A des faits, on réponds par d’autres faits. Votre réflexion, n’est ni un fait, ni un argument, ni même une opinion, tout un semblant de pique déplacé. Je vous invite à me démontrer que je transforme l’histoire, ou à vous taire.
1-Vous savez que l’immigration, qu’elle soit choisie, subie, ou autre, se heurtera fatalement à un seuil au dela duquel, en fonction des critères de jugement d’aujourd’hui, nous deviendrons tous des racistes. 2-Vous savez que la seule solution viable à long terme, c’est de miser à la source, dans les pays d’émigration 1+2= 1- l’immigration est un double problème. re 1- elle ne freine pas le flux migratoire à la source re 2- elle se heurte à un rejet grandissant dans les pays d’accueil. Que pouvons nous, nous citoyens faire concretement ? Dans l’impossibilité d’avoir un pouvoir décisionnaire, nous ne pouvons que donner une opinion., en espérant qu’elle pèse dans la balance. Je ne peux en connaissance de cause, qu’ etre contre l’immigration, et espérer que les politiques, acculés au pied du mur soient obligés de se mettre à l’ouvrage. Ma position est celle qui pourrait profiter au plus grand nombre, elle est logique et conforme à mes principes et convictions. Ce n’est ni de l’amour, ni de la haine, juste de la raison. Je ne peux comprendre, qu’en ayant peu ou prou la même vision que moi, on ne pousse pas la réflexion jusqu’à son terme, pour en tirer les conclusions.. Est ce un tabou ? Je constate, et je trouves déplorable, que la seule motivation de certains « humanistes » se résume à être dans le camp des « gentils ». L’humanisme, dans ce cas figure, est un iceberg. Il se nourrit des apparences, mais ne franchit pas le racisme personnalisé par le niveau de la mer, qui cache les 9/10 ème de la réalité.
En réalité, l’ île de la Réunion ne fait pas exception à la règle. Entre les zoreilles, les zarabes, les malgaches, les indous, j’en oublis et les métis, ce n’est pas l’amour fou. Pour avoir travaillé avec eux , j’ai constaté qu’ils ont exactement les mêmes préjugés communautaires que partout ailleurs. Je l’avais remarqué également avec les Yougoslaves, et avec les nords africains. Un cousin à moi, marié à une réunionnaise, était parfaitement bien accepté en france. Chomage aidant et nostalgie de sa femme, il s’est installé sur l’ile. La dernière fois, qu’il a bu le rhum avec « ses » amis, au cul de la bouteille vide, les coupes-coupes ont été sortis ; Entretemps, il avait monté un petit élevage de lapins et poulets, et une barraque « à frites » pour écouler sa production, et ce peu de réussitte, n’a pas été accepté. Il est donc revenu, en France, avec ses deux gosses, sa femme ayant été happée par son milieu. Egalement une nièce, s’est marié avec un réunionnais, Propriétaire de leur logement, ils ont vendus pour rejoindre la carte postale, et moins d’un an aprés, il sont revenus, mais je n’ai pas su pourquoi. La France multi culturelle nous l’avons eut en Algérie. Communautés alsaciennes, andalouses, arabes, berbères, Catalanes, françaises, italiennes, juives, kabiles, mahonnaises, maltaises, valenciennes, avec des castes, fonctionnaires, militaires, propriétaires , caîds, bachagas, etc... Une trés belle multiculturalité, payée avec des hectolitres de sang.. Nous avons un exemple réelle, à lire, à méditer. La BNF a numériser et mis en ligne un grand nombre d’ouvrages, et parmi eux des quotidiens qui racontent la vie jour après jour, en France, et en Algérie. De quoi se forger des opinions,sans s’embarrasser des légendes.
Je
connais très bien les causes de l’immigration, je pourrais même à
la limite, et bien que vous soyez petit fils d’ Espagnol, vous en
apprendre, que vous ignorez. J’ écris de l’immigration, et des
situations, et je ne m’en prends pas aux immigrés.
Je
ne suis pas patriote au point de donner ma vie pour le CAC 40, mais
si nous étions en guerre, je défendrais ma famille et ceux que je
j’aime, et donc, je choisirais forcement un camp.
Je
constate, que sur ce dernier commentaire, nous sommes d’accord jusqu’
à un certain point, et à partir de ce point, vous devenez
illogiques, en adoptant une position qui n’est pas conforme avec ce
que vous devriez penser vraiment.
"Le
seul frein à l’immigration se trouve dans de meilleures structures
dans les pays d’origines." Je ne penses pas différemment, et je vais
jusqu’au bout de cette logique, et je suis globalement contre
l’immigration, et pour l’expulsion des clandestins. Parce qu’en
aidant les immigrés avant qu’ils le deviennent, j’y trouves mon
compte et eux aussi.
Ce
qui est flagrant aujourd’hui, c’est que les problème s’accumulent,
et que l’humanisme débridé n’apporte aucune solution, et nous
conduit plutôt vers un point de non retour ingérable. Si on attend
que tout le monde soit convaincus que l’immigration est un risque, il
sera trop tard pour renverser la vapeur. Il ne faut pas se leurrer,
tout ce que nous faisons pour « nos » émigrés, revient
à remplir un tonneau des Danaïdes, pour un résultat globalement
nul. Pour un immigré que nous accueillons, il y en a cent qui
sonnent à la porte. Alors que peut être avec le coût d’un seul en
France on pourrait en aider cent chez eux.
Quand
la France comptera 120 millions d’habitants, avec 50% de français (s’il en reste),
elle crèvera sans pouvoir s’aider.