Dans cette discussion animée où s’affrontent, comme dans une arène, les « pro » et les « anticorridas », j’aimerais que nous ayons une petite pensée pour tous les toreros tombés au champ d’honneur. Je dédie ce commentaire à tous ceux qui se sont fait encornés par un animal bas du front incapable de comprendre que le petit être sans défense, tout de rose vêtu, agitant un mouchoir rouge à quelques pas de ses cruelles cornes, souhaitait seulement s’amuser un peu avec lui. Honneur à ces hommes !
Moi, je me souviens avec bonheur de mon premier voyage en Angleterre... J’avais quatorze ans. J’apprenais la langue internationale depuis trois ans et grâce à ce voyage, j’ai pu constater que malgré mon jeune âge, curieusement, j’arrivais à me faire comprendre des autochtones. Quelle satisfaction ! Je pense que cela est du en grande partie à la facilité d’apprentissage de l’anglais. C’est précisément ce voyage en Angleterre qui m’a donné le goût de persévérer dans la langue internationale que j’utilise à chaque fois que je voyage à l’étranger, c’est-à-dire tous les ans.