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RBEYEUR

Titulaire du Certificat d'Etudes Primaires.
Eboueur.
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  • RBEYEUR 16 janvier 2013 00:30

    De Dwaabala, le 15 janvier à 23h20 :

    « …L’école primaire, c’était au temps de « Maréchal nous voilà... » ?

    Donc l’école primaire n’existait que du temps de « Maréchal nous voilà » ? 

    Mais quelle est donc l’école qu’aurait fréquentée l’auteur de cette navrante sottise ?  

    Mais bon !

    Pour être dans la réalité des choses, un certain François Mitterrand s’était écrié « Maréchal me voici » en allant fidèlement le servir et fut décoré pour cela de la « francisque », la plus haute distinction récompensant la collaboration avec les nazis.

    Maintenant si on dit que Jean-Marie Le Pen est fasciste, que dire alors du cireur de bottes du Maréchal Philippe Pétain qui fut président de gauche de la république de 1981 à 1995 ?    



  • RBEYEUR 15 janvier 2013 18:10

    Comment se conçoit la pérennité du genre humain ?

    L’anthropologie nous répond qu’elle n’est concevable que par le concours de deux facteurs mutuellement indissociables : un acteur progéniteur et un acteur gestataire, soit le concours obligatoire et incontournable d’un homme avec une femme.

    Sans ce binôme pas de pérennité du genre humain !

    Ce binôme existe aussi au sein du genre animal avec, toutefois, des exceptions comme celle de l’escargot qui, intersexué, réunit en un seul individu les caractéristiques progénitrices et gestatrices.

    Nous pouvons donc envier les escargots dont la société civile est ainsi placée en dehors du présent débat…

    Nous pouvons aussi les plaindre dès lors que leurs socialistes se voient privés des moyens de brandir véhémentement une transcendantale banderole masquant vainement leur indigence politique endémique…  

    Mais heureusement nous avons les poètes…

    Georges Brassens, dans l’une de ses chansons où il célébre l’amour concevable au-delà de toute convention, de tout contrat, de toute loi et de toutes connivences, chantait : « …ne gravons pas nos noms au bas d’un parchemin… ». 

    S’il était encore là il chanterait très certainement : « … ne gravons pas nos sodomies dans le code civil… ». 



  • RBEYEUR 14 janvier 2013 00:47

    Epicure, le 13 janvier à 21h01 :

    « …Aucun rapport avec le fait que deux personnes de même sexe se marient, puisqu’ils ne constituent qu’une petite minorité. La grande majorité reste hétéro et donc font des relations sexuelles entre sexes différents qui peuvent aboutir à des enfants. Et la loi ne change rien à ce sujet. Donc ton message est sans objet… ».

    Rappelons que la loi des hommes n’interdit nullement à deux personnes de même sexe d’avoir une vie commune, sachant qu’il leur est totalement impossible de procréer d’enfants.

    Cette impossibilité procède de la loi anthropologique.

    C’est ce qu’on nous apprend en classe maternelle.

    On nous y apprend aussi que cette faculté de procréer des enfants peut se matérialiser dans un processus social que l’on appelle le « mariage », dont la primordiale raison d’être est le droit DE l’enfant…

    Le mariage est la projection du droit naturel dans le droit des hommes pour assurer la pérennité harmonieuse du genre humain.

    Mais là où l’on dépasse vraiment le mur du çon, c’est quand on nous dit que ce projet de droit des hommes, qui aurait l’extraordinaire pouvoir d’occulter la loi anthropologique, ne porterait absolument pas ombrage au droit de « la grande majorité hétéro » de  procréer des enfants comme ils en ont d’ailleurs le droit naturel (Et la loi ne change rien à ce sujet. Donc ton message est sans objet…).

    OUF !



  • RBEYEUR 12 janvier 2013 19:53

    Comment se conçoit la pérennité du genre humain ?

    L’anthropologie nous répond qu’elle n’est à priori concevable que par le concours de deux facteurs mutuellement indissociables : un acteur progéniteur et un acteur gestataire, soit le concours obligatoire et incontournable d’un homme avec une femme.

    Sans ce binôme pas de pérennité du genre humain !

    Ce binôme existe aussi au sein du genre animal avec, toutefois, des exceptions comme celle de l’escargot qui, intersexué, réunit en un seul individu les caractéristiques progénitrices et gestatrices.

    Nous pouvons donc envier les escargots dont la société civile est ainsi placée en dehors du présent débat…

    Mais nous pouvons aussi les plaindre dès lors que leurs socialistes se voient ainsi privés des moyens d’arborer une belle, sublime et transcendante banderole…

    S’agissant du genre humain, heureusement que nous avons les poètes.

    Georges Brassens, dans l’une de ses chansons où il célébrait l’amour qui ne se conçoit, en tant que tel, qu’au-delà de toute convention, de tout contrat, de toute loi et de toute connivence de toutes sortes, chantait : « …ne gravons pas nos noms au bas d’un parchemin… ».    

    S’il était là, nul doute qu’il chanterait en substance : « … ne gravons pas nos enculades au bas du code civil… ».   



  • RBEYEUR 11 janvier 2013 15:20


    Á propos de vacances, l’équipe au pouvoir a positionné la France sur un « radeau de la méduse »  donc le pilotage, de bric, de broc, et d’accroc, illustre parfaitement la théorie du chaos, au point qu’elle a, ce faisant, inventé l’« entropie gouvernementale »…

    Cela étant, ne serait-il pas vital pour la France que l’intégralité de l’équipe gouvernementale, sans oublier le premier ministre et le président, soit conviée à passer des vacances illimitées le plus loin possible, de préférence dans un autre système planétaire ?

    Ainsi, nous pourrions sauver l’essentiel de notre pays en nous débrouillant nous-mêmes….

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