@Spartacus
Stupéfiant, j’en viens à me demander à qui vous parlez, à qui vous dites répondre. Pas à moi en tout cas pour ce que je sais de moi.
@Armelle
Il eut été judicieux que vous vous intéressiez à mon propos, et que vous sortiez d’un commentaire plus verbeux que fondé sur la forme et le fond.
@Spartacus
C’est bizarre, cette impression que vous, que n’êtes-vous le seul, ne comprenez pas grand chose à la nature de vos semblables. Et c’est un peu désespérant aussi.
Et voilà l’autre article puant sur le sujet. Celui-ci insulte le rural, et le lecteur un peu pensant, ce qui fait une belle jambe à la cause des handicapés. Décidément, ça devient difficile de supporter les cons, qui nous rendent à leur image quand on n’en peut plus. Voir les réactions de l’auteur pour comprendre combien internet risque de pourrir les âmes par contrecoup presque inéluctable.
Amaury, voici le parfait exemple de l’article détestable et manquant totalement le but louable que vous semblez poursuivre, et un ton qui ne permet pas de se convaincre de votre réelle humanité. Cela me fait penser à Baupin défendant la cause des femmes. Pourquoi ? Parce que vous êtes très agressif et que vous mettez en cause des milliers de gens qui ne demandent qu’à comprendre et grandir. Au lieu de quoi vous en braquerez une certaine proportion, et ce sera bien de votre faute. On croit savoir que l’enfer est pavé de bonnes intentions, et je rajoute que la cause à laquelle vous dites croire mérite vraiment plus de pédagogie.
@CHALOT Pardon mais j’ai un peu tiqué en vous lisant, avec l’impression que quoi que l’on dise, cela revient quand même, en fonction du point de vue peut-être, à une sorte de yaka. Une association citoyenne ne devrait pas embaucher sans perspective de CDI, dites-vous, et celle dont vous parlez a donc embauché. On pourrait en tirer une sorte de conclusion en forme d’un - vous voyez bien que yaka ça marche.
@Sozenz
J’éprouve la nécessité de replacer votre réponse dans le contexte des appréciations dont vous m’honorez dès votre première réplique, je vous les rappelle : manipulateur, malhonnête, ou trop con pour..., complice du patronat. Puis menteur. Vous comprendrez peut-être que, chacun de nous pouvant être un peu borné dans certains cas, cette observation que je pensais pouvoir faire plus haut ne relève pas de l’injure, bien au contraire de la manière dont vous me qualifiez.
@Sozenz
@Sozenz
Vous êtes passablement borné, et maintenant je vous connais d’un iota, comme vous dites. Vous ergotez sur des principes dont je crois les énoncés figuratifs relativement clairs pour ne mettre personne en cause à titre individuel, y compris si j’ai effectivement pris un exemple connu (l’emploi à un euro) à titre de symbole représentatif du monde du travail qui nous est concédé. Ce que vous me reprochez avec la plus grande grossièreté correspond en plus grotesque au procédé que, dans une grande confusion, vous croyez intelligent de me reprocher. Il y a bien des choses que vous ne sav(i)ez pas, dont en particulier la correction, le respect, la politesse, l’intelligence, la mesure, la curiosité de comprendre un peu plus que ce que vous lisez en première instance et sans recours. Votre premier iota m’a laissé une impression très défavorable, je me fais donc un devoir de vous laisser vous arranger avec les autres que je souhaite ne pas connaître.
@Sozenz
Il me semble que vous êtes juste en train de nous parler de vous, dans un débat qui concerne un système pervers. Vous pensez, en substance, qu’il est préférable de prendre un job à 1 euro plutôt que de mourir, et, me semble-t-il, que votre dignité n’en serait pas affectée. J’y vois une forme d’évidence problématique. Et vu la manière dont vous l’exprimez, je ne parierais pas sur l’idée que dans la réalité, cette situation vous semble acceptable en tant que condition de vie et ne vous dévalorise pas intimement. Parce que vous pouvez proclamer que [vous n’en avez] rien à battre de ce que pensent les autres, cela peut sembler remarquable, mais si négligeable pourtant dans le contexte de la misère qui gagne.
@Daniel Roux
Un article documenté, qui m’intéresse d’autant plus sans doute que je penche dans le sens de la critique que fait Elixir de la satisfaction indue que nous éprouvons ici sur nos qualités quasi extrinsèques en matière de démocratie, de bien-être, de justice etc. Que d’autres individus fonctionnent avec la même orgueilleuse satisfaction ailleurs sur la planète ne réduit en rien l’analyse que nous devons faire de nos insuffisances arrogantes.
Vous nous dites qu’il faut être vierge pour dénoncer un crime, contre l’Humanité en l’occurrence. Vous vous servez de criminels pour en dénoncer d’autres, rendant impossible, si on appliquait ce mode de pensée strictement, toute dénonciation de quoi que ce soit. Je serais plutôt pour renvoyer dos à dos, puisqu’il n’existe pas de tribunaux pour les juger, les coupables de génocides et les mafieux de tous ordres. Ils sont nombreux, il faudrait adopter des solutions radicales je le crains, qui nous seraient reprochées comme crimes contre cette ignoble part de l’humanité (h) pourtant relativement petite. Si l’enfer devait exister, c’est bien à eux que nous devons la plus remarquable démonstration de sa réalité.
@adimante
En effet, si on s’attelle à votre projet, il n’est pas impossible qu’il aboutisse dans 25 ans (après deux ou trois votations présentées de manière chaque fois moins exigeante), et que sa mise en application le vide entièrement de sa substance. On garde espoir.
@olivier cabanel
le sujet corrélatif que m’évoque le lien de votre message auquel je répond est de savoir combien de familles ne s’en sortent pas ou plus en Suisse, cette moyenne inférieure qui partout commence à sérieusement craindre pour sa survie décente et a encore de quoi payer ses factures sous peine de poursuites en cas de difficultés. Vous citez un article de 2014 qui mentionne le coût de la couverture maladie comme étant élevé en Suisse, évalué en moyenne nationale, et un salaire moyen dont on connaît également la pertinence relative. L’à-côté du sujet, admettons-le, est la question du revenu moyen et du niveau de vie qu’il permet en fonction du lieu d’habitation : est-il simplement élevé par comparaison avec le polonais, le français ou le grec ? Eh bien « ça dépend » des éléments et données que l’on prend en considération. Et le coût de la sécurité sociale varie considérablement en Suisse selon son lieu de perception. Je veux bien concevoir que votre séjour en Suisse vous donne un regard plus élaboré que certains sur la question, mais il n’est certainement pas exhaustif.
@olivier cabanel
@Paul Leleu
Vous voyez, ce genre de propos se lit à pleins fourgons nauséabonds sur internet. Je ne défends pas les banques d’hier en Suisse, mais informez-vous, je vous prie, sur les mesures auxquelles elles se conforment aujourd’hui, forcées certes par des pays puissants dont les financiers ne respectent pas forcément les mêmes principes. Je crois que nous sommes nombreux en Europe à rire encore (si l’on peut dire) des déclarations de dirigeants ayant prétendu, dans l’ordre, avoir mis fin aux paradis fiscaux et décidé de mettre au pas notre ennemi la finance. La Suisse pays de vendu, c’est injurieux pour des millions de personnes, dont on vient de tenter d’expliquer que la volonté en principe garantie par la Constitution était méprisée.
@rogal
A vrai dire, le peuple – qui est-il, je vous le demande – ne peut être, comme je le pressens dans la manière dont vous le citez, cette entité qui par magie fonctionnerait dans le sens que nous souhaitons personnellement. C’est pourtant ainsi que nous sommes tentés de nous l’imaginer lorsque nous en appelons à son arbitrage, avec l’idée qu’il porterait nos idées (de justice, de progrès, de condamnation d’autorités félonnes). Or, quoi qu’en dise Adimante, les outils dits démocratiques sont bien entre les mains du « peuple » ici plus que dans bien des pays. La culture révolutionnaire par contre peut être considérée comme absente de ce pays, qui si elle existait serait si fragmentée par les différences culturelles et politiques qui découpent la Suisse en 26 Cantons, des milliers de clochers, trois (4 avec le Romanche) langues nationales et une mixité d’origines remarquable que toute hypothèse de soulèvement est en fait inconcevable. Nous sommes un pays du consensus parmi les plus exemplaires, capable de voter des augmentations d’impôts, des restrictions graves de la liberté individuelle, l’augmentation de l’âge de la retraite, le refus de vacances et autres plaisanteries civiques extraordinaires.
P... la sottise. Et le burkini, personne pour en parler ? En fait, quel que soit le sujet, on se ramasse toujours les mêmes abrutis.On n’est pas sorti du court :(
@colere48
« Donner du fric aux patrons pour qu’ils embauchent c’est ... »
Allez, je précise le sens dans lequel j’emploie le mot intelligence (réf Unicaen) :
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