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Pr ELY Mustapha

Pr ELY Mustapha

PhD - PMP - I-PMP - SSYB- CSP - CEH
Professeur d'université et Expert international. Pluridisciplinaire.- Vetted Expert PNUD/GPN/ExpRes.
Spécialiste chaine pénale. Lutte judiciaire contre le terrorisme et la criminalité organisée.
IBM certified. Informaticien réseaux et systèmes, cybersécurité (CEH Certifié) , forensics (anticorruption, fraude) .
Fonctions occupées : Expert judiciaire principal (K1) pour la lutte contre le terrorisme en Afrique du Nord et au Moyen Orient (CT-MENA -Projet Européen).Chef de Mission consultance G5 Sahel -Sécurité et Développement.
Domaines d'intervention et de recherche : Gouvernance démocratique, réformes judiciaires, sécuritaires et pénitentiaires.
Une vingtaine d'ouvrages spécialisés (Sciences juridiques, économie, finances publiques, management public, fiscalité, TIC), de romans et d'essais publiés.

Tableau de bord

  • Premier article le 25/06/2011
  • Modérateur depuis le 29/06/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 2 mars 14:28

    @titi
    Tout-à fait d’accord. Droit imparfait, mais perfectible.Face à la nature hégémonique des puissances et à celle vindicative de leurs dirigeants, le droit international,

    créé et mis en oeuvre pour préserver la paix, ou tout au moins endiguer les conflits est un garde-fou dont on ne connait l’importance pour l’existence même de l’humanité que lorsqu’il s’affaiblit. Faudrait-il cependant que le droit international soit le fruit dans ses normes, ses institutions et les modalité de son exécution, issu de la volonté de tous les Etats (forts et faibles ) et de leur consensus.



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 28 février 08:19

    @Seth
    « L’auteur » ici, comme vous dites a bien un nom et ne cogite pas sous X.
    Si vous tenez tellement à la lexicologie, vous auriez dû voir que le terme « noir » au sens où vous aimeriez qu’on l’entende (« très très foncé », « racisé » etc. ) n’existe nulle part dans mon article.
     « Noir » est utilisé dans mon article comme un adjectif substantivé (servant de point de comparaison dans la structure comparative, sa fonction est complément de comparaison et ne vise pas un sujet nominatif ) et non comme un substantif, c’est-à-dire un adjectif nominalisé (exemple X est noir) qui désignerait alors une personne en se référant à sa couleur de peau ou à son origine ethnique (nulle par dans mon article, ce procédé n’est utilisé).

    Toutefois, au-delà de votre sombritude, l’auteur que vous n’osez citer, revendique d’être noir d« une Afrique noire (pas Afrique »très très foncée smiley ) comme vous aimeriez le dire, fière de la couleur de sa peau. Que « noir » représenterait, pour vous un terme « péjoratif » (comme le fameux « N word »), il constitue pour moi, la référence à des civilisations et des cultures millénaires. Et qu’il est tellement simpliste de le remaner à une simple couleur, puisqu’en définitive les couleurs ne sont que des longueurs d’onde.Certes vous ne parliez pas de moi...mais



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 26 février 20:04

    @La Bête du Gévaudan
    Merci de lire mon article jusqu’au bout, vous saurez que votre assertion est bien malheureuse (’« Soyez heureux, mais évitez de donner des leçons aux autres.. »).

    Voici ce que vous n’avez pas (ou que ne vouliez pas) lire :
    "À moins que la Mauritanie ne choisisse enfin la lumière : s’orienter vers ses voisins (Mali notamment) pour ensemble, trouver des solutions dignes à leurs ressortissants, régulariser, intégrer, et montrer à l’Europe que la dignité n’a pas de frontières.

    "



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 30 janvier 10:38

    @colibri
    Votre message soulève des points intéressants, mais il me semble qu’il mélange plusieurs concepts et généralisations qui méritent d’être nuancés.
    Vous affirmez que les droits de l’homme ne résolvent pas les problèmes de société, en prenant l’exemple de la France où les inégalités persistent malgré leur application. Cependant, les droits de l’homme ne sont pas une solution magique à tous les problèmes socio-économiques. Ils constituent plutôt un cadre pour protéger les libertés fondamentales et garantir une dignité minimale à tous. Leur application ne supprime pas automatiquement les inégalités, mais elle offre des outils pour les combattre.
    Vous assimilez l’égalité à une idéologie communiste où tout le monde gagnerait la même chose, indépendamment de ses compétences ou de son mérite. Cette vision est réductrice. L’égalité, telle que défendue dans les sociétés démocratiques modernes, ne signifie pas l’uniformité des revenus, mais plutôt l’égalité des chances et l’accès équitable aux ressources de base (éducation, santé, justice).
    Sur la justice et la corruption , vous avez raison de souligner que la lutte contre la corruption est essentielle. Cependant, cette lutte s’inscrit justement dans le cadre des droits de l’homme, qui incluent la transparence, la responsabilité et l’État de droit. La justice et les droits de l’homme ne sont pas opposés, mais complémentaires. La justice sans les droits de l’homme risque de devenir arbitraire, tandis que les droits de l’homme sans justice restent lettre morte.
    Vous affirmez que les droits de l’homme sont un outil de l’élite pour imposer une dictature. Cette idée est paradoxale, car les droits de l’homme ont historiquement été un rempart contre les abus de pouvoir et les régimes autoritaires. Ce sont les dictatures qui bafouent les droits de l’homme, pas l’inverse. Certes, certains gouvernements peuvent instrumentaliser ces principes, mais cela ne discrédite pas l’idée même des droits de l’homme. Au contraire, c’est une raison de les défendre avec encore plus de vigilance.
    D’autre part, les droits de l’homme ne sont pas nécessairement en contradiction avec les valeurs spirituelles. Ils peuvent être vus comme une expression de la dignité humaine, une valeur partagée par de nombreuses traditions religieuses. Par exemple, l’islam, le christianisme ou le judaïsme insistent sur la justice, la compassion et le respect de la vie humaine, des principes qui résonnent avec les droits de l’homme.
    Certes, je pense tout comme vous, que les droits de l’homme ne sont pas une panacée, mais ils restent quand même, un cadre essentiel pour construire des sociétés plus justes et équilibrées. Leur critique est légitime, mais il faut éviter de les rejeter en bloc sous prétexte qu’ils ne résolvent pas tous les problèmes.



  • Pr ELY Mustapha Pr ELY Mustapha 8 septembre 2023 21:50

     @Toutes et tous,
    Vos avis sont divers,chacun exprimant une opinion qu’il juge bien à propos. Merci.
    L’essence de cet article est qu’il renvoie dos à dos toutes les puissances d’Orient et d’Occident qui seraient là pour les « intérêts » de l’Afrique et son développement. Son unique prétention est de dire que seule l’Afrique pourra prendre son destin en main or ni sa cohésion, ni son unité, ni la volonté de la plupart de ses dirigeants ne vont dans ce sens.
    Tant que l’Afrique est un maillon faible du concert économique et financier des nations, elle restera la proie perpétuelle de Charybde et Scylla.
    Les Etats, a-t-on dit n’ont pas d’amis mais des intérêts. Faudrait-il simplement que l’Afrique, face à ses « amis » (d’hier, d’aujourd’hui et de ceux qui veulent le devenir) sache distinguer où se trouvent ses intérêts. C’est cette introuvable souveraineté qui lui permettra de le faire qui est l’objet de cet article. Pas de défendre un camp, si n’est le mien : l’Afrique.

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