• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Scribe

Scribe

Ingénieur en retraite, je ne suis pas journaliste ni militant politique, j'ai eu des responsabilités syndicales dans un syndicat de cadres au cours de ma carrière.
Je ne me situe ni à droite, ni à gauche, ni au centre mais il me semble qu'en bonne démocratie on doit chercher une majorité sur chaque question ou sujet ou projet. Je n'accepte pas le sectarisme de droite, encore moins celui de gauche ou du centre. Vous le remarquerez sans doute, j'ai tendance à préférer l'analyse technique appuyée sur des chiffres plutôt que le débat idéologique.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/12/2011
  • Modérateur depuis le 31/12/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 7 53 80
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 436 292 144
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : nombre de visites










Derniers commentaires



  • Scribe Scribe 16 décembre 2011 22:01

    Réponse à Daryn : Vous avez très bien calculé, Daryn. Mais il faut bien enregistrer que chaque intervenant dans cette cascade de prestation économise sur sa main d’œuvre 40% environ, ce qui fait mal ce sont les cumuls de marge et de frais généraux car il faut aussi savoir que sur une prestation vendue 100 dans le système actuel, il y a 10 à 20 de marge, 30 à 50 de frais généraux, 30 à 40 de salaires chargés et le reste de matière. Comme je l’ai déjà répondu à Nico 31, les industriels sous-traiteront moins.
    Scribe



  • Scribe Scribe 16 décembre 2011 21:50

    Réponse à Nico 31 : Sur le prix de vente à l’export de l’Airbus il n’y aura pas de CSCA, et c’est très important puisque le constructeur aura économisé les 40% de charges sur ses salaires, par contre, effectivement il paiera la CSCA sur les pièces et matières achetées, comme s’il vendait l’Airbus en France. Mais vous verrez, que très vite, il décidera de faire plus et de sous-traiter moins.
    Comme vous le dites dans votre 2ème message... tous ces empilements de marges...
    Scribe



  • Scribe Scribe 16 décembre 2011 11:26

    Faut-il que l’idée démocratique soit peu naturelle pour que si peu de gens y aient recours quand-on évoque la notation ou l’évaluation d’un individu ? On pense à la hiérarchie (le chef), à l’expert (l’inspecteur) mais qui pourrait bien avoir l’idée (certain la jugeront saugrenue, voire inconvenante !) de demander leur avis aux principaux intéressés, ceux sans qui l’enseignant n’a aucune raison d’être, à savoir les enseignés : les élèves puisqu’il faut bien finir par parler d’eux. Cela serait-il si choquant de leur demander leur avis, ou celui de leurs parents dans le cas des classes primaires. Pardon si je vous l’apprends, mais ils ont un avis sur la qualité de leurs enseignants et cet avis n’est pas moins respectable que celui du chef d’établissement, ni que celui de l’inspecteur. La seule notation qui puisse avoir un sens et être respectable devrait être une synthèse de ces trois avis, synthèse dans laquelle l’avis des élèves de la classe ne devrait pas entrer pour moins de 50%.
    Certains professionnels (les notaires par exemple) vous demandent votre appréciation sur leur prestation, cela fait partie d’une « démarche Qualité » tout à fait louable, les enseignants ne pourraient-ils pas eux aussi accepter d’être évalués par « leurs clients » ? Plus généralement, ne trouveriez-vous pas constructif et facteur d’équilibre que chaque acteur de la vie titulaire d’une part de responsabilité et de pouvoir soit noté ou évalué à la fois et à parité par son supérieur hiérarchique mais aussi par le collège de ses subordonnés. Par exemple un agent de maîtrise serait noté par l’ingénieur qui l’encadre et par son équipe d’ouvriers, la note définitive étant la moyenne des deux notes.
    Aurions-nous plus peur de la démocratie que de la hiérarchie ?
    Scribe

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv