@popov Je ne comprends pas votre raisonnement : soit vous croyez au caractère révélé du Coran et alors, effectivement, ce qu’il contient vous touche personnellement, soit vous n’y croyez pas, et alors pourquoi le prendre avec un tel sérieux ? Comment pouvez-vous écrire qu’un livre qui a été écrit il y a plus de 1500 ans désigne des gens comme vous ? C’est là toute l’absurdité du prétendu blasphème athée qui vient insulter un sacré auquel il ne croit pas, qui vient mettre un doigt dans le cul d’un dieu dont il nie l’existence. Pour blasphémer, il faut croire et celui qui « blasphème » alors qu’il n’est pas croyant ne cherche en réalité qu’à insulter des personnes qui croient.
@Jonas L’individualisme n’est pas l’individu, tout comme le nationalisme n’est pas la nation. La communauté n’est pas une précondition de l’islam, mais bien une conséquence.
@Aïta Pea Pea Simple constat. Si faire un simple constat avec le mot attentat dedans est nécessairement une apologie du terrorisme, alors il ne reste vraiment plus rien de la liberté d’expression.
@CLOJAC Il n’y aura pas de guerre civile. Il suffit de voir à quel point les attentats ont mis au pas ceux qui voulaient jouer les kékés avec l’islam, ou la récente affaire Mila où l’adolescente aujourd’hui toujours déscolarisée n’a pas été autant soutenue que cela par l’opinion publique d’après différents sondages, pour comprendre que la majorité des gens craint la violence et n’est pas prête à la généraliser. Ce que je dénonce, c’est bien une manipulation d’Etat. Une manipulation qui crée artificiellement des violences afin de pouvoir renforcer le contrôle sur tous. Les musulmans sont le moyen mais c’est bien toute la société qui est la fin. Il suffit d’ailleurs de voir les conséquences que cela a sur les différentes manifestations de rue : la violence policière est de plus en plus présente, et de moins en moins choquante parce que l’Etat a réussi à créer, à travers l’utilisation de la population musulmane, une banalité de la violence.