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Guyver

Guyver

Marié et père de quatre enfants, enseignant en SVT, j'habite entre Camargue et Alpilles.
Je suis membre du Réseau Education Sans Frontières, qui milite contre l'expulsion des enfants sans-papiers scolarisés en France.
Je me bats aussi contre les monopoles qui vampirisent la planète, par exemple par Ubuntu (alternative à Windows), le commerce équitable, et bien sûr Agoravox !

Enfin, je crois que nous sortirons de la crise qui enfle sans cesse qu'en changeant radicalement notre organisation sociale, pour prendre en compte l'automatisation des tâches.

Tableau de bord

  • Premier article le 03/05/2010
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Derniers commentaires



  • Guyver Guyver 28 mars 2012 13:24

    Je sais ce qui pourrait faire passer Bayrou (ou un autre) :

    http://www.votedevaleur.org/co/votedevaleur.html

    Sortons de ce système bipartisan !





  • Guyver Guyver 28 mars 2012 08:24

    Albert Einstein a dit : « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent »
    Si je résume votre article : « C’est n’est pas possible, c’est moralement bien, hein, mais il faut être réaliste, responsable, ... »
    Voilà toute la force d’un coup d’état par la dette (qui a déjà été appliqué à de nombreux pays sud-américains et africains avant d’être essayé en Europe) : une fois endetté, toute liberté politique dans le pays semble utopique.
    Vous demandez : avec quel argent. Comme si l’argent était une matière première. Comme si ce n’était pas une abstraction mentale, à l’origine « produite » (même s’il ne coûte rien de la produire) et contrôlée par l’état. Ce n’est qu’un moyen d’échange. Cela peut apparaître et disparaître (d’ailleurs en ce moment cela disparaît assez vite). Cette dette est une construction, produite par la loi Rotchild de 73. On peut la rayer aussi facilement. L’Argentine, l’Islande ont refusé de payer cette dette : ils s’en portent à merveille.

    Pour pousser plus loin, le manque d’argent a une cause structurelle : nous produisons énormément de biens à vendre avec très peu de travail (donc de salaire pour acheter) grâce aux machines. Alors on se prive pour rester « réalistes », c’est à dire s’en tenir à l’économie du 19e siècle, quand on travaillait comme des forçats (l’age d’or du plein emploi). Et « l’utopie », c’est d’adapter l’économie, donc le système de partage des richesses, à nos capacités de production.

    Le réalisme, c’est d’accepter qu’un milliard de personnes souffre de malnutrition sur une planète où nous jetons des tonnes de nourriture pour maintenir les prix. C’est d’avoir 10 % des gens privés de travail et de dignité, contraints de vivre d’aides tandis que les 90 % pourraient travailler moins. C’est de fabriquer des objets destinés à casser rapidement pour renouveler la demande (obsolescence programmée), quitte à vider nous ressources minières et à polluer irrémédiablement la planète.

    Les réalistes sont des salauds égoïstes incapables de sortir de leur cadre de pensée.

    Ce n’est pas un signe de bonne santé d’être parfaitement integré dans une société profonément malade.



  • Guyver Guyver 17 mars 2012 15:39

    Tout à fait d’accord avec cet article, sauf que j’irais encore plus loin.
    Les dérives actuelles, clairement dénoncées ici, ne sont que le prolongement de la logique de compétition et d’inégalités, qui sont les seuls effets objectifs de l’usage de l’argent comme outil de distribution des richesses.
    AInsi, après avoir fait ce que vous proposez (renverser la tyrannie en place), nous faut-il repenser la structure de nos sociétés, en ces temps où la donne a changé : il n’est plus utile de travail 10, 8 ou même 4 heures par jour pour produire tout ce dont nous avons besoin. La compétition n’est plus l’organisation optimale, car elle génère beaucoup trop de perdants. Nous devons passer à un monde de partage gratuit des richesses que nous offre la terre. Dans ce contexte, l’argent n’a plus aucune utilité, et nous pourrons enfin gérer nos affaires selon des critères rationnels ; la qualit de la nourriture, l’émancipation de l’éducation, etc.



  • Guyver Guyver 15 mars 2012 20:54

    C’est sur, en déléguant ton pouvoir d’action à quelqu’un d’autre (qui en plus propose de taper sur les plus faibles pour améliorer la situation), tu AGIS vraiment.

    A être fainéant à ce point, tu ne peux prétendre faire ta part. Faire sa part, c’est se sortir les doigts du c**, se remettre en cause, faire des sacrifices. Bref, un peu plus que de participer à cette parodie de démocracie qu’est le suffrage universel.

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