Patrick FERNER

"A l’Armistice, le contingent américain présent sur le sol français est fort de 42 divisions US réparties en 3 armées, soit 1 894 000 hommes. En réquisitionnant tous les navires disponibles, les Américains peuvent leur faire traverser l’Atlantique. Soldats et matériel sont dirigés en grand nombre dans le nord-est de la France."
Source :

http://www.offensives1918-meuse.com/servlet/ShowInfo?M=S169SFR7RF

John Lloyds, ma conclusion, si on la relie au ton de l’article, n’a rien de naïf, mais est plutôt ironique ; je vous rejoins toalement sur le cynisme des dirigeants américains mais là, le système qu’ils ont développé s’est retourné contre eux car ils ont appauvri le système financier mondial qui reposait sur du vent et comme le souligne Yannick Harrel, ils sont devenus débiteurs vis-à-vis de la Chine à laquelle je me suis contenté de faire allusion en parlant d’"un endettement qui prend une dimension abyssale". En bref, les Américains sont fauchés et il est parfaitement juste de parler de fuite en avant, le trésor américain émettant actuellement des bons en pagaille. 

N’étant pas parisien, je ne connais pas la rue Montgallet ; en revanche, dans toutes les grandes villes de province, il y a des assembleurs qui proposent des ordinateurs à des prix compétitifs et on peut même leur demander d’installer un Linux si cette opération rebute certains. Avantages : pas de logiciels superflus, et S.A.V. assuré sur place (normal, ce sont eux qui ont monté la machine) avec une garantie de un an.

 Avec Google Chrome, on peut échapper aux publicités en actionnant le mode "navigation privée".

 Avant toutes choses, il faut épuiser les possibilités juridiques pour combattre Edvige ; rappelons que François Bayrou a déposé un recours auprès du Conseil d’Etat ; si celui-ci était rejeté, il reste la possibilité de saisir la Cour européenne des Droits de l’homme comme l’ont fait des citoyens britanniques à propos du Government Communications Headquarters (GCHQ) qui se livrait à des écoutes abusives :

"La Cour Européenne des Droits de l’Homme a donné gain de cause, le 1er juillet 2008, aux ONGs Liberty Human Rights, le British Irish Rights Watch et le Irish Council for Civil Liberties, qui avaient porté plainte en 2000. Les ONGs affirmaient que leur droit à la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, avait été violé, notamment du fait d’imprécisions dans la formulation de la loi de 1985 régulant les interceptions de communications (Interception of Communications Act 1985)". (source : Wikipedia)

Et dans l’immédiat, alimentons le buzz autour de cette affaire.