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Aujourd'hui retraité je suis un ancien syndicaliste (qui a été délégué du personnel) et qui est militant du NPA. Mon parcours militant est jalonné de combats qui m'ont marqué.... Mai 68, qui correspond à l'époque où j'étais un tout jeune travailleur de 19 ans, la mort de Pierrot Overney assassiné devant les grilles de chez Renault, la lutte des Sonacotra, l'assassinat de Mahmoud hamchari, d'Ezzeddine Kalak et d'autres militants Palestiniens, le conflit Talbot contre le syndicat fasciste CFT-CSL pour parvenir au CPE puis aux grèves contre la "Réforme" des retraites....
 

Tableau de bord

  • Premier article le 05/02/2013
  • Modérateur depuis le 21/08/2015
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Derniers commentaires



  • jaja jaja 21 février 2018 17:19

    @Luc-Laurent Salvador

    L’essentiel pour la gauche en Grèce aurait été de socialiser les banques sans aucune exception afin de s’assurer du monopole du Crédit puis d’annuler la dette sans remboursement aux capitalistes qui la détiennent puis de socialiser les transports, les communications, l’énergie...

    Son rôle principal aurait été de comprendre que son ennemi principal c’était bien les capitalistes avant tout et donc de les déposséder méthodiquement pour commencer à instaurer l’égalité sociale...

    Mais ce n’est pas ce que voulaient les traîtres que sont les Tsipras ou Varoufakis qui se sont défaussés sur l’Europe pour accomplir leur forfait au profit des capitalistes grecs et des multinationales étrangères...

    UE qui n’aurait plus eu aucun pouvoir sur la Grèce si elle avait eu comme politique d’instaurer en force le socialisme...

    Rappelons au passage que l’ennemi principal des travailleurs c’est bien « leur » État-nation, son armée ses polices et sa justice de classe qui les répriment dès qu’ils cherchent à s’émanciper du joug patronal... L’Europe et ses institutions sont au service de la classe capitaliste et non leur maître... ce qu’il faudrait commencer à comprendre...



  • jaja jaja 21 février 2018 14:10

    @alinea

    Je ne sais que peu de choses de Youlountas sinon qu’il écrit toujours dans le Monde libertaire et qu’il participe aux convois vers les quartiers populaires de Grèce et qu’il continue à faire des films militants, comme « Je lutte donc je suis »
    http://jeluttedoncjesuis.net/...

    Cette trahison du programme initial de Syriza par sa propre direction démontre à merveille (une fois de plus) combien confier le pouvoir à une petite coterie de dirigeants professionnels à la Tsipras est la garantie d’être flouée pour la majorité des militants, des adhérents, des sympathisants et pour les masses de travailleurs qui croyaient en ces gens...

    La rotation des mandats doit être impérative à tous les niveaux, les élus doivent pouvoir être révoqués par la base à tout moment, et ce sont les Assemblées générales qui doivent trancher tous les aspects importants de la vie de l’organisation... Le faire admettre partout, ce n’est pas de la tarte !



  • jaja jaja 21 février 2018 10:30

    A l’attention des irréductibles groupies de l’ex comédien des finances grec.

    POUR EN FINIR AVEC VAROUFAKIS

    Sur le site du CADTM*, mon camarade et ami Eric Toussaint s’est lancé dans une éclairante analyse critique du nouveau livre égotique du chevalier blanc Varoufakis (550 pages de « moi je ») et démontre encore toute l’imposture du personnage.

    Eric vient notamment de nous dénicher la preuve formelle que Tsipras, Varoufakis et Dragasakis s’étaient bien mis d’accord en secret dès novembre 2014, c’est-à-dire deux mois avant l’élection de Tsipras, pour ne jamais appliquer le programme de Thessalonique. Ce programme, largement adopté lors du congrès de SYRIZA en septembre, avait été présenté, durant la campagne de janvier 2015, comme la pierre angulaire et le cap incontournable de Tsipras et Varoufakis en cas de victoire le 25 janvier.

    Parmi les premiers à dénoncer cette trahison, Stathis Kouvélakis m’avait également parlé « d’arrangements probables fin novembre 2014 », mais n’en avait pas encore la preuve. A l’époque, le mouvement social recommençait à descendre dans la rue, avant que les émeutes et occupations ne se multiplient début décembre, à l’initiative des anarchistes en solidarité avec leurs camarades emprisonnés en grève de la faim, en particulier Nikos Romanos. Craignant une insurrection sociale similaire ou plus intense encore qu’en décembre 2008, le gouvernement de droite du premier ministre Samaras avait alors essayé de calmer le jeu en annonçant des élections anticipées, selon la stratégie gaulienne de juin 1968.

    La preuve de la préméditation, la voici enfin, trois ans plus tard, de l’aveu même de Varoufakis, emporté par sa vanité qui lui fait dire jusqu’à l’inavouable. Le Tartuffe de la gauche européiste dévoile le pot-aux-roses dans une page de son livre :

    « J’étais à Austin (Texas) quand j’ai entendu aux informations qu’Alexis avait présenté les grandes lignes de la politique économique de Syriza dans un discours à Thessalonique. Surpris, je me suis procuré le texte et je l’ai lu. Une vague de nausée et d’indignation m’a submergé. Je me suis tout de suite mis au boulot. (…) Le Programme de Thessalonique promettait des augmentations de salaire, des subventions, des bénéfices et des investissements qui seraient financés par des mannes imaginaires, ou illégales. Il comprenait également des engagements que nous ne devrions même pas avoir à tenir. Enfin, il allait à l’encontre de toute stratégie de négociations raisonnable pour maintenir la Grèce dans la zone euro, tout en affirmant qu’elle devait y rester. Le programme était tellement bancal que je n’ai même pas pris la peine de le critiquer point par point. J’aurais tellement aimé lire un autre discours de la part d’Alexis Tsipras ! Vous imaginez un discours qui commencerait par Pourquoi voter pour nous ? et répondrait Parce que nous vous promettons trois choses : du sang, de la sueur et des larmes ! »

    A la lecture de ces lignes, Eric commente fort justement :
    « Prendre comme référence positive W. Churchill dans une critique publique adressée au programme de Thessalonique, c’est toute une affaire. Churchill a organisé la répression sanglante des manifestations et des grèves qui ont secoué la Grèce à la fin de l’année 1944 lorsque, dans le cadre des Accords de Yalta, la Grande-Bretagne a pris le contrôle du pays en réprimant les principales forces qui avaient libéré le pays de l’occupation nazie. »

    Une fois de plus, depuis son départ au soir de la victoire du OXI le 5 juillet 2015, Varoufakis sombre dans le ridicule de sa mise en scène. Mais ce qui est nouveau, c’est que le pseudo héros des réunions de l’Eurogroupe vient de dévoiler une fois pour toutes ce qu’il est : un traitre et un imposteur.

    Yannis Youlountas

    http://www.cadtm.org/Les-propositions-de-Varoufakis-qui



  • jaja jaja 12 février 2018 10:12

    Pour le franco-israélien Amir qui a porté les armes 3 ans en Palestine occupée participer à The Voice et finir 3ème n’a jamais été un problème pour la bien-pensance médiatique... Pas de lynchage pour ce colon en armes paradant dans un pays qui ne lui appartient pas et qu’il terrorise...
    Il est vrai que Mennen est voilée et qu’elle soutient la cause palestinienne...

    Deux poids deux mesures, comme d’habitude, dans tous les médias à la botte...



  • jaja jaja 11 février 2018 21:43

    @malitourne

    Beaucoup de choses vous échappent en effet... Puigdemont n’est pas tout l’indépendantisme catalan de même que les barbus ne sont pas les seuls à être hostiles à Bachar....

    Et ce qu’en disent les anarchistes catalans pour l’indépendance autant que vous le découvriez... Jordi Martí Font, membre de la CGT (centrale anarcho-syndicaliste, branche catalane) interviewé ici par Jérémie Berthuin1.

    « Détruire le franquisme passe par l’indépendance de la Catalogne

    « Vu de l’extérieur cela peut paraître étrange que des libertaires, anti-étatistes comme nous, puissent être au coude à coude avec des personnes qui se mobilisent pour une Catalogne indépendante. Je vous invite à venir mettre un pied sur notre terre, et vous comprendrez assurément la profondeur de notre combat. Un combat marqué du sceau de l’auto-organisation, de rues qui vivent et crient leur désir de liberté »...

    Et en passant ils expliquent pourquoi fut votée la Constitution de 78 et l’analysent en profondeur :

    « Le franquisme newlook gouverne donc l’Espagne actuelle avec l’aval de l’ensemble des partis politiques. Car tous, y compris le Parti Communistes Espagnol (du temps où avec ses partenaires italiens et français il tentait une synthèse entre pratiques staliniennes et discours social-démocrate connue comme « Eurocommunisme ») firent allégeance à la royauté issue du franquisme. Le PSUC (Parti socialiste unifié de Catalogne, également communiste) en profita même pour mandater l’un de ses (brillants) intellectuels, Jordi Solé Tura, comme « constitutionnaliste » de 1978…

    Aucun parti ne maintint donc frontalement l’opposition au fascisme, si ce n’est les mouvements sociaux. Pire, le PSOE (Parti socialiste ouvrier espagnol) se vautra dans le clientélisme face à l’aubaine inespérée de mettre ses cadres aux affaires.

    Franco, quelques années avant de gagner son lit de mort qu’une justice naturelle l’obligea à garder quelques semaines afin de définitivement passer l’arme à droite, avait précisé à son peuple, le 30 décembre 1969 : Todo ha quedado atado y bien atado (Tout est resté lié, bien lié)14. Le « tout », c’est l’Espagne chrétienne qui avait livrée croisade face aux hérétiques rouges ; le « lien », c’est évidemment le franquisme. Donc, détruire le franquisme, c’est défaire le lien maintenant le tout, c’est donc, défaire l’Espagne. Bien sûr, on pourra m’accuser de syllogisme mais, les manifestations nationalistes de ces dernières semaines, ayant pour seul mot d’ordre l’incarcération du président destitué de la Generalitat, Carles Puigdemont15 ; les bras tendus (même si minoritaires) ; les Cara al sol16  ; les drapeaux rouge et or d’une monarchie coloniale génocidaire, tant du côté africain qu’américain ; l’interdiction de la couleur jaune ou de l’utilisation de termes tels que « gouvernement en exil » lors de la dernière campagne électorale… ne peuvent laisser indifférents et ne peuvent surtout pas laisser penser à quoi que ce soit d’autre qu’à un retour en force des franquistes.

    http://www.grand-angle-libertaire.net/lindependance-catalane-en-debat/

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