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piquecul

Je suis un petit retraité d'un service public avec un bagage scolaire négligeable. Mon vote n'a jamais été à la droite sauf cas de force majeure mais si mon penchant est à gauche, je ne suis pas non plus satisfais de la gauche. J'adore poser des question dérangeantes. Je tente de rester les yeux grand ouvert sur mes semblables et je déteste les discours nébuleux et mensonger dont nos politiciens et responsables de tout bords, niveaux et espèces nous abreuvent. Bien entendu je ne suis pas un parangon de vertues et je me trompe aussi. La critique ne m'est pas insupportable si elle est bien argumentées et surtout courtoise et franche. En gros je suis un vieux septique qui aime gueuler quand ça lui fait mal. 

Tableau de bord

  • Premier article le 12/07/2007
  • Modérateur depuis le 15/10/2020
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Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • piquecul 3 décembre 2011 11:02

    J’éprouve autant de dégout pour les émissions racoleuses qu’elles que soient les moyens.
    Utiliser des enfants malades, des nanas en mal de célébrité, des supposés chanteurs et des héros éphémères est sans aucun intérêts. j’inclus le sport bien entendu au même chapitre.
    Le voyeurisme et caché partout dans ces productions. Le but est de faire du fric quel que soit le moyen ou le but.
    Cela s’appelle endormir les foules pour éviter que ces dernières se consacre à penser. 
    Le zappeur est là pour couper ces émissions il suffit d’un doigts et hop ! Ouvrez un livre, jouez avec vos proches, faite de la cuisine, parler ensemble, faite du bénévolat ou du jardinage c’est plus productif et moins abêtissant.
    La télé la drogue du citoyen lambda.



  • piquecul 2 décembre 2011 18:59

    @ easy,

    Vous me semblez passablement théorique dans vos affirmations. Pour votre information en ce qui concerne les voies ferrées je suis qualifié pour en parler pour y avoir gratté de nombreuses années.
    Lorsque je déclare que un responsable n’a pas été efficace c’est la pure vérité. Savez vous comment il est procédé à une mise en sécurité d’un voie en travaux ? Connaissez vous les modalités déjà éprouvées dans le métier pour être sur de son fait ?
    Des méthodes vielles d’une bonne centaine d’années qui ont fait leurs preuves et qui sont simple à exécuter. Mettre une personne qui est là pour avertir les ouvrier à l’aide d’un signal sonore de l’arrivée d’une circulation. Poser trois pétards en quinconce a distance sur les rails pour avertir le conducteur de la proximité d’"un obstacle. et j’en passe et des meilleures.
    Pour être tout à fait complet, n’oubliez pas qu’un gars qui ne fait rien que surveiller n’est pas productif mais il est utile. Il conserve ses camarades en vie.
    La prévention n’est jamais trop chère et si la faire respecter emmerde la vie cela la sauve.
    Il est vrai que le prix du kilo de chair de travailleur n’est pas cher. 



  • piquecul 2 décembre 2011 13:29

    A titre personnel le « journaliste » Robert Menard m’est absolument insupportable. Cet individu sous couvert de laisser la libre parole aux auditeur est populiste. Il est constamment à la limite de la provocation la plus désagréable. Très rapidement, j’ai fait mon choix, et j’évite d’allumer la radio à cette heure.
    Je ne suis pas persuadé que la chaine de radio gagne à ce genre d’émission. Tout a plus quelques extrémistes au cerveau uni neuronal peuvent être satisfait de leur audience.
    Cela ressemble que trop au journaux télévisés de TF1 et cela n’a pas mon adhésion.
    Dommage, mais je trouverais bien quelque chose à faire sans écouter la radio entre 8h et 9h. C’est le type d’émission inintéressante gérée par un bavard qui n’a aucun esprit critique et qui laisse des commentaires oiseux ou insupportables passer.
    Pour moi c’est du journalisme de merde ! et il n’est pas le seul exemple. 



  • piquecul 2 décembre 2011 11:25

    Presque un meurtre !

    Pour des raisons que je ne dévoilerais pas, j’ai eu à connaître des informations sur la société Alsthom et ses centres d’essais.

    Ce que j’évoque dans ce texte n’est ni de la médisance, ni de la délation. Il n’en est pas moins vrai que ce qui c’est passé aux environs de Bar Le Duc hier matin, et qui s’est soldé par un bilan de trois morts, était prévisible.

    La société Alsthom n’est pas directement impliquée dans cet accident si ce n’est qu’elle est le maître d’œuvre par l’intermédiaire d’un « filiale » et plus précisément C.E.F. Cette entreprise est placée directement sous les ordres de Alsthom avec même certains cadres communs.

    Si, jusqu’à hier, rien de notable n’était apparu, ce n’est plus le cas. Et c’est un scandale car manifestement les règles les plus élémentaires de sécurité ont été ignorées pour ne pas dire inappliquées.

    Comment peut on justifier la présence de travailleurs sur la voie sans protection physique et humaine ?

    Qui et comment peut-on autoriser une circulation a s’engager sur une section de voie sans en vérifier le dégagement ?

    Qui a mis sous tension l’alimentation électrique de cette portion de voie sans s’assurer que cela pouvait se faire sans danger ?

     Pour répondre à ces questions il faut et il suffit de se pencher sur la méthode de commandement de ce « laboratoire d’essai ». Pour faire un vilain jeux de mot, plutôt un « abattoir d’essai ».

     Le moins insultant des qualificatifs est la coupable négligence avec laquelle est gérée ce « Laboratoire ». Une négligence soumise aux impératifs de rentabilité, de rapidité de résultats aux dépends de la sécurité des travailleurs et (et, me suis laissé dire) des futurs voyageurs.

    Quel est le fieffé menteur aujourd’hui qui est en mesure de nous assurer, qu’en plus des risques inouïs des travailleurs, la qualité des résultats des essais est réelle ? Est-il donc garanti que ces « essais » sont véritablement fiables ?  Dans quelle mesure les économies de financement alliées aux économies de travailleurs qualifiés (souvent remplacés par des intérimaires sous payés) et au rendement rapide ne seront pas àl’origine de défauts de conception dangereusement ignorés ?

    Comment au XXIeme siècle peut on partir rejoindre son lieu de travail à l’ombre de son cercueil ? Tous les moyens de préventions et de sécurités étaient-ils connus des victimes ? Tous les acteurs de ce drame connaissaient-ils les lieux et les conditions de travail particulières du site ?

    Manifestement non ! La faute ne peut être imputable à un seul des acteurs car elle résulte de plusieurs infractions aux règles élémentaires du milieu ferroviaire. Qui peut croire qu’un dirigeant (si un était présent lors des faits) ne porte pas la responsabilité de cette horreur. Mais en est-il le seul ? Pas si sur.

    Lorsque l’on n’applique pas les directives (pourtant répertoriées dans le Document Unique des risques d’accidents) nécessaires par manque de personnel qualifié, lorsque le système fonctionne avec le minimum de personnel formé, lorsque les travailleurs, eux même, ignorent les risques, alors il faut s’attendre à un problème grave. Ce problème est directement issu de l’obsession du coût minimum, du temps limité, du résultat attendu.

     Je suis profondément affecté par ce drame surtout en cette période de l’année ou le deuil est particulièrement ressenti.

     Puis nous voyons venir sur les lieux un P.D.G affligé, une palanquée de ministres y va de sa larme de sympathie avec les familles. Même un Directeur Général du Travail est convoqué sur place pour « faire la lumière ».

    N’ayons pas de frayeurs anticipées ! De l’enquête la lumière mettra en évidence quelques sous fifres dont les responsabilités seront diluées. Au mieux, les familles se verront reconnaître un droit à une misérable indemnité.

    Misérable car bien inutile. Rien, ni personne, ne remplacera ces hommes qui à jamais resteront absent. Et surtout misérable, car c’est faire une aumône bien amère que de glisser au creux d’une main, même pas tendue, un lot de consolation. Un peu à la manière de la main flatteuse sur le flanc du cheval qui a bien travaillé aux labours. Brave bête !

    J’ai honte de ce que j’ai pu lire sur ce « faits divers » qui sera bien vite oublié devant l’actualité si importante de nos politiques.

    J’ai honte de parler dans le vide sidéral de notre indifférence quotidienne. Alors je prends ma plume et je vomis sur ces personnages infects qui ne sont intéressés que par leur petit pécule qui grossit encore et encore. Ce qui m’étonne toujours c’est la passivité des rangs des modestes qui stoïquement continuent leur chemin sans se rebeller.

    Le champs d’honneur, si prisé par les sabreurs de tous poils, est là ! sur ces lieux de travail qui sont aujourd’hui plus nombreux que les quelques champs de batailles connues. Et ce sont encore les mêmes qui y tombent ! Paradoxal non ?  

    Que dire des blessés, meurtris dans leur chair, et pour qui les difficultés iront en grandissant ?

    Il en est même qui trouvent des circonstances atténuantes aux employeurs qui les licencient ensuite. Et oui ! Ils ne sont plus aptes à leurs postes de travail et puis cela coûte cher un poste adapté alors…



  • piquecul 2 novembre 2011 07:37

    Une bouffée d’air frais en provenance de Grèce. Un des rares pays où l’on trouve encore des politiques courageux. Des hommes qui font passer l’intérêt du peuple avant tout même au prix de leur mandat.

    Il ne fait aucun doute que le résultat du référendum sera négatif. Donc la Grèce donnera l’exemple du refus d’engraisser encore une fois le système bancaire et les plus riches. Qui oserai dire qu’ils ont tort ? Car en réalité c’est une vision positive de ce qui, de toute façon, nous attend.

    Je n’ai jamais douté de qu’il nous faudrait retrousser nos manches et se remettre à l’ouvrage. A la nuance près que travailler oui mais pour notre profit et non pour en faire profiter ceux qui se contente de faire travailler l’argent. Une chose est certaine et c’est que dans ce cas nous avons certainement moins d’argent à perdre que beaucoup de financiers.

    Bravo encore et allons y, c’est notre seule voie de salut. Détruisons cette tour de Babel et reconstruisons en une autre même si nous devons encore nous tromper.

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