• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Decouz

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 0 2645 0
1 mois 0 21 0
5 jours 0 4 0

Derniers commentaires



  • Decouz 26 mars 2017 11:42

    J’ai lu aussi je ne sais où, mais l’article n’était pas fantaisiste, que les pouvoirs d’un Président de la République, c’était, à peu près 5% de la totalité des décisions, compte tenu de toutes les contraintes et pressions qui s’exercent sur lui.
    5 % pour 5 ans, pas de quoi s’exciter.
    Comment les opinions se forment elles ? Chacun est-il un électeur rationnel, comme est supposé l’être faussement le consommateur, alors que les problèmes sont si complexes. Les médias, malgré internet, contribuent à façonner l’opinion. Ils sont entre les mains de quelques groupes.
    On nous a « vendu » l’euro, maintenant certains disent que l’euro ce n’est pas si bon. Qui a les moyens et le temps d’étudier cette situation complexe ?
    On vote pour le « look » d"un candidat, pour son apparence sympa ou après avoir tout étudié son arrière-plan idéologique et sont projet ?



  • Decouz 26 mars 2017 10:13

    Le mythe tel qu’on le comprend à l’heure actuelle est devenu une histoire fantaisiste qui ne dit rien du réel. Pourtant lorsque des chercheurs décryptent les mythes il n’y trouvent pas uniquement des histoires rassurantes pour l’ego (explication psychologique), mais une architecture codée et complexe qui parle des problèmes derniers (ou premiers), problèmes que la science expérimentale ne peut pas traiter, étudiant uniquement le monde sensible.
    A partir de là les savants sont partagés, certains croient en telle ou telle forme religieuse, d’autres non, d’autres ne prennent pas partie ou ne se posent pas la question, parce qu’aucune méthode scientifique ne peut répondre à ces questions . Ils sont libres de choisir (c’est là qu’on peut opposer la croyance à la nécessité, car ce qui est obtenu par un raisonnement rigoureux ne laisse aucun choix et la foi par définition suppose la possibilité d’un choix libre, je ne parle pas des contraintes extérieures, mais du sentiment intime).
    Mais tout raisonnement rigoureux et strictement logique doit partir d’un point de départ, si ce point de départ est faux et incertain, tout est faux et incertain. D’autre part la science certes expérimente et valide, mais elle ne valide que statistiquement dans bien des cas, à part les maths qui sont strictes et « fermées ») : tous les cygnes sont blancs...jusqu’au jour où un trouve un cygne noir.
    Dans le domaine des choses singulières (qui ne se répètent pas, comme l’histoire de l’univers) on ne peut que construire des hypothèses ou suivre les inspirations des mythes et religions, car aucune expérience répétitive n’est possible, même l’histoire ne présente que des analogies entre différents évènements, jamais de copies pures et simples, à chaque fois la situation est singulière et nouvelle.
    La science elle-même est devenu un mythe, une sorte de toute puissance, les connaissances scientifiques, dans le grand public, prennent des allures imposantes et autoritaires, alors que les savants eux-mêmes sont bien plus prudents, car ils sont souvent en désaccord sur tel ou tel point, et connaissent la nature hypothétique de certains de leurs énoncés.



  • Decouz 25 mars 2017 11:56

    Chez Platon (pas uniquement) le mythe intervient lorsque la raison ne sait plus, ne peut pas, expliquer, le mythe est poétique, synthétique, mystérieux, englobant, la raison est explicative, analytique, séparative.
    La révélation au sens religieux est mythique, parce qu’elle ne cherche pas une vérification (immédiate, les conséquences sont attendues après la mort), qu’elle demande juste une adhésion dans un domaine où l’expérimentation n’est pas possible.
    Mais ce qui se traduit en révélation principalement religieuse dans les monothéismes peut tout autant se manifester sous une forme rationnelle (même dans les monothéismes, il y a des inspirés qui a coté de la révélation ou à partir de, utilisent l’argumentation) l’essentiel étant d’admettre une intuition supérieure (mais pas négatrice de) à la raison.



  • Decouz 25 mars 2017 09:27

    Je mets un texte plus plus particulier à l’EN :

    http://www.esen.education.fr/fileadmin/user_upload/Modules/Ressources/Outil s/mot_juriste/6-05_protection_fonctionnaires.pdf

    Mais il faut une demande du fonctionnaire, c’est sans doute une peu dissuasif ou mal connu, car il ne parait pas que ce soit très utilisé, pourtant ce serait un moyen, si beaucoup s’en servaient, d’attirer l’attention.
    Peut-être aussi les profs ont peur vis à vis de leur administration, peur de paraitre pas à la hauteur, ou d’être responsables de la situation.
    Le problème est aussi la violence latente qui ne va pas jusqu’à l’agression au sens légal (pas toujours facile à prouver, c’est un rapport d’autorité qui a toujours eu une potentialité conflictuelle) et qui est presque devenue habituelle, et là c’est un problème bien plus général et complexe.



  • Decouz 25 mars 2017 09:07

    L’administration a un devoir de protection vis à vis de ses fonctionnaires :
    http://social-sante.gouv.fr/IMG/pdf/protection_juridique_agents_face_agressivite_et_ violence_delphine_jaafar.pdf
    C’est le cadre légal, cela ne veut pas dire que c’est suffisant en pratique, et cela n’empêche pas les violences à priori.
    L’assurance dont vous parlez s’occupe d’autres problèmes et vient en complément : conseil juridique, dégâts matériels non couverts par l’administration ou les assurances ordinaires... L’administration et la justice ont un rythme lent, dans le cas d’une agression il y a nécessité d’une réponse rapide, normalement cette assurance doit fournir une aide plus rapide en attendant.
    Il y a aussi des cas où le cap de l’infraction légale n’est pas franchi, ou difficile à prouver, dans ce cas j’ai souvenir que l’association en question écrivait une lettre comminatoire à la famille.
    L’Autonome au départ n’était pas une assurance, mais c’était une association (des associations départementales). Il y a eu un accord avec la MAIF (qui est une mutuelle et qui n’a donc pas d’actionnaires), mais certaines sections n’ont pas accepté, certaines ont préféré rester dans le cadre associatif (plus souple et plus proche) plutôt que de rentrer dans une logique d’assurance.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv