Bucuresti, Bugarach... il est vrai que les Roumains n’étaient pas loin
de la fin du monde en 1989 avec cet illuminé de Ceaucescu... ! Mais
les Roumains connaissent aussi les séismes.... en 1977, Bucarest vivait
une petit fin du monde lors du terrible séisme qui a fait plusieurs
milliers de victimes. Le plus fort séisme de Roumanie depuis bien
longtemps. La France, sismiquement est beaucoup plus tranquille... le
plus fort séisme survenu depuis un demi-siècle a eu une magnitude de
5.6.... une bricole pour les Roumains. C’était le 18 février 1996 près
de Saint-Paul de Fenouillet dans les Pyrénées Orientales, 3 semaines
après le dernier essai nucléaire français du Pacifique et 1 moins avant
la signature de traités d’interdiction des essais. L’épicentre principal
se trouve sous la carrière souterraine de gypse du village de Lesquerde
à 13 km au Sud-Est du Pic de Bugarach. Officiellement ce séisme est
naturel et a eu des centaines de petites répliques concentrées au sud de
l’épicentre, essentiellement sous la commune de Saint-Arnac (si, si le
nom existe mais il est un dérivé du nom Centenach). En mai 2004, un
nouvel essain de séisme a eu lieu juste au nord de cet épicentre entre
Lesquerde et St-Paul de Fenouillet... réveil de pleins de micro-séismes
de magnitude avoisinant 2. Bien concentrée et isolée dans le temps,
cette série de séismes de 2004 a fait venir en urgence les sismologues
qui ont installés des sismographes a proximité et ont réalisé une étude
rectificative sur le premier séisme de 1996... qui finalement reste très
mystérieux et difficile à analyser. Déclencher des signatures
sismiques naturelles à partir d’explosion souterraine profonde... un
vrai rêve de tout pays disposant de la force nucléaire !
Décision très peu surprenant effectivement... mais tout de même intéressante puisque que l’affaire du sabotage de Novembre 2008 ne sera pas oubliée. A force de se focaliser sur les enfumages imposés par le Ministère de l’Intérieur, on oublie exactement ce qui a provoqué de telles actions de démonstrations policiaires, synonyme de vraie panique de la part des hautes autorités. Pour l’affaire Coupat, qui est en fait l’affaire du sabotage de la ligne TGV à la hauteur de Dhuiry, personne n’a vraiment évalué la gravité de l’acte et la gêne que cela pouvait occasionner si ce type d’actes se répétaient. En fait, ce type de sabotage est un vrai cauchemar pour la SNCF, bien plus qu’un obstacle sur la voie car il immobilise pendant des heures entières un trafic très important. Et de tels événements nécessairement médiatisés comme aurait pu l’être l’explosion de la bombe du groupe AZF des voies ferrées enfouie sous le ballast avant le 21 Février 2004 à Folles sur la ligne Paris-Toulouse, sont la porte à des menaces de médiatisations de messages que le gouvernement ne veut surtout voir surgir. Et ces messages sont loin d’être les discours « gauchisants » et altermondialisants écrits par les fusibles que le Ministère de l’Intérieur nous montre du doigt... ils sont d’un autre ordre et ils ne sont qu’à la portée des plus hauts membres de ce gouvernement. De telles menaces sont des pressions directes pour obtenir de l’argent, des marchés spécifiques et d’autres monnaies d’échange. Le message est très difficile à décrypter si on ne regarde pas déjà géographiquement les lieux qui ont été sélectionnés. Plusieurs fois dans les menaces des groupes dits « AZF », ces lieux correspondaient à la proximité de la ligne SNCF d’un très grand lieu de stockage de matière énergétique : Bessines pour AZF 2004 avec le stockage des déchets nucléaires, et Germigny-sous-Coulombs juste en face de Dhuiry où est stocké en profondeur l’un des deux plus grands réservoirs de gaz naturel de France. D’autres menaces attribuées à AZF sur des lignes de la SNCF concernant aussi d’anciennes mines d’Uranium (comme celle du viaduc de Busseau). Bref... les messages ont toutes les chances d’être ceux de services secrets à composantes de terrain très bien entrainées en mal d’argent ou servant d’autres types de revendications. Ces services savent négocier directement avec l’Etat et ils savent leur faire peur tout en donnant la possibilité au gouvernement de négocier silence et faux-coupable. Le pauvre Julien Coupat et ses camarades dans tout ce décor sont des lampistes, très souvent surveillés cependant, qui figurent sur des listes des services de renseignement qui permettent un échapatoire après négociation secrète, avec l’établissement de scénarios rocambolesques que l’on impose en plein panique. A noter que les auteurs du groupe AZF des voies ferrées de 2004 n’ont jamais été retrouvés officiellement ! Et à cet époque le fin limier de l’Intérieur était Nicolas Sarkozy et son chef de cabinet Claude Guéant avait géré la crise.
comment est-il possible de vous joindre par email. Vos articles sont à peu près les seuls en France a parler du fond des problèmes sur cette affaire. Félicitation. Je souhaiterais avoir votre avis sur des constations sismologiques effectuées depuis Mi-décembre 2009, dans toute la zone d’Amérique Centrale entourant le Golfe du Mexique.
Barety, votre remarque sur la vitesse moyenne du Pdf est juste mais ces vitesses moyennes ne concernent que des ondes issues de séismes lointains traversant ces milieux en profondeur de manière continue et pour des ondes de longues périodes. Ces vitesses moyennes sont donc complètement hors-sujet pour le cas WTC et vous ne voulez surtout pas le dire car vous souhaitez toujours sous-entendre qu’on retrouvait systématiquement ces fortes vitesses moyennes proche de 3 km/sec pour le cas du WTC et des réseaux des stations proches,... ce qui est archi-faux. Pourquoi ne pas le dire à des non spécialistes au lieu de mentir avec vos 3 km/sec que le LDEO n’a jamais estimé réaliste. Vous commentez sur des études précises et pointues et en même temps vous laissez glisser des analogies mensongères pour continuer de soutenir les thèses du NIST. Seriez-vous capable de dire votre nom, après avoir autant tricher ? Je ne le crois pas car je ne pense pas que vous êtes aussi inconscient que J Quirant que vous avez largement dupé en sismologie.
Les ondes
P émergent plus difficilement du bruit de fond des sismogrammes à disposition, c’est vrai mais leurs ondes S associées, qui ont des amplitudes un peu plus forte dans plusieurs cas ont parfaitement confirmé la présence des ondes volumiques et ceci pour les deux effondrements. Etudiez les autres sismogrammes et vous le constaterez. Il n’y a pas que PAL sur laquelle le LDEO a porté son attention dans cette étude sommaire.
M KIM a bien pris en compte que les ondes Rayleigh entre WTC et PAL étaient proches de 2,0 km/s et non 3.0 km/sec. Il l’a confirmé par ses datations et leur précision. Pourquoi lui demander, il a déjà répondu... ?!
Des ondes de Rayleigh de séismes lointain qui passeraient sous le WTC et PAL en profondeur pourraient avoir une vitesse moyenne proche de 3 km/sec mais elles ne pourraient être mesurées à PAL ni être issues d’un séisme au sol car depuis le début je vous ai déjà expliqué que le trajet obligatoire en faible profondeur des ondes de surface du 9-11 imposait naturellement des vitesses moyennes basses encore à 34 km de distance à cause de ces portions à faible profondeur au départ et à l’arrivée. C’est simple et cela tient compte d’un phénomène géophysique incontournable qui fait qu’il est impossible de profiter d’une caractéristique linéaire de ces ondes à moins de 100 km de distance. Vous parlez à FHC dans le cas du Pdf de variation de vitesse des ondes de Rayleigh selon le milieu, cette variation est exacte mais elle joue aussi quand on se rapproche du sol et ceci pour un milieu géologiquement identique. Le Pdf ne s’en préoccupait pas puisque les ondes étudiées ne se rapprochaient pas du sol dans leurs calculs et que l’objet de l’étude était justement d’étudier la vitesse caractéristique maximale de ces milieux géologiques en profondeur.
Tout votre raisonnement sur ces trajets du WTC ainsi que le diagramme de Quirant avec sa droite de 3 km/sec est donc erroné et pas argumentés... vous les avez cautionnés car vous préférez mentir et soutenir la thèse du NIST que d’être en accord avec le LDEO. C’est votre problème pas le mien. Ecrivez lui et demandez lui aussi pourquoi la version du 11 septembre (« Readme » du site du LDEO) est ainsi.
Pour le 9:03:00 de ce « readme » et les autres datations du fichier texte publié le 11-9-2001, j’ai déjà répondu dans un autre commentaire, je vais donc me répéter pour vous : les 4 datations obtenues l’ont été avec un système automatique de calcul de datation de séisme utilisé pour les tremblements de terre naturels. Ce système ne prend en compte que le repérage automatiques d’ondes volumiques significatives P et S et ne peut réaliser des examens fins et circonstanciers comme le LDEO l’a fait après. Il a donc pris par défaut les seuls premiers démarrages d’onde clairement visibles sur les stations, ceux des ondes Rayleigh et les a pris comme des ondes S pour ce calcul car ce système ne se soucie pas des fréquences, des formes entre composantes etc... il est là uniquement pour les séismes de magnitude significative >3 ou 4 dont les premiers signaux sont toujours des ondes volumiques très amples.
Il en a déduit automatiquement des datations décalées par rapport à la réalité et « logiquement » plus proches des vôtres puisque les 3.4 km/sec des ondes S sont proches des faux 3 km/sec des ondes de Rayleigh auxquelles vous vous suspendez. Le LDEO a de plus calculé une distance moyenne à l’épicentre elle aussi estimée de manière très approximative à 32 km au lieu de 33.8 km, sans savoir que c’était le WTC. Les imprécisions sont donc grandes et les datations n’ont, de plus, aucune valeur pour la raison que j’ai évoquée.
Ce genre de réseau dédié au séisme naturel ne publie jamais les magnitudes <1.5 et est souvent incapable d’interpréter des séismes d’origine artificielle de faible amplitude sans un examen humain.
Si vous avez du temps vous constaterez par exemple que ce genre de chose arrive sur le réseau européen EMSC (version des historiques pour les professionnels accessibles librement sur internet) avec des cas de séismes sousmarins naturels aux signaux trop faibles car distant de toutes les stations mais pour lesquels des communiqués automatiques sont démentis quelques jours après. D’ailleurs tous ces réseaux sismiques annoncent systématiquement par défaut ces calculs automatiques sous réserve d’un examen humain derrière... ce que le LDEO a fait et si vous vous en tapez afin de justifier vos calculs c’est votre problème pas le mien et cela montre que vous êtes bien un arnaqueur qui ne respecte même pas l’esprit scientifique de ces réseaux sismologiques, Barety !
C’est pourquoi dès le 14 septembre 2001, le LDEO a été capable de faire un communiqué, tenant compte des particularités du 11-9, de la vrai distance des stations au WTC, du fait que les événements sismiques avaient toutes les chances d’être proches du seul, de sa connaissance du terrain etc.... Il a été précis et n’a pratiquement pas bougé depuis. Et à cette époque il ne savait pas que le NIST allait pondre des dates vidéos incompatibles et que des « méchants complotistes comme A Rousseau » allaient même se servir de leur travail de sismologue pour contrer les « gentils scientifiques » qui voyait dans le NIST un travail tellement exemplaire !
Barety, vous avez les écrits bien visibles et invariants du LDEO contre vous... moi je leur réclamerait une étude plus poussée encore pour améliorer leur précision mais je n’ai pas le pouvoir du NIST qui lui s’accroche à des start-time en leur donnant une signification qu’ils n’ont pas, qui mentionne une lettre « KIM 2005 » que personne n’a encore vue... si vous l’avez cette lettre, je suis preneur...car j’ai pour celle-ci déjà fait une demande à 5 membres du LDEO.
Un rapport officiel se doit de fournir toutes les preuves de ses allégations. Dans les méga octets de rapports Pdf que compte le site du NIST pour cette affaire, on ne trouve nullement le document dont faire référence le NIST, le fameux document « KIM 2005 » dont le NIST ressort des conclusions qui sont en contradiction avec ce que le LDEO publie ouvertement depuis des années.
Etonnant non... à quoi servent tous ces Giga de documents si celui-ci n’y est pas ? Ca ne vous gêne pas cette manière de procéder... moi si... et je ne crois pas être le seul !
Surtout que cet hypothétique document est le seul appui dont disposerait le NIST pour argumenter une notion d’incertitudes des datations plus grandes que la normal pour ce cas du 9-11.... le NIST n’en est même pas encore à confirmer que l’association des datations avec les séismes est certaine...
Vous ne croyez pas qu’il y a un malaise du côté du NIST, non ?
On peut facilement supposer que le LDEO n’a pas cherché à porter en justice ce genre d’affaire contre le NIST sachant que le NIST à le soutien des gouvernements successifs et d’un nombre impressionnant d’organismes puissants.
La notion de protection et d’indépendance de l’emploi dont beaucoup de gens (dont vous) peuvent heureusement largement bénéficier en France comme avec l’éducation nationale ou le CNRS, n’existe pas aux USA. Les pressions sont donc aisées. Mais le LDEO sait ce qu’il publie et n’a pas bougé. Scientifiquement, il est clean, même si, à mes yeux, il n’a pas encore publié une étude suffisamment poussée et détaillée de toute cette journée.
De plus dans son rapport le NIST essaie de s’appuyer sur des start-times qui n’ont aucun rapport avec les datations des séismes, clairement indiquées par le LDEO. La dessus vous êtes incapable de répondre et de justifier l’attitude du NIST. Vous fuyez d’ailleurs tellement de questions que vous semblez essayer de dissimuler cette misère intellectuelle en amenant régulièrement des docs hors-sujet dont vous n’êtes même pas l’auteur et que vous semblez très mal digérer.
Tant que le NIST ne divulgue pas les preuves de ces affirmations, je ne peux que supposer qu’il MENT, qu’il est MALHONNETE et que des gens comme vous ne sont là que pour cautionner ce genre de comportement anti-scientifique en mettant de plus, en avant vos titres scientifiques qui n’ont d’ailleurs aucun rapport avec la sismologie.
Ce n’est donc pas moi qui radote mais vous qui continuer d’affirmer sans preuve.
Monsieur Quirant, je constate que depuis le début vous avez été incapable d’analyser le moindre sismogramme du réseau LCSN et donc de réellement travailler sur les données sismiques du 11-9. Vous n’avez même pas été capable de prouver uniquement à travers l’ensemble des sismogrammes du 11-9 que la vitesse des ondes de Rayleigh de 3 km/s que vous essayez d’imposer à PAL est cohérente. C’est la démarche élémentaire de toute étude de ce type. La simple existence d’ondes P et S et la connaissance de leur datation d’arrivée sur plusieurs de ses sismogrammes permettent pourtant de contredire votre théorie. Mais vous vous en foutez royalement puisque la vérité du 11 septembre ne vous intéressent nullement.