Si les enfants étaient l’avenir de la « nation » (qui n’existe plus dans un système de libre-échange comme le notre) on investirait massivement dans le formation des jeunes, or ce n’est pas le cas. Quand on formate des consommateurs abrutis et non des citoyens lucides, on s’affole à la moindre crise : peur de la maladie, refus des solutions collectives, peu de solidarité...