« Mais avec vous en particulier, même ceux qui ont commencé sur un ton
courtois ont fini par recevoir une insulte toutes les deux phrases. »
Vous avez un exemple particulier en tête ?
« Le problème, c’est que vos derniers commentaires à mon égard leur
donnent raison. Si vous me jugez incapable de saisir des analogies, ou
parlez de bêtise avant même que j’aie dit quoi que ce soit, à quoi bon
perdre mon temps ? »
Je l’ai pris sur ce ton parce qu’un certain Pinveno venait de me traiter de « pauvre type ».
( Remarquez au passage que moi, je ne parle pas de votre grossièreté ou agressivité in abstracto : je cite un exemple spécifique que vous pouvez retrouver facilement dans ce fil de commentaires)
Une autre manière d’exprimer ce que je disais, c’est que dès lors que vous vous exprimez, vous prêtez le flanc à la critique, et que l’acceptation de cette critique potentielle doit être implicite dans votre expression.
« Mais puisque vous
prétendiez jusqu’alors ne pas mettre tout le monde dans le même sac,
maintenant faudrait savoir : êtes-vous là pour débattre ou pour
distribuer les noms d’oiseaux ? »
Je peux parfaitement faire l’un ou l’autre, ça ne me pose pas de problème.
« j’avais
non seulement l’intention de le lire mais même d’aller bien plus loin :
j’avais sollicité les espérantistes que je connais pour tenter [...] que nous rédigions
une réponse commune qui fasse consensus entre nous tant sur le fond que
sur la forme, et sur laquelle nous aurions fait l’effort de faire
abstraction totale de l’auteur. »
Et bien faites-le, et nous verrons bien ce que ça donne. Ça sera toujours plus intéressant à lire que vos derniers messages.
« Certains étaient volontaires. En revanche, beaucoup ont refusé en
disant que de toute façon, on allait se faire insulter et que ça vous
ferait de la publicité inutile. »
Allez lire mon contre-article. Le plus près que je passe de m’en prendre directement à Piron, c’est quand je le qualifie de « farceur ». Avouez que ce n’est pas méchant.
Typhon