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Les commentaires de GRESILLAUD



  • GRESILLAUD 18 avril 2019 14:07

    @Michael Gulaputih
    Le responsable du chantier et ses ouvriers ont assuré que le jour même aucun d’eux n’avaient utilisé de point chaud car ils ne faisaient que monter l’échaffaudage. Concernant les éléments électriques du chantier (éclairage, ascenseur etc....) il est certain que tout a été fait dans les règles. Ils ont coupé toute l’alimentation du chantier avec remise des clés au « concierge ». Tous étaient partis depuis 17h30. Ils n’ont aucune explication pour l’instant.



  • GRESILLAUD 18 avril 2019 13:34

    Tiens au reparle d’AZF.... c’est vrai que les propos du Procureur de la République de Paris ressemblent un peu à ceux du Procureur de Toulouse le 24 septembre 2001... Suite à l’interview du responsable du chantier Lebras Frère facilement trouvable sur youtube, il n’y a aucun élément pour l’instant privilégiant une piste plus qu’une autre.

    Coïncidence... quelques heures avant le drame, le Procureur Général de la Cour de Cassation de Paris a reçu un courrier d’un témoin de l’explosion AZF, envoyé le 12 avril 2019, demandant à ce que lui soit restituées ses photographies originales qui l’a remises pour l’enquête en 2004. Trois de ses photos montrent un avion non identifié passant au dessus du pôle chimique quelques secondes avant le blast. Mais le dossier judiciaire ne mentionnent plus qu’une seule photo omettant les deux premières où l’avion serait indentifiable.

    Depuis 8 ans ce témoin de l’explosion d’AZF effectue des démarches juridiques avec un avocat... en vain ! On lui refuse cette restitution. Simple coïncidence certes.

    Mais en revanche, les experts judiciaires toulousain Dominique Deharo et Véronique Rey-Vidotto qui ont largement participé au naufrage de l’enquête AZF sont les premiers à donner leur avis à l’AFP sur le drame de Notre-Dame (cf article du 16 avril). Pour moi c’est le premier indice que l’enquête risque d’être très mal faite... j’espère que ces deux experts judiciaires absolument pas fiables seront écartés par le responsable de l’enquête de l’incendie.



  • GRESILLAUD 21 décembre 2012 11:32

    Bucuresti, Bugarach... il est vrai que les Roumains n’étaient pas loin de la fin du monde en 1989 avec cet illuminé de Ceaucescu... !
    Mais les Roumains connaissent aussi les séismes.... en 1977, Bucarest vivait une petit fin du monde lors du terrible séisme qui a fait plusieurs milliers de victimes. Le plus fort séisme de Roumanie depuis bien longtemps.
    La France, sismiquement est beaucoup plus tranquille... le plus fort séisme survenu depuis un demi-siècle a eu une magnitude de 5.6.... une bricole pour les Roumains. C’était le 18 février 1996 près de Saint-Paul de Fenouillet dans les Pyrénées Orientales, 3 semaines après le dernier essai nucléaire français du Pacifique et 1 moins avant la signature de traités d’interdiction des essais. L’épicentre principal se trouve sous la carrière souterraine de gypse du village de Lesquerde à 13 km au Sud-Est du Pic de Bugarach. Officiellement ce séisme est naturel et a eu des centaines de petites répliques concentrées au sud de l’épicentre, essentiellement sous la commune de Saint-Arnac (si, si le nom existe mais il est un dérivé du nom Centenach). En mai 2004, un nouvel essain de séisme a eu lieu juste au nord de cet épicentre entre Lesquerde et St-Paul de Fenouillet... réveil de pleins de micro-séismes de magnitude avoisinant 2. Bien concentrée et isolée dans le temps, cette série de séismes de 2004 a fait venir en urgence les sismologues qui ont installés des sismographes a proximité et ont réalisé une étude rectificative sur le premier séisme de 1996... qui finalement reste très mystérieux et difficile à analyser.
    Déclencher des signatures sismiques naturelles à partir d’explosion souterraine profonde... un vrai rêve de tout pays disposant de la force nucléaire !



  • GRESILLAUD 23 octobre 2010 16:03

    Décision très peu surprenant effectivement... mais tout de même intéressante puisque que l’affaire du sabotage de Novembre 2008 ne sera pas oubliée.
    A force de se focaliser sur les enfumages imposés par le Ministère de l’Intérieur, on oublie exactement ce qui a provoqué de telles actions de démonstrations policiaires, synonyme de vraie panique de la part des hautes autorités.
    Pour l’affaire Coupat, qui est en fait l’affaire du sabotage de la ligne TGV à la hauteur de Dhuiry, personne n’a vraiment évalué la gravité de l’acte et la gêne que cela pouvait occasionner si ce type d’actes se répétaient. En fait, ce type de sabotage est un vrai cauchemar pour la SNCF, bien plus qu’un obstacle sur la voie car il immobilise pendant des heures entières un trafic très important. Et de tels événements nécessairement médiatisés comme aurait pu l’être l’explosion de la bombe du groupe AZF des voies ferrées enfouie sous le ballast avant le 21 Février 2004 à Folles sur la ligne Paris-Toulouse, sont la porte à des menaces de médiatisations de messages que le gouvernement ne veut surtout voir surgir.
    Et ces messages sont loin d’être les discours « gauchisants » et altermondialisants écrits par les fusibles que le Ministère de l’Intérieur nous montre du doigt... ils sont d’un autre ordre et ils ne sont qu’à la portée des plus hauts membres de ce gouvernement.
    De telles menaces sont des pressions directes pour obtenir de l’argent, des marchés spécifiques et d’autres monnaies d’échange.
    Le message est très difficile à décrypter si on ne regarde pas déjà géographiquement les lieux qui ont été sélectionnés.
    Plusieurs fois dans les menaces des groupes dits « AZF », ces lieux correspondaient à la proximité de la ligne SNCF d’un très grand lieu de stockage de matière énergétique : Bessines pour AZF 2004 avec le stockage des déchets nucléaires, et Germigny-sous-Coulombs juste en face de Dhuiry où est stocké en profondeur l’un des deux plus grands réservoirs de gaz naturel de France. D’autres menaces attribuées à AZF sur des lignes de la SNCF concernant aussi d’anciennes mines d’Uranium (comme celle du viaduc de Busseau).
    Bref... les messages ont toutes les chances d’être ceux de services secrets à composantes de terrain très bien entrainées en mal d’argent ou servant d’autres types de revendications.
    Ces services savent négocier directement avec l’Etat et ils savent leur faire peur tout en donnant la possibilité au gouvernement de négocier silence et faux-coupable.
    Le pauvre Julien Coupat et ses camarades dans tout ce décor sont des lampistes, très souvent surveillés cependant, qui figurent sur des listes des services de renseignement qui permettent un échapatoire après négociation secrète, avec l’établissement de scénarios rocambolesques que l’on impose en plein panique.
    A noter que les auteurs du groupe AZF des voies ferrées de 2004 n’ont jamais été retrouvés officiellement ! Et à cet époque le fin limier de l’Intérieur était Nicolas Sarkozy et son chef de cabinet Claude Guéant avait géré la crise.



  • GRESILLAUD 7 juin 2010 11:35

    Morice,

    comment est-il possible de vous joindre par email.
    Vos articles sont à peu près les seuls en France a parler du fond des problèmes sur cette affaire.
    Félicitation.
    Je souhaiterais avoir votre avis sur des constations sismologiques effectuées depuis Mi-décembre 2009, dans toute la zone d’Amérique Centrale entourant le Golfe du Mexique.



  • GRESILLAUD 30 mai 2010 19:11

    Barety, votre remarque sur la vitesse moyenne du Pdf est juste mais ces vitesses moyennes ne concernent que des ondes issues de séismes lointains traversant ces milieux en profondeur de manière continue et pour des ondes de longues périodes. Ces vitesses moyennes sont donc complètement hors-sujet pour le cas WTC et vous ne voulez surtout pas le dire car vous souhaitez toujours sous-entendre qu’on retrouvait systématiquement ces fortes vitesses moyennes proche de 3 km/sec pour le cas du WTC et des réseaux des stations proches,... ce qui est archi-faux. Pourquoi ne pas le dire à des non spécialistes au lieu de mentir avec vos 3 km/sec que le LDEO n’a jamais estimé réaliste. Vous commentez sur des études précises et pointues et en même temps vous laissez glisser des analogies mensongères pour continuer de soutenir les thèses du NIST. Seriez-vous capable de dire votre nom, après avoir autant tricher ? Je ne le crois pas car je ne pense pas que vous êtes aussi inconscient que J Quirant que vous avez largement dupé en sismologie.

    Les ondes P émergent plus difficilement du bruit de fond des sismogrammes à disposition, c’est vrai mais leurs ondes S associées, qui ont des amplitudes un peu plus forte dans plusieurs cas ont parfaitement confirmé la présence des ondes volumiques et ceci pour les deux effondrements. Etudiez les autres sismogrammes et vous le constaterez. Il n’y a pas que PAL sur laquelle le LDEO a porté son attention dans cette étude sommaire.

    M KIM a bien pris en compte que les ondes Rayleigh entre WTC et PAL étaient proches de 2,0 km/s et non 3.0 km/sec. Il l’a confirmé par ses datations et leur précision. Pourquoi lui demander, il a déjà répondu... ?!

    Des ondes de Rayleigh de séismes lointain qui passeraient sous le WTC et PAL en profondeur pourraient avoir une vitesse moyenne proche de 3 km/sec mais elles ne pourraient être mesurées à PAL ni être issues d’un séisme au sol car depuis le début je vous ai déjà expliqué que le trajet obligatoire en faible profondeur des ondes de surface du 9-11 imposait naturellement des vitesses moyennes basses encore à 34 km de distance à cause de ces portions à faible profondeur au départ et à l’arrivée. C’est simple et cela tient compte d’un phénomène géophysique incontournable qui fait qu’il est impossible de profiter d’une caractéristique linéaire de ces ondes à moins de 100 km de distance. Vous parlez à FHC dans le cas du Pdf de variation de vitesse des ondes de Rayleigh selon le milieu, cette variation est exacte mais elle joue aussi quand on se rapproche du sol et ceci pour un milieu géologiquement identique. Le Pdf ne s’en préoccupait pas puisque les ondes étudiées ne se rapprochaient pas du sol dans leurs calculs et que l’objet de l’étude était justement d’étudier la vitesse caractéristique maximale de ces milieux géologiques en profondeur.

    Tout votre raisonnement sur ces trajets du WTC ainsi que le diagramme de Quirant avec sa droite de 3 km/sec est donc erroné et pas argumentés... vous les avez cautionnés car vous préférez mentir et soutenir la thèse du NIST que d’être en accord avec le LDEO. C’est votre problème pas le mien. Ecrivez lui et demandez lui aussi pourquoi la version du 11 septembre (« Readme » du site du LDEO) est ainsi.

    Pour le 9:03:00 de ce « readme » et les autres datations du fichier texte publié le 11-9-2001, j’ai déjà répondu dans un autre commentaire, je vais donc me répéter pour vous : les 4 datations obtenues l’ont été avec un système automatique de calcul de datation de séisme utilisé pour les tremblements de terre naturels. Ce système ne prend en compte que le repérage automatiques d’ondes volumiques significatives P et S et ne peut réaliser des examens fins et circonstanciers comme le LDEO l’a fait après. Il a donc pris par défaut les seuls premiers démarrages d’onde clairement visibles sur les stations, ceux des ondes Rayleigh et les a pris comme des ondes S pour ce calcul car ce système ne se soucie pas des fréquences, des formes entre composantes etc... il est là uniquement pour les séismes de magnitude significative >3 ou 4 dont les premiers signaux sont toujours des ondes volumiques très amples.

    Il en a déduit automatiquement des datations décalées par rapport à la réalité et « logiquement » plus proches des vôtres puisque les 3.4 km/sec des ondes S sont proches des faux 3 km/sec des ondes de Rayleigh auxquelles vous vous suspendez. Le LDEO a de plus calculé une distance moyenne à l’épicentre elle aussi estimée de manière très approximative à 32 km au lieu de 33.8 km, sans savoir que c’était le WTC. Les imprécisions sont donc grandes et les datations n’ont, de plus, aucune valeur pour la raison que j’ai évoquée.

    Ce genre de réseau dédié au séisme naturel ne publie jamais les magnitudes <1.5 et est souvent incapable d’interpréter des séismes d’origine artificielle de faible amplitude sans un examen humain.

    Si vous avez du temps vous constaterez par exemple que ce genre de chose arrive sur le réseau européen EMSC (version des historiques pour les professionnels accessibles librement sur internet) avec des cas de séismes sousmarins naturels aux signaux trop faibles car distant de toutes les stations mais pour lesquels des communiqués automatiques sont démentis quelques jours après. D’ailleurs tous ces réseaux sismiques annoncent systématiquement par défaut ces calculs automatiques sous réserve d’un examen humain derrière... ce que le LDEO a fait et si vous vous en tapez afin de justifier vos calculs c’est votre problème pas le mien et cela montre que vous êtes bien un arnaqueur qui ne respecte même pas l’esprit scientifique de ces réseaux sismologiques, Barety !

    C’est pourquoi dès le 14 septembre 2001, le LDEO a été capable de faire un communiqué, tenant compte des particularités du 11-9, de la vrai distance des stations au WTC, du fait que les événements sismiques avaient toutes les chances d’être proches du seul, de sa connaissance du terrain etc.... Il a été précis et n’a pratiquement pas bougé depuis. Et à cette époque il ne savait pas que le NIST allait pondre des dates vidéos incompatibles et que des « méchants complotistes comme A Rousseau » allaient même se servir de leur travail de sismologue pour contrer les « gentils scientifiques » qui voyait dans le NIST un travail tellement exemplaire !

    Barety, vous avez les écrits bien visibles et invariants du LDEO contre vous... moi je leur réclamerait une étude plus poussée encore pour améliorer leur précision mais je n’ai pas le pouvoir du NIST qui lui s’accroche à des start-time en leur donnant une signification qu’ils n’ont pas, qui mentionne une lettre « KIM 2005 » que personne n’a encore vue... si vous l’avez cette lettre, je suis preneur...car j’ai pour celle-ci déjà fait une demande à 5 membres du LDEO.



  • GRESILLAUD 28 mai 2010 16:34

    Un rapport officiel se doit de fournir toutes les preuves de ses allégations. Dans les méga octets de rapports Pdf que compte le site du NIST pour cette affaire, on ne trouve nullement le document dont faire référence le NIST, le fameux document « KIM 2005 » dont le NIST ressort des conclusions qui sont en contradiction avec ce que le LDEO publie ouvertement depuis des années.

    Etonnant non... à quoi servent tous ces Giga de documents si celui-ci n’y est pas ? Ca ne vous gêne pas cette manière de procéder... moi si... et je ne crois pas être le seul !

    Surtout que cet hypothétique document est le seul appui dont disposerait le NIST pour argumenter une notion d’incertitudes des datations plus grandes que la normal pour ce cas du 9-11.... le NIST n’en est même pas encore à confirmer que l’association des datations avec les séismes est certaine...

    Vous ne croyez pas qu’il y a un malaise du côté du NIST, non ?

    On peut facilement supposer que le LDEO n’a pas cherché à porter en justice ce genre d’affaire contre le NIST sachant que le NIST à le soutien des gouvernements successifs et d’un nombre impressionnant d’organismes puissants.

    La notion de protection et d’indépendance de l’emploi dont beaucoup de gens (dont vous) peuvent heureusement largement bénéficier en France comme avec l’éducation nationale ou le CNRS, n’existe pas aux USA. Les pressions sont donc aisées.
    Mais le LDEO sait ce qu’il publie et n’a pas bougé. Scientifiquement, il est clean, même si, à mes yeux, il n’a pas encore publié une étude suffisamment poussée et détaillée de toute cette journée.

    De plus dans son rapport le NIST essaie de s’appuyer sur des start-times qui n’ont aucun rapport avec les datations des séismes, clairement indiquées par le LDEO. La dessus vous êtes incapable de répondre et de justifier l’attitude du NIST. Vous fuyez d’ailleurs tellement de questions que vous semblez essayer de dissimuler cette misère intellectuelle en amenant régulièrement des docs hors-sujet dont vous n’êtes même pas l’auteur et que vous semblez très mal digérer.

    Tant que le NIST ne divulgue pas les preuves de ces affirmations, je ne peux que supposer qu’il MENT, qu’il est MALHONNETE et que des gens comme vous ne sont là que pour cautionner ce genre de comportement anti-scientifique en mettant de plus, en avant vos titres scientifiques qui n’ont d’ailleurs aucun rapport avec la sismologie.

    Ce n’est donc pas moi qui radote mais vous qui continuer d’affirmer sans preuve.

    Monsieur Quirant, je constate que depuis le début vous avez été incapable d’analyser le moindre sismogramme du réseau LCSN et donc de réellement travailler sur les données sismiques du 11-9. Vous n’avez même pas été capable de prouver uniquement à travers l’ensemble des sismogrammes du 11-9 que la vitesse des ondes de Rayleigh de 3 km/s que vous essayez d’imposer à PAL est cohérente. C’est la démarche élémentaire de toute étude de ce type. La simple existence d’ondes P et S et la connaissance de leur datation d’arrivée sur plusieurs de ses sismogrammes permettent pourtant de contredire votre théorie. Mais vous vous en foutez royalement puisque la vérité du 11 septembre ne vous intéressent nullement.



  • GRESILLAUD 28 mai 2010 00:20

    Pour répondre dans le texte à vos mensonges M. Jérôme Quirant, voici mes commentalres pour que tout le monde sache que vous êtes un imposteur :

    vous dites" Malheureusement pour vous, le LDEO a confirmé tout cela en élargissant ses plages d’incertitudes... « = ceci n’a jamais été confirmé par le LDEO. Seul le NIST affirme ce genre d »insinuation à travers un document « KIM 2005 » que personne n’a vu et que vous imposez de la manière que le NIST sans la moindre trace. Le LDEO est clair sur ses calculs et son approche des données du 11-9. Tout comme le NIST, M. Quirant vous inventez pour protéger les chronologies inexactes du NIST.

    vous dites "Vu que l’arrivée des ondes est parfaitement connue, c’est bien que la vitesse de propagation peut varier d’après ces « professionnel » (je vous cite) sur une large bande. Simplement, le type de sollicitation (effondrement, et interaction sol-fondation) et le fait que les tours étaient fondées justement directement sur la roche (c’est bien le moins pour des tours de plus de 400 m de haut) sont des cas tellement ’exotiques’ que l’incertitude est grande sur le type d’ondes et leur vitesse.« 

    Encore une fois de l’enfumage... les »larges bandes« que vous mentionnez dans les autres études des groupes de vitesses d’ondes de Rayleigh correspondent en fait à des historiques de séismes lointains mesurés uniquement par des stations longues périodes car ce sont les seules ondes à pouvoir encore atteindre ces stations. Et comme elles passent en profondeur, leur vitesse d »ondes se stabilisent vers les maxima... tout cela n’a rien à voir avec les ondes étudiées pour le 9-11 sur un champ très restreint en distance et en profondeur. Tous les sismogrammes du 9-11 concernant des fréquence >1Hz, et ces ondes de Rayleigh n’ont que des courtes distances à parcourir, leur vitesse dépend donc beaucoup des faibles profondeurs et donc des faibles vitesses dans ces milieux proches du sol. L’intéraction entre les tours et le sol ne change rien, que l’on soit à 10 ou 1 Hz.. Vous semez volontairement la confusion pour faire croire que les études sur vos vitesses de groupe de ces séismes lointains ont un rapport... PURE ESCROQUERIE scientifique de votre part M. Quirant. Vous n’arrêtez pas d’en balancer.

    "Je sais, ça fait mal, mais c’est comme ça... Se faire ainsi rabrouer par des « pro » du LDEO, c’est dur pour quelqu’un qui veut donner des leçons à la terre entière... La seule solution pour vous est de nier ce fait aisément vérifiable par n’importe qui arrivant à lire trois mots d’anglais consécutifs. « 

    Le LDEO n’a fait qu’un commentaire pour les distances au delà de la station de LSCT qui commence à présenter une certaine distance depuis le WTC et surtout d’avoir un milieu un peu plus rapide... et donc dans ce cas les vitesses moyennes s’approchent des 3 km/s. Le LDEO n’a jamais dit alors que c’était le cas à PAL... c’est une déduction FRAUDULEUSE et GRATUITE de votre part pour essayer de justifier votre 3 km/s à toute distance... théorie démentie par le LDEO. Vous continuez donc de MENTIR sur les propos du LDEO.

    Vous dites »Pour finir, Rousseau lui même fait référence dans sa ’réponse’ à ces vitesses de groupe et aurait pu se renseigner un peu mieux."... et vous continuez, à travers ce genre de remarque idiote, J Quirant, à faire croire que le LDEO a utlisé les vitesses de groupe que vous mentionnez et qui sont complètement hors-sujet. Ceci est faux. Il n’a jamais changé ses datations, elles sont bien claires sur son site, ses diagrammes aussi, et c’est bien cela que tout le monde peut voir... quelque soit vos hallucinations. Les confusions, c’est le NIST, vous et Barety qui les ont introduites car elles cachent la seule réalité que le LDEO a mis en évidence, les séismes précèdent les événements d’impacts et d’effondrement.

    Je plains l’organisme où vous travaillez et donc vous mentionnez le nom... j’espère qu’ils seront vous retenir de continuer sinon, il faudrait un jour les prévenir de toutes les traces que vous laissez en leur nom.

    Barety avait donné un peu plus de dérivatifs pour s’éloigner du CAS mais apparemment il vous a bien manipulé aussi car il sait que prendre ces désirs pour des réalités est un art que vous cultivez à merveille.



  • GRESILLAUD 27 mai 2010 14:55

    Très bon travail car il se base sur des témoignages déposés qui ont été réétudiés plus précisément avec les témoins eux-mêmes et sans se cacher... bref s’il y a vraiment forfaiture on sait à qui s’adresser... La forme de ce travail est donc excellente et exemplaire... à méditer pour les centaines de témoins de l’affaire AZF qui ont déposés qui sont en contradiction avec la thèse officielle et que les média français fuient à toutes jambes (on se demande pourquoi)... !
    On peut même montrer que le travail de Craig et Aldo n’excluent pas forcément la thèse du missile ou du faux petits avions puisque pour expliquer l’explosion au sein de la façade, synchronisée avec le passage du gros avion, on peut encore supposer que ces engins de bien plus petites tailles ont pu y participer en partie sans avoir beaucoup eu de témoins.
    Sa théorie peut être fédérateur et non diviseur pour les anti-VO mais elle casse bien de nombreux arguments des pro VO.
    Réhausser la hauteur de l’avion grâce à ces meilleures estimations de la trajectoire était vraiment bien venu. Il suffit d’aller au bout d’une piste d’un gros aéroport, donc à quelques dizaines de mètres du point de décollage sous la trajectoire pour se rendre compte ce qu’est un gros boeing à quelques mètres au-dessus du sol... (donc bien plus près que les grandes routes de Roissy ou Orly) c’est effrayant, c’est assourdissant et les témoins de cet avion qui sont très sincères montrent bien qu’ils ont vu un avion beaucoup plus haut que celui de la VO.



  • GRESILLAUD 27 mai 2010 14:08

    après avoir un parcouru le Pdf et le sujet abordé... je peux vous confirmer qu’il existe au moins 10 critères différents montrant que le sujet de ce document n’a rien à voir avec l’étude sismologique du WTC. Si vous ne les voyez pas, je vous conseille de reprendre à zéro tout ce que vous savez du traitement des données sismiques liées au 9-11. Regardez bien ce que recherchent à mesurer leurs auteurs... on est bien dans le domaine des vitesses de groupes d’ondes traitées par les sismographes longues périodes adaptés à la détection des séismes distants, de magnitudes >3 et donc aux longs trajets et aux vitesses en profondeur.
    Rien à voir avec le cas de l’étude du WTC... limité à 125 km et à des petits séismes !
    Peut-être que vous allez faire, contrairement à ce que recommande les auteurs au début du Pdf, le même type d’extension de raisonnement que pour vos analogies avec les météorites.
    Si ça a marché avec elles, Quirant et sa muse Barety ont dû se dire que ça pourrait marcher avec ce type de vitesses de groupe auprès de vous. J’espère FHC que vous allez reconnaître que questions conneries, vous allez mieux vous informer avant de suivre ces arnaqueurs... ! J’ai averti votre connaissance « f6 » qui semble beaucoup plus rigoureux que vous et qui ne doit pas connaître dans le détail vos « errances sismologiques » !
    Que Quirant vous aiguille la dessus montre à quel point il est un imposteur mais en plus qu’il continue de s’alimenter avec Barety et que ce dernier continue encore d’essayer de glisser ces mensonges avec des analogies hors-sujets.
    Exiger la vérité, c’est exiger toutes les données mais c’est aussi exiger de les travailler... au lieu de suivre le premier manipulateur venu capable de tout pour défendre les complices de meutriers !



  • GRESILLAUD 27 mai 2010 12:26

    FHC,

    Encore une fois, je vous réexplique que le cas du WTC qui nous intéresse se passe pour des stations comprises entre 34 et 126 km où la linéarité n’est absolument pas obtenu et ce pour la raison que je vous ai déjà donnée. Les diagrammesdistancier du cas WTC le montrent très bien.
    Le Pdf mentionné exploite bien des cas pour la très grande majorité au delà de 100 km et trouve bien entendu des vitesses moyennes qui se stabilisent avec les vitesses maximales d’ondes de surface en profondeur qui selon le milieu vont de 2.5 à 3.5 km/sec. Cela est normal car le trajet le plus rapide en profondeur a une distance à peine plus longue que le trajet direct et l’essentiel est parcouru à cette vitesse maximale.
    Ceci n’est pas du tout le cas pour des courtes distances <100 km de l’affaire WTC. Cela est encore moins évident pour des zones à terrains sédimentaires et pour des cas de séismes au sol.

    Donc FHC prenez des études en concordance avec ce que vous voulez rechercher au lieu d’avaler tout cru les dérives de M. Quirant et de négliger les études du LDEO.
    Vous avez déjà fait le même genre d’approximations hors-sujet pour la chute des tours avec les comparaisons des grosses météorites et des pilonnages pour la génération d’ondes sismiques de très courtes distances à magnitude proche de 0.

    C’est bien la connaissance des propagations dans les cas similaires qui comptent et que connaît bien le LDEO. Il faudrait regarder tous les sismogrammes du réseau LSCN et pas que PAL et après vous comprendrez un peu mieux les ultimes tentatives de Quirant pour essayer de vous tromper.

    Bientôt, à force de manquer de rigueur sur vos analogies et de vouloir donner tort à tout prix à M. Rousseau (on se demande ce qu’il vous a fait pour un tel acharnement de votre part ?), vous allez applaudir des quatre mains les rapports de M. Quirant.
    Malin, ce bougre de Quirant, il a vu que vous pouviez même marcher dans ses combines histoire d’avaler ces mensonges sur les 3 km/s tellement votre haine de A Rousseau vous aveugle !
    Vous êtes apparemment incapable de reprendre les quelques erreurs de vos recherches qui vous ont conduit à éliminer les ondes P et S de PAL. Têtu et absolument pas enclin à revenir un peu an arrière.

    Je vous conseillerais d’écrire à Won-Young KIM et ses collègues du LDEO, car tout de même des savants français comme Barety, Quirant et maintenant vous-même allez bientôt leur apprendre la sismologie grâce à vos lumières sur le WTC !



  • GRESILLAUD 27 mai 2010 01:04

    Encore de l’enfumage Jérôme Quirant... !
    On met des noms, quelques références techniques sans développer pourquoi. Vous ne savez faire que cela et vous ne savez même pas de quoi ça parle apparemment !

    Ces vitesses d’ondes, dont certaines sont rapides sont des vitesses de couches géographiques en profondeur. Vous continuez vos impostures M. Quirant et essayez de faire croire que des vitesses moyennes d’ondes qui partent de séisme proche de la surface et vont vers des stations également à la surface, et donc qui ont une grosse partie de leur trajet proche du sol à vitesse lente, sont similaires à ces vitesses localisées et estimées en profondeur qui ne sont pas des vitesses de trajet. Pour que des vitesses de trajet mesurées par des sismographes soient rapides, il faut que la majeure partie du parcours soient en profondeur et donc que les distances dépassent largement les 100 km. Cela a déjà été dit et vous n’avez rien découvert. Enfumage d’escroc... c’est tout.
    Je n’en reviens pas, mais quelle arnaqueur vous faites pour essayer encore de justifier l’association des datations NIST avec les séismes du LDEO ! Comme Barety, vous croyez que les gars du LDEO ne connaissent pas ces propriétés des terrains du Nord-Est dont ils ont déjà parlées en partie dans leur rapport. Mais vous aussi, pour qui les prenez vous ?

    Prêt à tout pour mentir, trompez les gens en mélangeant volontairement des notions différentes, insultez des sismologues du LDEO qui ont publié leur étude... mais qui protégez vous donc, et pour quel type d’intérêt êtes vous prêt à autant de tromperies, autant de saloperies qui n’ont rien à voir avec de l’incompétence ?
    Sans vos 3 km/s de moyenne pour ces petits trajets, tous les écrits du NIST reposent sur une imposture... et c’est cette imposture que vous cautionnez depuis des années... avec l’appui des média institutionnels français qui bizarrement applaudissent le cinéma des amis de GW Bush depuis des années !!!

    Vous vous rapprochez de ces faux scientifiques de l’inquisition qui obligeaient et conseillaient par des méthodes purement autoritaires, les plus géniaux scientifiques de leur époque à avaler, sans broncher, les énormités de la papauté et de l’Eglise pour le confort d’une toute puissance entretenant l’obscurantisme sur tout un continent.

    Il y a plein de mensonges dans cette thèse officielle, plein d’incohérences, de carences techniques, de mépris de la science, de mépris des témoins et de victimes... le volet sismologique a laissé échapper quelques données techniques qui prouvent ces arnaques officielles et vous osez encore insulter les professionnels qui ont bossé dessus aux USA et qui se voient même baffoués avec de fausses informations à leur sujet comme cette lettre « KIM 2005 » que personne n’a vue, que vous avez largement mentionnée pour faire croire à des incertitudes sismiques. Vous les insultez aussi avec ces interprétations erronées du NIST sur les starttimes des graphiques que FHC a très bien commentés.

    Mais tous vous efforts sont très rassurants... puisqu’ils montrent que vous ne savez plus quoi chercher pour essayer de vous raccrocher aux branches... et apparemment vous ne voulez surtout pas approfondir l’analyse de tous les sismogrammes du 9-11 ! dommage c’est tout de même le sujet sur lequel porte l’affaire en sismologie !



  • GRESILLAUD 25 mai 2010 23:53

    FHC,

    Au lieu d’essayer de régler des comptes inutiles ou de justifier sans aucun raisonnement technique une toute petite partie de vos exposés fort intéressants, portant sur la sismologie, je vous invite à reprendre et visualiser tous les fichiers sismiques du LDEO (.seed) à essayer d’analyser ce que LDEO a déjà regardé de près, à comprendre aussi l’environnement géographique et sismologique que le LDEO connaît déjà depuis des années, et à essayer d’aller plus finement dans tout ce que le LDEO n’a pas vraiment eu l’occasion de décrire ou a sous-entendu sans trop le mettre en avant pour ne pas froisser ceux que vous dénoncez tout comme nous.
    M. Rousseau n’est pas sismologue, il n’a jamais eu la prétention de le faire croire mais il a tout de même mis en avant des choses importantes et incontournables dans son article.
    Plus d’une douzaine de sismogrammes nous attendent sur 3, 4 ou 5 événements sismiques différents... il faut encore du temps pour les travailler plus finement, pour confirmer la présence des ondes P et S très visibles à PAL. Je ne voudrais donc surtout pas aller plus loin maintenant sur ce sujet et vous devriez aussi regarder ces données au lieu de vous venger dont on ne sait quelle attaque.
    Si vous ne pouvez pas utiliser les logiciels de visualisation des sismogrammes, je mettrai bientôt un maximum de zooms des sismogrammes vierges de toute annotation sur un site dont je vous communiquerai l’adresse. Tous les travaux la dessus profiteront à tout le monde et alimenteront un vrai débat qui pour l’instant n’a porté que sur la station PAL à 34 km... un peu léger pour un réexamen que le LDEO a déjà en grande partie parcouru.

    Vous avez raison sur les pilonnages, ils donnent bien des ondes sismiques... quelles nouvelles... ! et pour le 11-9, la fin des effondrements en ont donné aussi... de quoi vous plaignez-vous ? Regardez toutes les stations, les plus éloignées sont fort intéressantes car elles peuvent profiter du spectre de fréquence plus large de ce type d’impact massif et large... et après vous arrêterez de râler car on sait depuis longtemps que les Bazant, NIST, Quirant et Cie ont foiré dans leur datation.



  • GRESILLAUD 25 mai 2010 19:07

    De Manhattan à PAL, les ondes de Rayleigh ne bénéficient pas d’une progression des vitesses selon la profondeur suffisamment rapide pour permettent à des vitesses de groupe qui atteindraient les fortes vitesses s’approchant des 3 km/sec de réaliser un chemin aussi court que le chemin qui obtient une vitesse moyenne de 2 km/sec, qui lui est beaucoup moins profond et donc plus court. Le trajet « elliptique » qui bénéficierait partiellement en profondeur des 3 km/sec est trop arrondi et donc trop long pour réaliser un tel dépassement et les 2 km/sec sont encore gagnant.
    Même à 125 km si le sous-sol ne changeait pas beaucoup, 3 km/sec de moyenne serait encore trop rapide car une grosse partie du chemin serait toujours <3 km/sec. Une vitesse de groupe de 2.5 km/sec grand maxi supplanterait les 2 km/sec.
    Ce n’est pas le cas sur des grandes distances au nord comme vers la station LSCT où le terrain favorise une plus grande vitesse à moindre profondeur, là les 125 km permettent de se rapprocher plus facilement des 3 km/sec.

    Pour simuler cela, et faire plaisir à Quirant, le spécialiste des modèles, établissez d’abord un modèle simplifié avec des couches de vitesses croissantes selon la profondeur. Puis testez toutes les ellipses possibles de grand axe 34km/2 = 17 km et appliquez en chaque point parcouru de l’ellipse la vitesse de la profondeur. Et prenez alors le trajet gagnant, vous verrez que pour avoir du 3 km/sec de moyenne sans allez trop profondément car les ondes de surfaces ne sont pas des ondes volumiques... vous aurez beaucoup de mal.

    Ce n’est pas pour rien que de telle distance dépassant à peine 100 km depuis une zone non montagneuse ne sont pas du tout favorables à de grandes vitesses d’ondes de surface et que les 2.0 à 2.5 km/sec sont bien plus courant que les 3 km/sec.

    Et si vous examinez de très près les courbes de PAL et d’autres stations comme ARNY ou BRNJ dans le cas des chutes WTC1, WTC2, et WTC7 vous verrez aussi que l’on commence à confirmer la présence de deux séismes et non pas d’un seul dont le second serait bien celui lié à la fin de l’effondrement.... avec vos 3 km/sec aucune chance de les détecter sans aberration.



  • GRESILLAUD 23 mai 2010 21:07

    Barety,

    ah.. vous prenez le relais de J Quirant (Mooera34) sur ces fameuses vitesses de groupe... vous avez bien raison, il était sec,... à se demander si ce n’était pas encore un coup d’essai de votre part pour glisser cette notion à votre messager pro-VO habituel !

    Vous dites "Le LDEO s’est trompé en comparant un séisme de 5 km de profondeur à un mini-séisme de surface car les vitesses de groupe des ondes de surface varient selon la profondeur du terrain.« 

    C’est justement parce ces vitesses de groupe varient en fonction de la profondeur et du terrain que vous ne pourrez jamais avoir, à 35 km, à 60 km etc... 3 km/sec... car c’est bien vers le bas que ces vitesses moyennes de premières arrivées d’ondes évoluent lorsque les cas de séismes se rapprochent du sol. Vous croyez que le LDEO ne connait pas ces variations et qu’il attend des gars comme vous pour leur faire des cours de sismologie et analyser les données sismiques multiples de toute cette région dont ils ont la charge... quel culot, pour qui vous prenez-vous... pour qui continuez vous à les prendre... ?!

    C’est vous qui voulez encore tromper vos lecteurs en faisant croire que de telles variations peuvent faire passer 2 à 3 km/sec... c’est de 2.2 à 2.0 km/sec, et donc dans le sens inverse de vos affirmations et avec une variation bien prise en compte, que ces vitesses passent entre les deux cas du17-1 (5 km) et du 11-9 2001 (0 km). Mais 3.0 km/sec c’est n’importe quoi... et vous n’avez rien pour le démontrer. Les 3km/sec, le LDEO ne l’a mentionné que pour la zone nord à plus de 125 km justement parce qu’ à une telle distance, les ondes sismiques parcours plus de chemin en profondeur... !

    La notion de vitesse de groupe est là pour mieux décrire les différents possibilités du chemin des ondes de surface, mais elle ne change donc rien sur la datation des premières arrivées d’ondes de surface de Rayleigh. Vous essayez encore de créer du flou et du doute où il n’y en pas afin de justifier les vitesses aberrantes que vous vous collez de concert avec le NIST.

    Vous dites »pour de courtes distances épicentrales, les ondes de Rayleigh dépendent davantage de la nature de la roche et de la profondeur du terrain que des caractéristiques tectoniques !« 

    Tout à fait d’accord... et vous ne semblez pas savoir dans quel sens elles évoluent justement, Barety... Ces vitesses moyennes depuis le WTC ne sont pas du tout figées et progressent avec la profondeur pour un même type de terrain. C’est même pour cela que le chemin le plus rapide n’est pas forcément le plus court en distance pour les ondes sismiques. Je l’ai déjà expliqué en long et en large pour démentir le diagramme complètement faux de votre ami J Quirant qui croyait que son 3 km/sec était figé.

    Sur l’origine explosive, je n’ai jamais cherché à la décrire précisément car les possibilités sont énormes et je n’en ai pas les compétences. Je ne réduirais donc surtout pas comme vous le sujet avec la notion de charges explosives communément employées dans des démolitions contrôlées d’immeubles classiques qui font tout pour éviter les signaux sismiques. Votre raisonnement simpliste pour conclure que »comme on n’a pas la restitution des hautes fréquences des charges habituellement employées , il n’y a pas eu de démolition contrôlée" n’est là que pour éliminer toute recherche et applaudir des deux mains sans le moindre effort intellectuel les énormités du NIST dont celle des datations incompatibles et celle de faire croire que les impacts des WTC ont pu signer un signal bien plus fort qu’au Pentagone ! 

    Plus les fréquences sont hautes, moins elles ont de chance d’être vues à distance. Dans tout le spectre généré par la méthologie employée, il n’y a donc aucune raison que les basses fréquences ne soient pas seules à atteindre PAL... surtout avec une magnitude aussi faible ; on se demande même pourquoi la société Protec ne montre pas les sismogrammes de ses sismos New-Yorkais dont elle fait mention dans son rapport, elle aurait pu vous donner raison, preuve à l’appui depuis longtemps non... dommage elle ne veut même pas vous aider... autrement qu’en affirmant sans preuve,... une sale habitude des pro-VO !

    La possibilité que les ruptures provoquées sur le bâtiment lui même à sa base, quelque soit le moyen employé, soit à l’origine de ces signaux est aussi à envisager... rien n’est à exclure sur la ou les techniques utilisées ce 11-9-2001.



  • GRESILLAUD 23 mai 2010 14:53

    Si la vitesse des ondes de surface de 2 km/sec ne correspond à aucun des horaires de l’impact dans la WTC2, fourni par le NIST avec les vidéos TV, c’est bien que le séisme correspond à un autre événement sismique qui s’est passé au pied de la tour quelques secondes avant l’impact de l’avion. C’est simple et ça veut bien dire qu’il y a eu des phénomènes explosifs à la base de la tour avant cet impact.
    L’impact de l’avion à cette altitude n’a rien pu faire pour déclencher des signaux sismiques aussi loin. Ce n’est pas le cas de l’aéronef qui a percuté la façade du Pentagone à hauteur du sol et qui pourtant n’a eu que de très faibles signaux sismiques, plus faibles encore que ceux captés à 9:02:54.
    Le LDEO n’a pas fait une étude sismologique avec des horaires d’une TV, Barety,.. !
    Ce sont de vrais sismologues et pas des imposteurs comme vous qui avez la bêtise de déduire une vitesse d’ondes de Rayleigh de 3km/sec à la station PAL avec des images TV.
    Votre théorie basée sur des mensonges sismiques est à l’eau... vous le savez bien et vous vous accrochez à des inepties pour absolument soutenir le rapport du NIST et protéger conséquemment les vrais auteurs des attentats du 9-11.
    Pourquoi d’après vous les professionnels du LDEO auraient-ils voulu sciemment contredire le NIST en se trompant aussi grossièrement ? S’ils s’étaient trompés avec toutes les moyens qui ont été mis pour mentir sur plein de points techniques dans cette affaire et notamment les moyens médiatiques, vous ne croyez pas que les pro VO auraient rapidement trouvé en 9 ans des spécialistes pour contredire ce que le LDEO publie encore aujourd’hui sur leur site public ?
    Vous prenez les gens pour des imbéciles ? ou avez-vous comme objectif de semer une « bonne parole » anti-scientifique sans jamais essayer d’avoir le moindre raisonnement qui tient compte des connaissances sismologiques.
    Le LDEO lui a bien cité ses noms de scientifiques pour publier ses résultats et son étude, ils ne se cachent pas... et vous, vous les insultez sans aucun argument sérieux en gardant en plus l’anonymat... pour qui vous prenez vous ? un IMPOSTEUR ?



  • GRESILLAUD 21 mai 2010 11:24

    5 km de profondeur, à l’échelle sismologique, vous savez très bien que ce type de profondeur très faible et donc que les comparaisons sont tout à fait valables. Au cas où vous ne le sauriez pas ce type de profondeur est même atteinte par les premières ondes volumiques provenant du WTC pour arriver à la station PAL. Encore une idée approximative pour essayer de tromper les non avertis ou continuez-vous à montrer votre totale ignorance de ce domaine ?

    Apparemment il n’y a plus rien en batterie pour répondre à toutes les critiques sévères sur votre analyse des données sismiques du WTC. Toujours pas de document « KIM 2005 »auquel le NIST fait référence et avec le quel vous vous appuyer pour faire croire à des incertitudes temporelles qui n’existent pas, apparemment avant de balancer à tout le monde les dires du NIST, vous n’avez même pas vérifier ses sources. Vous êtes aussi peu critique vis vis de cet organisme que vous vous n’êtes pas demandé s’il ne bluffait pas en restant autant en contradiction avec ce que le LDEO publie !
    Toujours pas de développement sur les vitesses de groupe d’ondes que vous balancez sans même comprendre ce que c’est... encore du flan ?!
    Haiti est un autre débat... si vous voulez en parlez et regarder en détail ce problème, je vous attends aussi...mais pas sur cette partie du forum bien entendu. Vous avez même mon email si vous voulez dialoguer.
    Jérôme Quirant, la manière dont vous étudiez les informations sismiques, le manque complet de rigueur, la prétention que vous avez de remettre en cause le travail des sismologues professionnels américains avec aussi peu d’argument pertinent, le peu de cas que vous faites de toutes les données enregistrées manquantes dans l’enquête, vous ne croyez pas que vous faites un très mauvais défenseur de la thèse du NIST ?
    Et que pensez alors de tous les autres secteurs techniques que vous avez abordés avec le même type d’affirmations gratuites, d’approximations sémantiques, de mensonges sur la non-existence de certains documents, de mépris des témoignages et des témoins, de modélisations en dehors de toute réalité enregistrée ?



  • GRESILLAUD 20 mai 2010 17:39

    Pour ceux qui n’avaient pas compris pourquoi Moorea34 tenait beaucoup à 11-12 sec de délai de parcours des ondes de surface depuis WTC jusqu’au sismographe de PAL (soit 2.9 km/sec), c’est à cause de l’impact de l’avion dans la tour WTC2.
    Quelques vidéos TV et la reconstitution chronologique du NIST fournisse 9h03’00 pour cet impact (Le FAA et la commission fournisse eux 9h03’11 !) . Donc comme Moorea34 est convaincu que les ondes sismiques de surface perçues à 34 km de là sur la station PAL sont forcément liées à cet impact que la tour WTC2 a encaissé et amorti à plus de 250 m d’altitude, il pense que le début des ondes visibles à PAL à 9h03’11 ont mis 11 à 12 sec pour atteindre ce sismographe. Ca lui donne bien un séisme à 9h03’00. Le LDEO a estimé que 9h02’54 était la bonne heure du séisme, mais ça ne l’inquiète pas !
    Il en déduit que l’effet sismique de l’effondrement de la tour WTC1 est à 10h28’37, soit 11 secondes avant l’arrivée des premières ondes de surface à PAL soit 10h28’48. Il est déjà en désaccord avec le NIST de 3 sec (10h28’34) et de 6 sec avec le LDEO (10h28’31). Pour des datations sismiques ce genre de désaccord est démesuré et incohérent.

    Voilà un peu explicatif de la logique initiale de J Quirant, ardant défenseur de la thèse officielle.



  • GRESILLAUD 20 mai 2010 16:38

    J’ai bien compris votre décalage des droites J Quirant. Je l’ai déjà expliqué à Barety qui faisait référence à vos travaux (j’ai même cru que c’était lui l’auteur).
    Le LDEO fait partir son repérage régulier des droites tous les 0.5 km/sec depuis le point d’intersection avec la distance 0 km en ordonnées et avec le temps initial en abscisse qu’il estime pour le séisme à 10h28’31.
    Vous faites de même et vous déplacer le temps initial à votre heure fétiche de 10h28’37 ce qui décale nécessairement le répérage des droites de vitesses.
    Mais ce répérage est toujours un repérage et pas autre chose !

    Vous trouvez qu’à PAL et à MANY avec ce repérage, les vitesses des ondes de surface sont les mêmes à environ 3 km/sec... rien de plus normal à cause de ce décalage... mais cela ne veut pas dire que qu’à PAL elle est réellement de 3.0 km/sec. et d’ailleurs dans plein d’autres stations les variations de vitesse d’ondes de surface subsistent et à LSCT elle serait déjà à plus de 3.5 km/sec ce qui ne correspond plus à ce qu’annonce le LDEO sur sa connaissance du milieu.

    De plus si vous appliquez votre modèle de vitesse basé sur 3 km/sec au cas du séisme du 17 Janvier votre repérage révélera pour ce séisme à 10 km de WTC des différences énormes et des aberrations avec les ondes P et S de ce séisme.

    On ne fait pas un modèle de vitesses d’ondes sismiques avec une coïncidence simpliste entre 2 stations au mépris des autres arrivées d’ondes aux autres stations. En décalant le temps vous étiez sûr de tomber sur cette vitesse commune à 3 km/sec entre PAL et MANY.

    Je pourrais même vous trouver un autre décalage temporel pour que MANY et BRNJ aient aussi 3 km/sec comme vitesse d’ondes de surface mais je sais à l’avance qu’il va aussi clocher avec PAL et que les vitesses des ondes P et S de tout séisme provenant du secteur du WTC ne seront plus du tout compatible avec ce repérage.

    Mais quel niveau scientifique avez vous ? savez comment on établi des modèles de vitesses d’ondes ? Savez-vous pourquoi les sismologues, pour des distances de quleques dizaines de km, n’utilisent pas de telles droites pour les arrivées premières d’ondes de surface mais uniquement pour les ondes P et S... il me semble déjà vous l’avoir expliqué.

    Où voulez-vous en venir avec la vitesse de groupe d’ondes ? J’imagine déjà ce que vous allez essayer de glisser alors j’attends... ce n’est pas moi qui en ai parlées mais je sais très bien les conneries que vous allez essayer de distiller avec cette notion. Alors allez-y, lancez-vous !

    Depuis le début vous essayez de faire croire que les datations du LDEO ne sont pas trop précoces pour ces événements sismiques liés aux impacts et aux chutes du WTC1 et qu’il faut absolument tenir d’un flou temporel énorme pour expliquer cela.
    Au début quand j’ai commencé à lire vos écrits j’avais bien vu que votre flou était de 3 à 4 sec autour de la plupart des datations.
    Vous essayez par tous les moyens et toujours en dehors de tout raisonnement sismologique correct et honnête, de justifier les gros décalages qu’a bien vu le NIST mais qu’il ne peut avouer..
    Mais le LDEO n’est pas flou à ce point lui. Il est à 1 sec près. Une étude poussée peut faire mieux mais le LDEO n’a pas bougé depuis le 14 septembre 2001 avec des valeurs tout à fait cohérentes avec l’existant sismique. C’est con pour le NIST et ses défenseurs mais c’est comme ça.



  • GRESILLAUD 20 mai 2010 14:01

    Les droites 1.5 km/s, 2.0 km/s et 2.5 km/s indiquées par le LDEO sont des droits de repères de vitesse graduées tous les 0.5 km/sec et n’ont aucun lien avec les valeurs de vitesses caractéristiques comme celles des ondes P et S. Vous le savez très bien, je vous l’ai déjà dit à vous et à Barety. Ne faites pas croire que vous êtes aussi ignard dans la lecture des diagrammes distancier. C’est bien de la malhonnêteté de votre part de faire croire que le LDEO applique ces repères pour indiquer que toutes les vitesses d’ondes de surface sont à 3 km/sec comme à LSCT. Ce genre d’erreurs grossières n’est pas de l’incompétence mais bien de malhonnêteté surtout quand on s’avance aussi affirmatif avec un raisonnement absolument pas étayé concernant la vitesse de 3 km/sec à PAL.
    Ces droites permettent au contraire de voir que, pour l’ensemble des stations, les arrivées des premières ondes de surface fluctuent entre 1.9 km/sec et 3.0 km/sec, les vitesses lentes concernant des stations proches du séisme comme PAL et la zone des stations à l’Ouest de NewYork, les vitesses rapides étant pour la zone éloignée au Nord de LSCT à plus de 125 km.

    Le NIST n’a absolument pas respecté l’étude du LDEO qui est toujours accessible publiquement et même si cette dernière est loin d’être exhaustive et précise, elle ne peut en aucune manière justifier toutes les malhonnêteté du NIST pour traverstir la réalité sismique et essayer de prouver ce qu’il affirme sismiquement avec sa chronologie des événements d’impact et de chute.

    C’est bien le NIST et des gens comme vous qui essayez de semer la confusion - vous le faites encore avec votre ignorance feinte du rôle de ces droitesde repérage - et d’augmenter les incertitudes temporelles pour le confort de votre théorie.

    Explicitez ce que vous vous voulez dire en sismologie à propos de la notion de « vitesse d’ondes de groupe »... ?!