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Baptiste

Je suis un étudiant français passionné d'économie. Je partage sur cette page mes réflexions économiques ou sur l'actualité en général.

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  • Premier article le 24/04/2020
  • Modérateur depuis le 09/06/2020
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Derniers commentaires



  • Baptiste B. 27 avril 2020 17:27

    @Louis
    merci pour votre commentaire.

    Le but est simple : comparer la dette à la taille de l’économie des états (le PIB).

    Beaucoup d’économistes considèrent que le PIB est un indicateur macroéconomique aux nombreuses limites (non prise en compte des externalités, de l’économie domestique et souterraine ...). Il mesure l’activité économique d’un pays certes mais il doit être utilisé avec d’autres indicateurs permettant de décrire les inégalités, le niveau de vie des habitants... (IDH, pourcentage de la population sous le seuil de pauvreté...)

    En fait, le PIB (produit intérieur brut) est aujourd’hui l’indicateur macroéconomique de référence et on a parfois l’impression que les analyses économiques s’arrêtent à comparer le PIB (entre les états ou entre différentes périodes). C’est une erreur ! 

    Le PIB est devenu une institution et on compare aussi la dette à lui car tout aujourd’hui passe par le PIB.



  • Baptiste B. 27 avril 2020 10:37

    Article intéressant.

    Je partage notamment votre diagnostic sur l’Italie. François Écalle, ancien rapporteur général à la Cour des comptes sur la situation et les perspectives des finances publiques, parle d’elle d’ailleurs comme du « maillon faible » de la zone euro. La situation Italienne est très préoccupante et l’évolution sa situation financière sera déterminante pour l’avenir de l’Europe et la santé économique des autres pays de la zone.


    Je pense qu’il reste une question fondamentale : Qu’est ce que les gouvernements ont fait de l’argent ? En effet la France,ce est le pays le plus taxé au monde (OCDE en 2017) et sa dette est passée de 21 % du PIB en 1981 à 120 % en 2020 (prédiction). De plus, ces dépenses très importantes n’ont pas permis de réduire les tensions sociales (gilets jaunes) ou d’éradiquer la pauvreté (8,8 millions de pauvres en France selon l’Insee en 2016).

    Pour moi, une des raisons de ces déficits à répétition, c’est une utilisation intéressée des politiques économiques visant davantage à manipuler un électorat sur le court terme qu’à assurer la santé économique française sur le long terme.


    lien vers mon article : https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/reflexion-sur-l-endettement-de-l-223605 



  • Baptiste B. 26 avril 2020 02:38

    @Baptiste B.
    J’ai écris : Selon lui la dette en 2018 n’est pas encore « supportable », en voulant dire : selon lui la dette en 2018 est encore « supportable »



  • Baptiste B. 26 avril 2020 00:02

    @lola
    Merci pour votre commentaire.

    Pour moi, l’article de Christian Chavagnieux, publié dans Alternatives économiques le 17 décembre 2018, confirme que la dette française est aujourd’hui préoccupante.

    Selon lui la dette en 2018 n’est pas encore « supportable », mais elle pourrait devenir préoccupante si certaines situations venaient à se produire.

    Une des situations serait : «  des tensions dans la zone euro dues aux problèmes budgétaires italiens ... emmènerait la dette vers des niveaux plus risqués et moins contrôlables ». Or, la situation économique de l’Italie est tout sauf rassurante à l’heure actuelle (comme je l’explique dans l’article).

    Par la suite il affirme que : la dette « résulte pour une partie significative de l’idéologie anti-impôt des gouvernements de tous bords qui se sont succédé au cours des vingt dernières années ». Je ne pense pas que l’on puisse dire que la France est le pays de « l’idéologie de l’anti-impôt ». En effet, la France est le pays le plus taxé du monde. L’étude annuelle de l’Organisation pour la coopération et le développement (OCDE) sur la fiscalité révèle que la France est en 2017 le pays le plus taxé au monde avec des recettes fiscales atteignant 46,2 % de son PIB. Elle est juste devant le Danemark (46% de son PIB).



  • Baptiste B. 25 avril 2020 18:14

    @Charles

    Quand je parle du taux négatif qui « nie la philosophe du progrès », je parle bien de l’idée qui se cache derrière le taux négatif. En fait, le taux négatif nie la « philosophie du progrès » car il refuse de voir l’intervalle de temps qui sépare le prêt de son remboursement comme une source de progrès, un espace temporel qui va permettre à l’homme de s’améliorer et dans ce cas de générer un profit.

    Quand je parle de philosophie du progrès, je parle de l’idée que le temps qui passe représente pour l’homme une possibilité de s’améliorer. En d’autres termes, que demain nous aurons progressé et c’est cela qui nie le taux négatif.

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