Croyant

Lorsque l’auteur de cet article affirme que les états européens ont « pris les mesures » pour « pourchasser » et traquer les terroristes islamiques, j’imagine qu’il plaisante. Alors que les médias comme Arte ont multiplié les interviews consacrées à la tuerie d’El Paso, la mort d’un enfant de huit ans occidental, tué par un migrant érythréen, s’est fait dans le silence médiatique total (

Ce n’est pas la première fois que la presse européenne hiérarchise les violences selon l’appartenance de l’auteur ou des victimes : ces dix dernières années, la presse fait de la sur-enchère en parlant des agressions « homophobes » ou « transphobes » ( comme la chaîne Arte qui en parle comme d’agression « inqualifiables » ou « très graves ») et jette un masque sur les autres agressions, beaucoup plus nombreuses,que subissent les français au quotidien. La mort d’un handicapé de 61 ans à Elbeuf, tabassé par des racailles est passé totalement inaperçu dans l’espace médiatique : seule la responsable LREM des français handicapés l’a condamné sur Twitter. 

Jamais elle n’a été invité sur un plateau, surtout celui d’Arte, pour en parler. Jusqu’à quand les français vont-il s’aveugler et s’autodétruire et voir en face les vrais problèmes de violence. J’espère que mon article pourra convaincre le plus de lecteurs possible. 

1969 a surtout été le début de la domination féminine actuelle. Les jeunes de cette époques se sont battu pour avoir une sexualité « émancipée », résultat en 2019 : sentiments assassinés, romantisme assassiné et galanterie assassinée. Rien que du cul partout, pour tous. Personnellement, cela me dégoûte d’autant plus que la sexualité est maintenant vue comme un sport dans lequel il faut sur-préformer. Les intégristes féministes veulent faire disparaître les occidentaux en les empêchant de se reproduire entre eux. Elles lobotomisent des femmes en manque de repères, pas très finaudes qui se jettent dans leurs préceptes ultra-violent à l’égard des hommes. Cela dit, j’ai bon espoir en voyant de plus en plus de femmes se rebeller contre cet intégrisme qui les renie et les prive de bonheur.

Je suis d’accord avec vous. Cette loi Taubira est faite pour servir la surenchère à la victimisation permanente : 3 % des habitants de ce pays imposent leurs loi, leurs caprices à 97% des autres, avec le soutien des tyrans locaux (Arte, Libération, le 20 minutes, etc...). Le plus grave est que le gouvernement, les médias menteurs et manipulateurs vont à l’encontre de la majorité des gens : selon les instituts de sondage 81 % des français s’opposent à la GPA pour les couples homos et 61% s’opposent à la PMA pour les couples homos. Il est vrai que nous ne sommes plus à une loi antidémocratique prêt, mais il est plus que temps de dénoncer les mensonges des pseudo journalistes, comme ceux sus-cités. 

Sur Arte, nous avons eu droit à une heure et demi de débat sur « la suprématie blanche et la haine naturelle de la classe moyenne américaine à l’égard des étrangers », sans que ses pseudo journalistes aux méthodes si impartiales et si parfaites ne s’interrogent sur les causes de cette « haine » : quelques jours avant la fusillade, un érythréen avait assassiné un enfant de 8 ans et tenté d’assassiner sa mère en les poussant sur les voies d’un TGV. Ni Arte, ni « Libé » ni les états français et allemands n’en ont parlé une seule seconde. La prétendue « haine » à l’égard des migrants est en réalité une réaction de légitime défense face aux meurtriers qui passent chaque jours nos frontières, avec la complicité des traîtres d’Arte. Pas plus qu’ils ne parlent de ses français menacés de mort par des islamistes à Sarcelles.

La seule religion qui subit le plus de haine est bien le christianisme aujourd’hui. Je sais le voir, comme de plus en plus d’électeurs français.

Hier soir, Arte diffusait un reportage sur « le combat d’une mère qui avait réalisé une GPA à l’étranger pour faire reconnaître son enfant en France », les époux Ménnesson pour ne pas les citer. Evidemment, les journalistes d’Arte, dans leurs perversion habituelle prenaient partie pour la mère adoptive contre les manifestants de la Manif pour tous. Crachant son venin, tel un serpent acharné, Renaud Dely a parlé de « violence » dans les propos des manifestants opposés à la GPA. Personnellement, j’ai une question à poser aux journalistes d’Arte qui liraient mon texte. Qui est le plus violent des deux : le citoyen qui appelle ouvertement au respect de la loi dans son pays ou celui qui viole la loi en la détournant ? Car c’est bien ce qu’ont fait les époux Ménnesson en pratiquant une GPA à l’étranger, ils ont contourné la loi française. Comment appelle-t-on une personne qui viole la loi ? Un hors-la-loi. Malgré, cela, cette personne est venu sur un plateau de télévision exprimer tranquillement à la France qu’elle devrait faire le ménage chez elle en légalisant la GPA, et cela, avec la bénédiction des pseudo journalistes et de l’enfant né de cette GPA. L’adolescente elle-même annonçant tranquillement que la GPA ne concernait absolument pas les manifestants et que ceux-ci cherchaient un bouc émissaire. Tous citoyen français est forcément concerné par les lois en application sur le territoire de la République (Voir la DDHC de 1789). Pour le bouc émissaire, je pose simplement la question de savoir pourquoi ? Les manifestants étant généralement fortunés et mariés, ils n’ont besoin de personne pour passer leur nerfs. Comble de l’Absurdité, l’adolescente s’exprimait tranquillement au nom des enfants issus d’une GPA, alors qu’elle avait été mise au monde au USA, et absolument pas dans un pays du Tiers-monde. En outre, elle a eu la chance de garder des contacts avec sa mère-porteuse, ce qui n’est absolument pas le cas pour tous les bébés éprouvettes. Il est hallucinant d’avoir diffusé ce pseudo témoignage qui ne reflète rien de la réalité. Il est porté par deux menteuses qui prétendent qu’une majorité de Français sont favorables à la GPA (voir à ce sujet le sondage Ifop de février 2019). Si un journaliste d’Arte à le courage de me répondre, je suis prêt à débattre avec lui.

Mon article ne concerne en rien le sujet de la discussion, mais c’était ma seule chance d’être publié.