Il serait bon d’arrêter de répéter comme des perroquets la propagande du régime mafieux corréiste, et de se renseigner sur la réalité de l’Equateur. C’est une fraude massive orchestrée par le gouvernement, qui selon les équatoriens est le plus corrompu qu’ils aient connu depuis la dictature, véritable dictature bananière : plus 1,5 millions de morts ont été inscrit sur les listes électorales par celui-ci, les ambassades à l’étranger ont été fermées des heures avant l’heure prévue pour empêcher la majorité des équatoriens de l’étranger de voter notamment en Espagne où ils sont plus de 2 millions, une grande partie des stylos mis à disposition pour le vote étaient des stylos « effaçables » pour pouvoir modifier les votes ultérieurement, les observateurs tirés au sort parmi les électeurs de chaque bureau de vote ont été interdit d’accès au dépouillement dans un certain nombre d’entre eux .... et si vous faisiez l’effort de vous informer toutes les preuves de ces fraudes sont en ligne depuis des mois concernant les mort inscrits et les stylos et toutes celles qui ont eu lieu le jour de l’élection également.
Les équatoriens sont en colère et atterés et ont commencé dès l’annonce de ces résultats frauduleux à manifester en se demandant comment sortir de cette impasse avant d’être vénézualisés. En réalité Moreno n’a pas du avoir plus de 25% de votes réels, mais comme le CNE (conseil national électoral) et l’organe qui a organisé la fraude, un recours institutionnel n’est guère possible malgré les nombreuses preuves qu’une fraude massive a été organisée.
Correa et sa mafia, Moreno et Glaz inclus ont pillé tout le pays, celui-ci est endetté bien plus qu’avant leur accession au pouvoir tant envers la Chine qu’envers le FMI, c’est le pays le plus cher d’Amérique du Sud en raison des taxes qui pleuvent sur la population et qui touchent en premier lieu les classes populaires et petite classe moyenne ayant fait faire un bon spectaculaire aux prix de l’alimentaire et produits de base, y compris les fournitures scolaires dans un pays où l’éducation est loin d’être gratuite. La constitution le gouvernement s’assied dessus depuis des années et a refusé (sûr de le perdre) que puisse être collectée les signatures pour un référendum révocatoire il y a 1 an et demi, et comme la dernière année de mandat ce référendum n’est plus possible les gens ont attendu les élections. Les droits de peuples indigènes sont violés et leur territoire livrés aux compagnie pétrolières et minières qui ravagent écologiquement le pays. Economiquement le pays va très mal, les caisses sont vides et pas à cause de la baisse du prix du pétrole, mais à cause du pillage. La presse,les télés et radios qui n’ont pas été fermées par le gouvernement sont muselé à coup de procès gagnés d’avance puisque tous les pouvoirs y compris le judiciaire est entre les mains des correistes. La répression politique depuis que la population a compris qu’elle s’était fait avoir n’a pas de limite, répression des manifestations par la police et l’armée, emprisonnement arbitraire, assassinats d’opposants, de journalistes et même de haut gradés de l’armée dénonçant la corruption. Bref le comportement du gouvernement face au protestation de la loi travail c’est rien à côté de ce que subissent les équatoriens depuis plusieurs années.
La province de Manabi aurait voté à 50 % pour Al Pais alors que les gens suite au tremblement de terre sont toujours dans une situation catastrophique le gouvernement se foutant éperduement des centaines de milliers de personnes qui ont tout perdu et qu’ils n’ont même pas osé faire réellement campagne dans la province de peur de se faire lyncher ? A noter que Correa s’était mis dans les poches le fond prévu pour les catastrophes naturelles, le prétendant inutile (dans un pays sujet aux tremblements de terre, éruptions volcaniques et grosse inondation !). Machala province du sud qui depuis des mois gronde contre le gouvernement elle aussi aurait subitement viré casaque et voté pour lui à 50% ?
Trop long de continuer pour un commentaire mais ya basta, de chanter les louanges de dictatures mafieuses en les prétendant socialistes ou progressistes, même si elles prétendent en porter l’étiquette et dont la conséquence est qu’actuellement, le terme socialiste est en passe de devenir un gros mot en Amérique du sud dans la majorité de la population et que Cuba qui bénéficiait d’une aura de sympathie dans celle-ci l’a perdu en soutenant ces régimes mafieux,
Contrairement à vous j’ai des contacts là-bas et des informations sur la réalité que les gens vivent. Et dites vous bien que la bourgeoisie là-bas et les ultra-riches sont majoritairement « corréistes » parce qu’ils s’engraissent bien sur le dos de la population, ne paient pas leurs impôts et se foutent éperdument de ce que subit le reste de la population. Non seulement en relayant la parole mensongère des officialistes équatoriens vous participez à la désinformation, vous prenez parti contre la population, mais vous discréditez ici aussi la parole de gauche ...
La société prône le « il n’y a que moi qui compte » et les réseaux sociaux enfoncent le clou, mais ne sont pas la cause du problème, juste une conséquence ou un symptôme.
@Rincevent Tout à fait, personnellement je ne crois pas à une ville intelligente, en ce qui me concerne une mégapole est aux antipodes de l’intelligence, un univers carcéral et concentrationnaire d’’où le vivant est banni et je ne peux comprendre que l’on puisse vouloir y vivre, y être contraint étant évidemment autre chose.
@Philou Je ne suis pas une grande connaisseuse en vin et je suis plutôt vin blanc, éventuellement rosé. J’ai habité 8 ans à Olonzac dans le minervois, et effectivement il y a plein de petits viticulteurs dans le minervois et dans l’Aude en général qui vinifient eux-même et qui font de bons vins à des prix de très corrects. J’achetais mon vin en direct sur le marché ou aux caves directement aux viticulteurs avec le plaisir de parler avec eux. En hiver après avoir fait mon marché en produits frais auprès de producteurs, je prenais un des vins chauds proposés sur le marché avant de rentrer chez moi.
Mais pour les gens des zones urbaines qui font leurs courses aux hyper c’est certainement très différent.
Il y a quelques années (dsl je n’ai pas la notion du temps) un vin de La Livinière avait été élu meilleur vin mondial à un concours de Londres, et j’avais bien aimé que le viticulteur primé ait, non pas vendu les quelques dizaines de bouteilles qui lui restaient aux enchères comme on le lui avait suggéré mais les avaient attribuées par tirage au sort sur les demandes reçues au prix habituel.
Je suis du sud mais pa originaire de l’Aude mais j’aime beaucoup ce département, j’ai vécu également dans les hautes-corbières. J’aime les zones rurales, elles ne sont pas exemptes de problèmes et d’individus imbuvables, mais toutefois moins que les grandes zones urbaines, et de mon point de vue personnel plus viables ... je déteste les villes
Bonne continuation dans la viticulture et dans le Minervois, je comprends que vous l’ayez adoptée !
Les vénézuéliens ont voté contre le gouvernement pour leurs députés, ce même gouvernement qui « chie » sur la constitution en refusant la collecte des signatures pour une référendum de destitution du président ... parce qu’ils sont sur de le perdre le référendum, même en truquant au maximum comme ils l’ont fait pour le parlement.
Ce ne serait pas la marque évidente d’une dictature par hasard ?
Il faut ouvrir les yeux et accepter qu’on s’est fait rouler dans la farine, avec le prétendu socialisme du 21ème siècle, ce qui autrement moins grave pour nous, ici en Europe, que pour les populations concernées au Venezuela ou en Equateur où ils payent cher d’avoir cru en des manipulateurs cupides qui ont pillés le pays !
Se faire les laquais de nouveaux dictateurs d’Amérique du sud, sans chercher à s’informer auprès de la population locale, est méprisant envers les peuples qui luttent contre elles actuellement, et comme la réalité finira par s’imposer, la gauche radicale qui les aura soutenu, se trouvera dans la même position que le PCF avec le stalinisme .... comme si on avait besoin de ça dans la situation actuelle où un changement de société est une question de survie.