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jean-michel Bélouve

jean-michel Bélouve


Après une longue carrière de cadre export, d’industriel, puis de fonctionnaire, je consacre une grande partie de ma retraite à écrire. J’ai longuement étudié l’histoire contemporaine, celle du développement durable et du changement climatique. Je publie un livre, disponible à partir du 7 décembre 2009, « La Servitude Climatique, changement climatique, business et politique », un dossier global, abordant l’histoire du changement climatique, la controverse climatique, l’action des médias, l’économie du carbone, les biographies d’Al Gore et de Maurice Strong, la géopolitique du climat et un appel en faveur d’une refondation de l’écologie. ISBN - 978-2-9535632-0-7 . www.belouve.fr

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  • Premier article le 30/10/2009
  • Modérateur depuis le 09/12/2009
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Derniers commentaires



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 6 janvier 2010 19:36

    C’est vrai, ça, l’économie soviétique, c’atait quand même mieux !



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 6 janvier 2010 19:34

    C’est de la diffamation pure et simple, Monsieur Walgringrin. Vous pouvez démolir pas mal de leurs imbécillités ( avec deux l, Monsieur, soignez l’orthographe !) ? Alors faites le...si vous en êtes capable. Allez donc lire quelques uns de mes articles, et essayez de les réfuter. Je vous attends de pied ferme.

    Là où vous délirez, c’est quand vous en appelez à James Hansen, ce docteur Folamour de la climatologie, et à Phil Jones le tricheur au secours de vos thèses et de votre Samothensis.

    Dernier point : si les articles de Vincent Bénard et Papy Jako sont souvent en tête d’affiche, c’est parce qu’ils écrivent bien et qu’ils disent des choses importantes.



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 6 janvier 2010 19:18

    Un peu court, votre commentaire, jeune homme !



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 6 janvier 2010 09:01

    Ces affaires d’alertes récurrentes, grippe aviaire, virus H1N1, me paraissent présenter de grandes ressemblances avec la manipulation du changement climatique d’origine anthropique dont j’ai démonté les rouages dans mon livre « la Servitude Climatique ».

    Dans cette affaire de H1N1 et de vaccination, on voit apparaître des foyers d’infection, à Mexico d’abord, et bientôt tous les médias transforment la nouvelle en une menace de pandémie catastrophique. Deux laboratoires, Glaxo-Smith-Kline et Novartis se disent prêts en un temps record à livrer un vaccin. Ou bien ils avaient préparé ce vaccin bien avant le début de la pandémie, et alors on peut s’interroger sur les raisons d’une telle préscience, ou bien ils ont bricolé le traitement en faisant fi de toutes les règles régissant la qualité des médicaments.

    Les chairmen de ces deux groupes, Sir Christopher Gent et Daniel Vasella sont des participants assidus aux réunions secrètes de Bilderberg où ils nouent des liens avec le gratin mondial des affaires et de la politique. Ils obtiennent les contrats du siècle de la part de plusieurs pays occidentaux, et vendent des stocks énormes de produits qui ne vont être utilisés qu’en toute petite partie. Il faut dire que les dirigeants des pays acheteurs avaient tous envisagé des politiques de vaccinations très coercitives avant de reculer devant le tollé suscité par cette perspective. Rien ne permet de faire le lien entre les activités extra-professionnelles de Gent et Vasella, et le fait que leurs groupes aient obtenu, les premiers, des contrats très excessifs par rapport aux besoins réels, mais cela nous met quand même la puce à l’oreille.

    Le refus de la plus grande partie des populations concernées de se soumette à ces campagnes de vaccinations a un sens politique fort. Les gens commencent à s’inquiéter de ces campagnes médiatiques assourdissantes qui éclatent en appui aux oukazes décidés ou projetés par les pouvoirs en place. Bien des gens se sont demandé ce qu’on avait bien pu introduire dans ces vaccins imposés, et se sont dits qu’ils préféraient voir piquer les fesses de leur voisin plutôt que les leurs ! Ce comportement traduit bien la perte de confiance grave des masses à l’égard des politiques que pourtant, ils on porté au pouvoir.

    Perte de confiance méritée, d’ailleurs. Il n’y à qu’à constater combien les gouvernants occidentaux se sont trouvés déconsidérés dans le dossier climatique, avec le climategate et la pantalonnade de Copenhague.

    Peut-on, avec de tels dirigeants, continuer à faire confiance aux politiques publiques de santé ? Ne faut-il pas inventer de nouvelles instances neutres par rapport aux pouvoirs en place pour définir les normes de qualité et de déontologie, et laisser le corps médical exercer la médecine selon les règles de l’art que suivant les injonctions gouvernementales ?

    Ce qui reste de ce flop politique, c’est un immense gachis d’argent public. Une fois de plus, le contribuable est escroqué.



  • jean-michel Bélouve jean-michel Bélouve 6 janvier 2010 08:11

    @Heroine Fantasy
    Je vais d’abord vous répondre sur le principe de précaution. C’est un principe d’irresponsabilité politique. Certains annoncent des catastrophes si on continue à émettre du CO2 en quantité dans l’atmosphère : que la thèse soit fondée ou non, on va réduire le CO2, QUOI QU’IL EN COUTE. Cela évite de vérifier le bien fondé des déclarations scientifiques, et les politiques se défaussent de leurs responsabilités sur des paroles d’experts.

    Or le résultat de cette politique, je crois l’avoir amplement démontré dans « la Servitude Climatique » et dans mes précédents articles, c’est une stratégie qui consiste à démanteler l’industrie occidentale, au profit de l’industrialisation du tiers monde où les salaires et la production se maintiennent à un niveau extrêmement bas. Si vous avez lu la « Servitude », vous savez qu’il s’agit d’une stratégie concertée, et que le réchauffement climatique est utilisé comme moyen de faire peur et de faire pression sur les peuples pour faire accepter cette évolution.

    Que dire du risque imminent de désastre économique dans le monde occidental ? Ne pourrait-on pas appliquer le principe de précaution autrement ? C’est à dire en évitant les mesures qui précipitent ce naufrage économique de nos pays « riches », et de continuer nos recherches en vue de comprendre enfin le climat, à travers toutes les pistes de recherche, et non pas les seuls résultats scientifiques sélectionnés par le GIEC ?

    Tout le monde sait que, du point de vue climatique, le Protocole de Kyoto est un cautère sur une jambe de bois. Tous les esprits sensés savent que les mesures telle que le paquet climat énergie européen et feu la taxe carbone française ne peuvent avoir aucune influence significative sur le climat, mais qu’ils vont créer des dommages économiques irréparables.

    Je comprends à vous lire que « la servitude climatique » et les autres bons livres sceptiques signés Galam, Gérondeau, Legendre, Cabrol, Courtillot, Allègre etc... vous dérangent dans le confort de vos convictions forgées par vingt années de propagande verte. Pour ne pas semer le trouble, vous défendez le point de vue que nous devrions nous interdire de publier notre opinion. Savez-vous qu’avec un tel état d’esprit vous êtes mûr pour acepter n’importe quelle consigne fasciste ? Que faites vous de la démocratie ? du droit à la liberté individuelle ? de la devise de la République ? Vous foulez tout cela aux pieds. Préconiseriez-vous un autodafé de tous ces livres qui vous dérangent ? Vous êtes calé dans la pensée unique, les à-priori pseudo-scientifiques déversés par la Gore et consorts, qui, en attendant, s’enrichissent aux dépens de votre crédulité. Restez dans le troupeau moutonnier que les panurges Al Gore et, Hulot, Yann Arthus Bertrand, Stern, et autres idéologues conduisent sciement vers le précipice. Permettez que nous, les sceptiques, cherchions à sauver un maximum d’esprits de ce naufrage.

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