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Herby

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  • Herby 12 avril 2013 11:08

    Je me demande bien pourquoi ces affaires connues depuis des dizaines d’années ressortent soudainement aujourd’hui sous forme d’une campagne merdiatique de décrédibilisation du vatican qui a commencé juste après l’arrivée de B16.

    Dans le même ordre d’idée, pourquoi le Vatican a-t-il été coupé du réseau de paiement par carte bancaire au 1er Janvier dernier ? Soit-disant que la banque du vatican ne respecterait pas les règles anti-blanchiement. Mais cela aussi est connu depuis des années. Lien + vidéo.
    Et pourquoi, les paiements par carte ont été de nouveau possible dés le lendemain de l’annonce du départ de B16 ? Lien

    Et pourquoi B16 a démissionné ? Ah oui... Trop fatigué pour assurer ses fonctions ! C’est vrai que JP2 était dans une forme olympique sur la fin. Je crois plutôt qu’il s’est fait éjecter comme un malpropre. Mais par qui et pourquoi ???
    Je n’adhère pas vraiment aux conclusions de P. Jovanovic sur le sujet ; mais son discours est pertinent et pose des questions très intéressantes :
    http://www.youtube.com/watch?v=78NOobtFUHM
    La vidéo dans son intégralité :
    http://www.youtube.com/watch?v=Qr1yOsN4q7w



  • Herby 12 avril 2013 09:32

    Quelques liens pour illustrer mon commentaire ci-dessus :
    Un bel exemple de site d’enfouissement de déchets nucléaires.

    Les coriums de Fukushima qui n’ont soit-disant pas traversé le radier :
    il reste encore une grande inconnue, c’est le comportement des différents coriums engendrés par la catastrophe du 11 mars. Ils ont chacun des masses et des compositions différentes, selon ce qu’il y avait au départ dans chaque réacteur et ce qu’ils ont « mangé » sur leur passage. La modélisation de l’activité de coriums d’une aussi grande masse n’a jamais été réalisée
    Lien

    Selon Hiroaki Koide de l’Université de Kyoto « la situation de la centrale de Fukushima est désespérée (…) il y a à peu près cent tonnes de corium. Les cuves de pressurisation et les métaux utilisés pour l’enceinte du bâtiment fondent à 1500 °. Il est donc probable que le corium soit tombé au fond des cuves, qu’une partie ait attaqué le sol et qu’une partie se soit mélangée avec l’eau contaminée, entraînant la fonte des murs  ». Lien

    Concernant la sûreté de Fessenheim :
    une étude du service Environnement du Haut-Rhin estime que la centrale pourrait être inondée en cas d’un séisme majeur provoquant la rupture de la digue du Grand Canal d’Alsace et que le niveau de l’eau pourrait atteindre un mètre à l’intérieur du site, ce qui conduirait à la mise hors service des systèmes de refroidissement de secours, comme à Fukushima. C’est pourquoi le Conseil général du Haut-Rhin a estimé le 29 juin 2011 que le risque d’une inondation devait être envisagé, mais EDF présente officiellement ce scenario comme improbable et refuse pour l’heure d’en tenir compte. Lien
    Ce radier serait rapidement percé par le corium (de 44 à 48 heures) et le Rhin contaminé. Lien
    le radier a une hauteur de 1,5 mètre. Selon le physicien nucléaire, ce socle ne résisterait pas longtemps à un cœur fondu à 2800°C, et celui-ci atteindrait rapidement le sol géologique. La recommandation de l’ASN qui préconise de renforcer ce radier serait inefficace car l’ajout d’une épaisseur de 50 centimètres de béton ne retarderait l’avancée du corium que de quelques heures. Lien



  • Herby 12 avril 2013 07:36

    « en dépit de marges de sécurité déjà très élevée, l’ASN a demandé un renforcement du radier en béton situé à la base de l’enceinte des réacteurs, certes moins épais que celui des autres réacteurs de l’EDF, mais d’épaisseur équivalente à celle des réacteurs de Fukushima, qui ont pourtant résisté à la corrosion du corium qui avait percé la cuve de ces réacteurs ! »
    Comment pouvez-vous en être sur sachant qu’il est impossible de savoir ou se situent les coriums à Fukushima. J’imagine que c’est TEPCO qui raconte que les radiers ont tenu bon. C’est connu, ces gens là ne disent que la vérité (ou presque). L’ASN recommande d’augmenter l’épaisseur du radier de Fesseinheim de quelques dizaines de centimètres ; ce qui aura pour effet en cas de fusion du coeur de retarder l’avancée du corium vers le sous-sol de quelques dizaines de minutes tout au plus... On est sauvé !

    « En effet, ses réacteurs ont la capacité de pouvoir fonctionner sans problème de sécurité pendant non pas la prochaine décennie mais dans les 20 années à venir »
    « Quand au risque sismique, c’est un faux problème »
    Ahhh, le vieil argument : « Ne vous inquiétez pas, c’est absolument sans danger, les risques ont été pris en compte et sont parfaitement maitrisés... » TEPCO tenait exactement ce même discours jusqu’à un certain jour de Mars 2011... Ce type de discours est criminel ! Je pense qu’il faudrait établir une liste des personnes qui osent avancer cet argument. Le jour ou un accident survient, ces personnes pourraient être désignés d’office pour aller nettoyer.

    « en fermant Fessenheim, on retirerait une pièce de la pyramide qui permet au réseau électrique national de répondre en permanence à la demande d’électricité »
    Alors comment se fait-il qu’au Japon, suite au séisme du 11 Mars 2011 qui a entrainé l’arrêt de tout le parc nucléaire du pays, il n’y a pas eu de ’black-out’ ?

    « l’énergie nucléaire est celle qui permet de lutter le plus efficacement contre le réchauffement planétaire car elle présente le bilan le plus favorable en matière de réduction des émissions de gaz de serre, son bilan carbone se situant au plus bas niveau, bien au-dessous du solaire et même de l’éolien ! »
    Là, il faudrait argumenter un peu plus. Comment croire que le bilan carbone d’une centrale, en incluant l’extraction et le traitement de l’uranium, la construction et le démantèlement des installations et le traitement des déchets sur des siècles puisse être meilleur que l’éolien ? Pour qu’un tel argument soit recevable, il faudrait dans un premier temps savoir exactement comment démanteler une centrale et comment gérer les déchets. Or aujourd’hui, cela fait 50 ans qu’on nous dit qu’on va trouver une solution et on ne voit toujours rien venir. Mais on sait deja que le bilan carbone de cette activité sera inférieur à celui de l’éolien !?!

    « l’Allemagne ne pourra pas honorer ses engagements de réduction des rejets de CO2 pris dans le cadre des initiatives européennes destinées à mettre en œuvre le protocole de Kyoto »
    En effet, entre 1990 et 2004, l’Allemagne a réduit ses émissions de gaz à effet de serre de 17% alors que la France se contente d’un petit 3,2% (http://fr.wikipedia.org/wiki/Accords_de_Kyoto#.C3.89volution_des_.C3.A9missions_de_gaz_.C3.A0_effet_de_serre_de_1990 _.C3.A0_2004)

    « L’électricité nucléaire, grâce à son faible coût du KWh »
    C’est certain ! En ne prenant pas en compte le coût d’un éventuel accident, le coût du traitement et du stockage des déchets sur des dizaines, centaines voire des milliers d’années, le coût de la remise en état de tous les sites aujourd’hui pollués par la radio-activité et surtout le coût du démantèlement des centrales, on arrive a un prix défiant toute concurrence.
    Pour exemple, la centrale de Brennilis est en cours de démantèlement depuis 25 ans. Le budget prévu initialement pour cette opération est déjà largement dépassé et le batiment reacteur est toujours là, comme au premier jour ; et EDF ne sait toujours pas comment le démanteler ni que faire des déchets qui en résulteront. La seule solution aujourd’hui consisterait a dépolluer un site pour en polluer un autre ! Dans ces conditions, comment pouvez-vous prétendre connaitre le véritable coût de l’énergie nucléaire ???



  • Herby 9 avril 2013 13:11

    Cet article me fait penser a Maitre Daniel RICHARD, avocat spécialisé dans la defense des consommateurs face aux banques. Cet avocat recommande de s’adresser à la DGCCRF plutot qu’à l’AMF (Autorité des marchés financiers) en cas de litige avec une banque. Toujours selon cet avocat, une grande partie des employés de l’AMF rêvent de poursuivre leur carrière dans le milieu bancaire. Ils ne vont donc jamais prendre le risque de se griller auprès d’un éventuel futur employeur.
    Une raison de plus de se battre pour la sauvegarde de la DGCCRF.

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