre 2013 19:11

      L’auteur s’interesse toujours aux détails mineurs d’un fait, en négligeant l’important. Le grave est l’introduction de la LGBT à l’école, pas les rythmes scolaires. On se fiche des rythmes scolaires.


    • 65beve 65beve 21 octobre 2013 12:28

      J’ai l’impression qu’on a deux choses différentes selon qu’on est en ville ou à la campagne.

      Dans mon canton, il n’y a pas de retour négatif de ce projet.
      Le but de cette réforme (pour moi) est quand même de faire arriver des enfants en sixième et qui sachent lire écrire et comprendre le français. On pourra déjà faire un bilan au mois de Septembre, à la prochaine rentrée.
      cdlt
       

      • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 15:51

        S’il y a un consensus pour bâtir un projet cohérent, alors très bien... mais il faut réaliser qu’il y aura des disparités terribles entre chaque commune (moyens, emplois du temps). Autre chose, et c’est un prof qui vous le dit : les meilleurs projets attireront les meilleurs instits, les projets farfelus attireront les autres...
        De plus pour reprendre votre com je vous signale que les écoles qui appliquaient la semaine de quatre jours avant Darcos obtenaient au moins d’aussi bons résultats, d’où la généralisation...


      • 65beve 65beve 21 octobre 2013 16:17

        Oui, les moyens financiers manquent cruellement.
        Par contre toutes les associations municipales jouent le jeux (pour l’instant).
        Dans les cas ou ça semble plutôt bien marcher comme chez moi, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions, surtout après quelques semaines de classe.
        Après, bien sûr, il y aura les municipalités socialistes qui vont faire un effort et les autres qui vont freiner des 4 fers.
        La politique reprend ses droits.
        cdlt


        • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 16:52

          Au fait quel est le PEDT de votre commune (emplois du temps, activités...) ? A-t-il était élaboré par une commission (parents-enseignants-intervenants) ou imposé par la mairie ?


        • 65beve 65beve 21 octobre 2013 21:32

          PEDT ?
          En vérité, je vois ce qu’en pensent mes petits enfants et surtout leurs parents.
          cdlt.


        • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 22:08

          Pour 65beve le PEDT c’est le projet scolaire local ; je vous demandais juste si vous connaissiez les emplois du temps et les activités périscolaires proposées...


        • docdory docdory 21 octobre 2013 16:24

          @ Chalot

          Personnellement, j’ai été scolarisé en primaire avant 1968. Je me souviens très bien de mes rythmes scolaires à l’époque.
          - Les horaires de l’école était de 9h à 12 h et de 14 h à 16h30
          - Il n’y avait que deux journées de repos, le jeudi et le dimanche. Le samedi nous finissions à 16h30 comme les autres jours de semaine.
          - Il y avait deux semaines de vacances à Noël, deux semaines de vacances à Pâques et nous avions de vraies grandes vacances du 1er Juillet au 20 septembre environ. 
          - Il n’y avait pas de vacances de la Toussaint, sauf si le jour de la Toussaint permettait un pont. Il n’y avait pas de vacances non plus en février, sauf parfois un ou deux jours certaines années pour ce qu’on appelait à l’époque « le mardi-gras ». Personne à l’époque n’allait au ski en février, il y avait les « classes de neige » une fois dans la scolarité pour ceux que ça intéressait.

          Aucun enfant n’était fatigué par ces rythmes scolaires qui paraîtraient scandaleux de nos jours, et ce pour deux raisons :
          - aucun parent digne de ce nom n’aurait eu l’idée saugrenue de laisser des enfants en primaire éveillés devant la télé après 20h30. Tout le monde était au lit à cette heure là, même pendant les vacances.
          - il régnait à cette époque une discipline de fer dans les classes, le silence était quasi absolu mis à part la parole de celui qu’on appelait à l’époque le maître, il n’y avait aucun brouhaha permanent contrairement aux écoles primaires actuelles, donc les enfants n’étaient pas épuisés par le bruit et les mouvements browniens permanents de leur condisciples.
          Moyennant quoi, tout le monde savait, en fin de primaire, lire, écrire sans quasiment faire de fautes, compter, faire des divisions ardues (du genre 0,035 divisés par 0,33 ) et des règles de trois, connaissait les principales dates de l’histoire de France et la géographie de notre pays et diverses autres choses avant d’entre en sixième. Les très rares élèves qui n’’avaient pas acquis ces compétences minimales étaient dirigés vers la « classe de fins d’études » ou vers l’examen d’entrée en sixième. ( Il ne serait jamais venu à l’idée de qui que ce soit à l’époque de faire entrer en sixième un enfant ne sachant pas bien lire, ni écrire sans fautes, ni faire les 4 opérations... ).
          En bref, c’était un système éducatif et de rythmes scolaires qui fonctionnait très bien, pourquoi ne pas le rétablir ?

          • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 16:55

            Ah le bon vieux temps où l’herbe était verte ! La France a changé, le monde aussi et les habitudes culturelles ne sont plus les mêmes qu’il y a 40 ans (rapport à l’autorité, à la culture etc.). Au lieu de parler du passé parlons de l’avenir... 


          • docdory docdory 21 octobre 2013 17:20

            @ Fabien Marcel Bonaparte


            Je pourrais ajouter à mon commentaire précédent que nous avions au moins une heure de devoirs à faire après l’école !
            La France a changé, certes, mais pas forcément en bien.
            Sans aller jusqu’à remettre exactement les rythmes scolaires de mon enfance, au moins peut-on laisser une semaine de 4 jours et demi, la demi journée supplémentaire étant le samedi et non pas le mercredi, de façon à garder la coupure de milieu de semaine, 
            Il faudrait réduire de moitié les vacances de la Toussaint et de février, qui sont devenues bien trop longues ( c’est tout juste maintenant si les enfants ont du travail entre les vacances !!! ). Une semaine serait largement suffisante, pourvu que les parents ne couchent pas leurs enfants à 23 heures pendant les vacances...
            Et il faudrait que des cours aient lieu toute la journée d’école, et ne soient pas remplacés, comme dans cette réforme Peillon, par des espèces de passe-temps bidons faits par des intervenants extérieurs ! On paie des instituteurs, c’est pour qu’ils fassent tout l’enseignement, du début à la fin des heures de cours, et non pour payer en plus et en pure perte des intervenants extérieurs plus ou moins fantaisistes pour distraire les enfants au lieu de les instruire.

          • docdory docdory 21 octobre 2013 17:25

            J’ajoute qu’il faudrait rétablir la semaine de vacances de début juillet : l’expérience prouve que les enfants ne font strictement rien à l’école pendant cette semaine, donc autant qu’ils soient en vacances.

             Il faudrait plutôt faire en sorte qu’au lycée et au collège les cours durent effectivement jusqu’à la fin juin, alors qu’actuellement, la moitié des enseignants sont absents pour cause d’examens à partir de la mi-juin, voire même avant !

          • béatrice 21 octobre 2013 18:41

            @ docdory

            En ce bon vieux temps, même tardif de 1980, je faisais partie des 25,9 % d’élèves de ma génération qui étaient arrivés au bac. Le système était instructif et sélectif tout à la fois.
            Maintenant, il voudrait être éducatif et sélectif bien plus tardivement.
            La société a changé, c’est un état de fait incontournable et l’école n’existe pas dans une bulle. Améliorer les conditions d’apprentissage ne peut pas se faire si la société ne bouleverse pas elle-même son rythme et ses priorités.
            Demain et presque aujourd’hui, le système éducatif se transforme au mieux en un centre de loisirs (pour les communes les plus riches) et pour la majorité en un centre de gardiennage et parcage d’enfants entre temps dits scolaires, péri-scolaires et extra-scolaires.


          • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 20:16

            Je partage votre point de vue sur le samedi-matin ; d’ailleurs on ne rappellera jamais assez que la coupure du mercredi était d’abord sanitaire : elle avait pour rôle d’enrayer les épidémies et de couper la fatigue nerveuse. Quant aux temps périscolaires ils ne sont intéressants que s’ils « coupent » la dernière heure (15h30-16h30) où les enfants ne sont plus réceptifs à rien ! Les « enfants du numérique et des medias » (Marc Prensky) n’ont plus la patience et l’attention que vous aviez il y a un demi-siècle, sans parler des cas psychiatriques que les instits doivent gérer dans les classes ! Je vous renvoies à mon article sur les « 800 postes vacants en Seine St Denis »...


          • 65beve 65beve 21 octobre 2013 21:30

            @Docdory

            Si vous me dites en plus que votre instit était communiste, alors plus de doute, nous étions dans la même école !

            cdlt


          • docdory docdory 22 octobre 2013 11:09

            @65beve


            A cette époque, les instituteurs ne parlaient pas de politique, et il n’y avait pas de cours « politiquement corrects » sur tel ou tel sujet de société. L’école se contentait de nous instruire et ne prétendait pas nous éduquer....

          •  C BARRATIER C BARRATIER 21 octobre 2013 18:56

            Je mets en parallèle :
            * l’augmentation du nombre de jours de vacances
            *la diminution du nombre de jours et d’heures de classe par les enseignants
            *le recul de la capacité apparente des enseignants d’enseigner la musique, le chant, le sport, les travaux manuels par rapport aux époques où un instituteur enseignait tout et le faisait bien ce qui « aérait » la journée de classe.
            *l’augmen,tation de la durée des études exigée pour les enseignants et leur incapacité pour beaucoup d’écrire 10 phrases au tableau sans faire au moins une faute d’orthographe.
            *la peur des ministres et élus des lycéens, des enseignants, car les grèves et les manifs désorganisent tout.
            *le m’en foutisme des parents en ce qui concerne les fatigues du week end, les heures de télévision et les couchers tard, les réveils bien avant la classe pour mettre les enfants en garderie fatigante, la même bêtise se produisant en fin de jounrée.

            Ne parler que du problème des rythmes scolaires est oculter 99 % du problème !
            Voir en table alphabétqiue des news :

            Ecole publique : Enfin une refondation qui la conforte ?

             http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=217



            • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 20:10

              Surprenant : « le temps où l’instituteur faisait tout... » ; quand j’étais gosse il n’y avait ni chant ni cours de dessin dans mon école primaire et l’enseignement de l’histoire-géo était facultatif (génération des disciplines d’éveil, 1980)... et rassurez-vous les enseignants savent rédiger dix phrases sinon ils ne réussiraient pas les concours de recrutement. Vos préjugés d’échappé du café du commerce vous pouvez vous les garder cher monsieur.... mais je vous comprends, aujourd’hui lundi votre troquet était sans doute fermé.


            • hauteville 22 octobre 2013 09:47

              j’ai bien connu cela : les futurs enseignantsétaient recrutésrès la 3ème par concours avec une épreuve de chant obligatoire, une épreuve d’éducation physique...Reçus, ilsentraient à l’école normale comme internes, il y en avait une par département, ils préparaient les deux indispensables bacs et avaient des coursde musique, eps, gym, travaux manuels qu’ils appliquaient à l’école primaire annexe. Dès la classe de seconde, ils enseignaient sous contrôle ces matières à des enfants (classes d’application). L’EPS se faisait dansla cour même de l’école normale..Après leur bachot, ils avaient une année de formation pro alternée (stages ’un mois dans des écoles du département, en tandem). Ils sortaient donc avec un diplôme à bac +1 qui devait être concrétisé au cours d’une année en pleine responsabilité avec des inspections.Après ils étaient instits titulaires.
              J’oubliais que dès la seconde, ils partaient en stage de formation pour être moniteurs de colonies de vacances (vacances de pâques), ils devaient encadrer au moins 1 mois une colo, passaoient un diplôme plus complet que l’actuel BAFA. Ils recevaient aux vacances de pâques de leur classe de 1ère un premier stage dans un CREPS(Education physiuqye plus poussée)...
              les fautes des enseignants actuels ne sont pas rares, y compris dansdes orriers aux parents. J’imagine que leurs correcteurs lors de leur recrutement ne les voyaient pas et en faisaent eux mêmes. J’ai reçu hier une convocation pour un conseil d’école, signée du directeur, _ il y a une belle faute !


            • Bogey 23 octobre 2013 19:34

              Votre message montre à quel point vous méconnaissez le monde actuel de l’école, car les enseignants de maintenant sont bien plus polyvalents que ceux de notre enfance.


              Point besoin de périscolaire pour que les élèves apprennent à taquiner la souris ou speaker english, contrairement à leurs aînés qui ont pris la retraite.

            • CHALOT CHALOT 21 octobre 2013 21:57

              Cet aménagement à la va vite c’est un gadget qui permet de masquer la triste réalité :
              - des enseignants peu ou mal formés ;
              - un appauvrissement des contenus ;
              - une réduction des heures de français et de mathématiques ;
              - des parents bobos dans les conseils d’école et les autres qu’on oublie....


              • Coeur de la Beauce Fabien Marcel Bonaparte 21 octobre 2013 22:06

                Pour CHALOT : cher collègue vous avez bien résumé la situation... notre école devient une halte-garderie. Mais cette société de beaufs consuméristes dirigée par des oligarques sans vision de l’avenir demande-t-elle autre chose ?

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