• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Raymond SAMUEL

Raymond SAMUEL

Education :
Je suis attérré par l'importance des mensonges qui ont été répandus depuis cinquante ans, généralement par de soi-disant spécialistes de l'enfance qui servaient en réalité des idéologies (féminisme radical) ou des lobbyes (professionnels), et trahissaient les enfants. Jai écrit un essai : "D'ABORD NE PAS NUIRE", pour aider les parents à se débarrasser de ces idées reçues.
L'apparente impossibilité d'arrêter la machine économico/financière (et donc la surconsommation) m'angoisse par ailleurs énormément parce que, en conséquence, nous avons à faire un choix cruel entre la survie de la planète et celle des homo sapiens, et ça me gêne...
Il y a aussi l'abus de pouvoir que je n'aime pas du tout.

Tableau de bord

  • Premier article le 13/01/2010
  • Modérateur depuis le 17/12/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 16 660 342
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 9 8 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Raymond SAMUEL Raymond SAMUEL 3 février 2016 16:13

    Bonjour,
    Ne pensez-vous pas qu’il serait utile, pour y voir plus clair, de chiffrer la perte de moyens qui découle du nombre de personnes en âge de travailler mais handicapés, victimes de leur éducation, en grande difficulté d’apprentissage, incapables de stabilité et d’autonomie, souffrant toute leur vie cahoteuse, mobilisant les services publics et les fonds publics ?
    Ne pensez-vous pas, aussi, que l’industrie française ne pourra plus jamais concurrencer l’industrie chinoise et celle de tous les pays dits émergeant, et de ceux qui émergeront à la suite, c’est à dire tous.
    Moralité, il faut réduire le nombre de personnes qui ont le statut de salarié. Une économie qui dure provient, il me semble, d’une bonne répartition, disons 50 x 50, mais ça peut bouger, entre les urbains en quasi totalité salariés et les ruraux produisant leur nourriture, leur chauffage, leur logement, et surtout, élevant des enfants en bonne santé mentale et affective.
    Plus tôt on s’apercevra que le développement n’est pas durable, mieux ça vaudra.



  • Raymond SAMUEL Raymond SAMUEL 3 février 2016 08:32

    Bonjour,
    Merci LLS,
    Oui ; mon texte est trop long.
    Mais on peut dire aussi qu’il est trop court, compte tenu de l’enjeu, qui n’est rien moins que vital. Il sera trop long ici et trop court ailleurs (si ailleurs il y a).
    Ah oui, la forme... merci de le remarquer, mais c’est tout ce que je sais faire, et puis, les soins dans le graphisme que j’avais prodigués au texte avec le clavier ne se sont pas retrouvés après le clic.
    Merci pour votre billet de spécialiste qui a suscité des commentaires qui semblent indiquer que tout n’est pas perdu. Nous devons rester mobilisés pour dire et redire, encore et encore.
    Bonne journée



  • Raymond SAMUEL Raymond SAMUEL 2 février 2016 20:56

    Merci Philoule et philippe Vergnes. et l’auteur.

    Pour ce qui est de la question « pourquoi la protection de l’enfance est-t-elle totalement dysfonctionnelle dans beaucoup de pays développés », je traite de celle qui pourrait bien être la principale dans un billet à paraître sous peu (à la modération).
    Merci de le lire mais surtout de le critiquer...



  • Raymond SAMUEL Raymond SAMUEL 2 février 2016 15:49

    Philippe VERGNES,

    Je suis curieux de lire les réponse à votre excellente question :

    - « Pourquoi la protection de l’enfance est-t-elle totalement dysfonctionnelle dans beaucoup de pays développés ? »



  • Raymond SAMUEL Raymond SAMUEL 2 février 2016 15:40

    Excusez-moi pour ce doublon. Je n’avais pas trouvé mon premier commentaire et je le croyais égaré.

    J’en profite pour relever le commentaire de Philoule : « Mais ne chercheriez-vous pas à culpabiliser les mères qui travaillent ? »

    Eh bien non ! je cherche uniquement à attirer l’attention sur ce qui est néfaste aux enfants. Et pour cela je dois essayer d’écarter ce qui barre la route à l’examen des conditions faites aux enfants.

    Si vous dites : « aux mères qui travaillent », vous écartez les pères. Or les pères comme les mères sont responsables des enfants communs. Je préconise un idéal ; le maternage à mi-temps par la mère et mi-temps par le père jusqu’à six/sept ans, puis une attention particulière jusque vers la vingtième année, toujours par les deux parents.

    Il faut poser le problème. Sinon nous ne chercherons pas les bonne solution et nous n’avancerons pas. Par contre, nous dérivons à toute allure.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv