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Estelle Vereeck

Docteur en chirurgie-dentaire ayant cessé d’exercer pour me consacrer à l’écriture, je suis l’auteur de six ouvrages consacrés à la dentisterie holistique, parus aux éditions Luigi Castelli.
J’ai créé un site, Holodent, dédié à l’approche globale des soins dentaires ou dentisterie holistique, afin de partager mes connaissances dans ce domaine.
Mon but est d’informer le public sur cet organe précieux entre tous qu’est la dent et sur les moyens les plus naturels et respectueux d’en prendre soin.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/12/2007
  • Modérateur depuis le 27/03/2008
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Ses articles classés par : nombre de réactions













Derniers commentaires



  • Estelle Vereeck 5 avril 2008 18:23

     

     Pour l’heure, on ne préconise rien, puisque en France le problème n’existe pas.
     
    Ce qui est d’une totale hypocrisie puisque dans son rapport édité en 2005, l’Afssaps a mis en place un protocole multidisciplinaire destiné aux personnes estimant qu’elles souffrent de troubles liés aux amalgames dentaires. Or, dans le questionnaire détaillé que le patient doit remplir, destiné à éliminer une source de contamination autre que l’amalgame dentaire, il est demandé de préciser le lieu d’habitation. "Signaler la proximité par rapport à une usine d’incinération, un crématorium, une décharge, une usine sidérurgique" peut-on lire en toutes lettres page 70. C’est donc une reconnaissance de la pollution mercurielle générée par les crématorium (entre autres).
     
    Cela n’empêche pas l’Afssaps de conclure un peu plus loin (page 90) : "selon les données scientifiques publiées depuis 1998, les symptômes décrits par certaines personnes comme étant la conséquence de la présence d’amalgame dans leur bouche ne sont pas attribuables au mercure mais reflètent des maladies somatiques non diagnostiquées ou des troubles psychiques, voire psychiatriques".

     



  • Estelle Vereeck 5 avril 2008 18:08

     Voici des infos sur les alternatives à l’amalgame au mercure :

    Classification des métaux dentaires selon leurs qualités biologiques

    Vous y verrez mentionné la céramique (inlays) dont les dentistes, ardents défenseurs du plombage au mercure, ne parlent jamais. Ne savent-ils pas en faire ?

    Le mystère reste entier.

     



  • Estelle Vereeck 4 avril 2008 20:48

     C’est là tout le problème, occulté par les instances sanitaires et professionnelles de ce pays.

    Il se volatilise dans la nature !



  • Estelle Vereeck 4 avril 2008 20:44

     Le plomb véritable fut utilisé pour obturer les dents jusque dans les années 1830, avant d’être peu à peu supplanté par un autre toxique : l’amalgame d’argent ou plombage au mercure.

    Oui, vous avez bien lu : fut un temps où les dentistes inséraient du plomb véritable dans les dents, comme je l’explique dans cet article :

    La fin du plombage est-elle pour demain ?

    L’amalgame composé pour moitié de mercure est toujours utilisé en France et dans le monde (Norvège exceptée) et même, comme vous avez pu le lire dans les commentaires postés, recommandé comme un excellent matériau par les dentistes.

     



  • Estelle Vereeck 4 avril 2008 20:37

    Les deux articles que j’ai écrit publiés sur Agoravox sont une réaction à l’actualité : l’interdiction du mercure par la Norvège, puis la réaction du monde dentaire à cette interdiction. Cela n’a rien à voir avec une croisade personnelle mais l’occasion de poser quelques questions, cruciales à mon sens, tant en ce qui concerne l’écologie que la santé. 

    Pour vous répondre concernant les arguments de votre dentiste, sachez que l’amalgame contient toujours 50% de mercure. Personnellement, ce n’est pas une proportion que je qualifie de minimale. Mais tout est une question d’appréciation. Il semble que dans le domaine, les dentistes, plutôt mals à l’aise avec le sujet, aiment à minimiser les chiffres (voir ceux du Dr Goldberg concernant la pollution au mercure d’origine dentaire cités dans l’article).

    D’autre part, la description qui est faite du composite, alternative à l’amalgame, est un rien caricaturale. Quand les indications sont bien posées, quand le composite est réalisé avec soin (ce qui prend du temps et c’est là où le bâts blesse) et quand l’hygiène du patient est bonne, le composite est aussi solide et tient aussi longtemps que l’amalgame. Mieux encore, en cas de carie de petite taille, le composite permet un délabrement moindre de la dent, donc une économie de tissus.

    Reste qu’aucun dentiste ne parle d’une autre alternative à l’amalgame : l’inlay en céramique, solide, durable, d’une biocompatibilité supérieure aux autres matériaux. Posez donc la question à votre dentiste.

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