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Je suis ingénieur, libertarien, de l'école autrichienne d'économie.

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  • Premier article le 25/01/2008
  • Modérateur depuis le 23/01/2009
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Derniers commentaires



  • gdm gdm 3 février 2008 17:00

    @Michel Santi

    Dans votre article, vous vous appuyez sur le montant des bonus que certains cadres dirigeants de banque ont reçus. L’argent qui est versé à un dirigeant est de l’argent qui n’est pas versé aux actionnaires. S’indigner des bonus versés revient logiquement à défendre la rémunération des actionnaires contre les cadres dirigeants. La rémunération d’un dirigant salarié ne concerne que le conseil d’administration qui représente les actionnaires. Si un actionnaire prefere recevoir moins d’argent pour mieux rémunérer son salarié, je ne vois pas aucune raison pour un tiers de d’y opposer ou de le regretter.

     

     



  • gdm gdm 28 janvier 2008 13:35

    @Petrus

    Votre explication politique est tres ambitieuse. Elle prétend donner une explication globale en se fondant sur des phénomenes que vous croyez y voir. Votre explication fait partie des explications "holistes", c’est a dire que vous raisonnez sur l’ensemble de la société pour en tirer des conclusions sur le particulier, sur l’individu, sur tel fait politique.

    Ma démarche intellectuelle est inverse. J’utilise ce que le philosophe et sociologue Raymon Boudon appelle "l’individualisme méthodologique". C’est a dire que mon raisonement se fonde sur l’action humaine individuelle. L’action humaine est complexe à analyser. Mais elle obeit à des regles de comportement infiniment moins complexes à analyser que l’ensemble d’une société.

    Je souiens que toute explication holiste, telle la votre, soufre du défaut de raisonner sur des termes impossibles a définir autrement que de maniere circulaire. A mon avis, l’individualisme methodologique est nécessaire pour fonder valablement une analyse d ela société.

    C’est ainsi que procedent les sciences économiques. Elles se fondent sur ls mécanismes élémentaires pour en déduires des mécanismes globaux. C’est la méthode cartésienne classique des sciences exactes qu’on s’efforce alors d’appliquer. Et cette approche cartésienne présente l’avanatge de la logique et de l’efficacité. Cette méthode s’oppose à toute approche poétique ou holiste.

    C’est ainsi, que, dans votre réponse, chaque mot que vous utilisez mériterait une sceance de définition. Et une telle scéance de définition serait en elle-meme l’occasion d’un débat sur la forme et sur le fond. Ainsi vous utilisez pour exposez votre thèse les mots "nébuleuse", "entité", "dogme", "croyance", "religion", "dictature". Sous votre plume, tous ces mots deviennent quasiment synonymes. Je ne parviens donc pas à comprendre le sens de votre réponse. J’observe, dans votre texte, un sentiment de rejet, fondé sur une impression que vous ressentiriez.

     

     

     



  • gdm gdm 28 janvier 2008 10:29

    @Forest Ent

    La loi de la demande dit qu’une baisse des prix induit une tendance à une hausse de cette demande. Le mot "tendance" est essentiel. Une telle affirmation relève du bon sens paysan. C’est un postulat. C’est une évidence. C’est un des principes des sciences économiques.

    Mais cette loi de la demande ne dit pas que cette demande augmenterait nécessairement. En effet, le prix n’est pas la seule et unique condition d’un achat. En effet, simultanémenent à la baisse d’un prix, il peut exister des variations de certaines des autres conditions d’un tel achat.

    Ainsi une tendance à la hausse de la demande est parfois simultanée avec une tendance à la baisse de la demande de ce meme produit, baisse du à la variation d’une autre condition de cette demande.

    Dans votre exemple de la vente des CD, la baisse des prix des CD ne compense pas une augmentation de la tendance au téléchargement illégal.

     



  • gdm gdm 27 janvier 2008 22:54

    @raphael57

    La loi de l’offre et de la demande se décline de nombreuses manières. Elle s’applique aux situations les plus diverses, lesquelles sont enseignées à l’université. La courbe de la demande des biens de Giffen est particulière, mais elle est un cas particulier de la loi de l’offre et de la demande. Il est tout aussi possible d’étudier comment s’applique cette loi dans le cas d’un monopole ou d’un monopsone, ou bien d’autres cas particuliers. C’est la raison pour laquelle il me me semble pas inexact d’affirmer cette loi de l’offre et de la demande est universelle.

    Mais je comprend que ma manière d’écrire le mot "universel" peut sembler trop brève et prêter à confusion. Votre remarque est, sur le fond, intéressante. Elle nuance et complète utilement mon propos. De plus vos exemples soulignent la difficulté de prévoir le comportement des agents économiques. Vos exemples m’ont convaincu que je n’aurais peut-être pas du utiliser ici le mot "mécaniquement", mot réducteur. 

    Néanmoins, quand bien même il existe une incertitude sur l’efficacité des mesures prises par le gouvernement us et par la FED, il est légitime de les considérer comme des mesure pouvant améliorer la croisance économique.

    Vous dites, justement, que les ménages peuvent acheter des biens importés. J’ajoute que la relance par la demande est une illusion à l’heure de la mondialisation. Cependant, les consommateurs n’achètent pas que des biens d’importation. Ils épargent et investissent aussi. L’efficacité de la mesure fiscale de Bush dépend des proportions d’affectation de l’argent des contribuables us. Néanmoins, une réduction d’impots est le plus souvent un stimulant économique. En effet, avec la même somme d’argent, un contribuable crée plus de richesses qu’un gouvernement.

     

     

     

     

     



  • gdm gdm 27 janvier 2008 22:17

    @petrus

    Je ne partage pas du tout votre point de vue. D’une part "la finance" n’est pas un empire. Il n’existe aucun chef mondial de "la finance". Or un empire a nécessairement un chef, du moins un organe de gouvernement. Cette raison me suffit a affirmer que "la finance" ne constitue nullement un empire, encore moins un empire mondial.

    D’autre part, dans les pays riches, les entreprises privées ne controlent pas les gouvernements, lesquels sont, par nature, politiques et non pas économiques. les quelques corruptionee et autres collusions ne justifient pas, à mon avis, d’y voir qu’il existerait un quelconque contrôle des industries privées sur le pouvoir politique.

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